Je l'ai dit, bordel, je l'ai dit ! (pour paraphraser Philippe Albert lorsque le ballon fut dans le but adverse). Et je l'ai fait : j'ai lu
les Aristochats après le Fléau de
Stephen King.
Mais quelle bouffée d'air frais de lire un de ses dessins animés préférés, un de ceux qui ne traumatisait pas (pas de mort de Mufasa, ni de la mère de
Bambi, pas de Roucky chassant Rox, pas de
Dumbo triste).
L'avantage c'est qu'en le lisant, des images du dessin animé me revenait à l'esprit et j'ai rajeuni d'un coup.
Évidemment, dans cette histoire, le méchant est très méchant, mais il ne fini pas gagnant, les chats mâles ne doivent pas être castré car ils ne pissent pas partout, les chats jouent de la musique, peignent, chantent et des chatons ont besoin d'un père, alors que dans la Nature, hein…
D'ailleurs, les chatons restent longtemps chatons puisqu'il est dit, à un moment, que ceux-ci avaient déjà pris le train car leur maîtresse les emmenait chaque année dans sa villa en Normandie… Heu, ça reste des années en mode "chatons", les chats ?
"
Les aristochats avaient une certaine connaissance des chemins de fer. Ils avaient fait plusieurs voyages. Mme de Bonnefamille les emmenait tous les ans passer quelques semaines dans sa propriété de Normandie".
Bon, on ne va pas se leurrer, c'est bourré de bons sentiments, tout est bien qui fini bien, le Méchant perd, ça lui apprendra à vouloir priver
les Aristochats de la fortune de leur maîtresse et d'être aussi envieux.
Mais me replonger dans cette aventure m'a fait du bien et j'en avais besoin.
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