Comme pour chacune de ses oeuvres,
Ariel Dorfman cherche une singularité stylistique au travers de thèmes forts et engagés que sont l'exil, la disparition, la torture ou la quête identitaire qui deviennent principes et fins depuis le coup d'Etat de Pinochet.
La dimension historique transparaît de nouveau dans ce livre, autant que son engagement politique, constituant une signature originale de son oeuvre et une recherche permanente de renouveau littéraire.