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EAN : 9782918047551
298 pages
Laura Mare Editions (08/10/2010)
4.89/5   9 notes
Résumé :

Le polar selon Lucius... Méfiez-vous le jour où votre ami de toujours débarque après dix années de silence radio. Prenez garde s'il vous propose sur un plateau la solution à tous vos problèmes. Mais surtout... restez vigilant si votre ami se nomme NESTOR BOYAUX !

Ces retrouvailles chaleureuses seront les prémices d'une étrange descente aux enfers. Lorsqu'un clochard prend le contrôle de votre destinée, que la radio diffuse des informa... >Voir plus
Que lire après Qui veut la peau de Nestor Boyaux ?Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Je remercie Luc Doyelle pour sa confiance puisque c'est la deuxième fois qu'il me confie un service de presse pour l'un de ses romans ; c'est donc avec plaisir que j'accepte de lire Qui veut la peau de Nestor Boyaux ?. Sa demande est assortie de ce commentaire : " cette fois je croise les doigts, les orteils et tout ce que je peux croiser... ". Je comprends ce qu'il veut dire : il a un peu d'appréhension, puisque je fais partie des deux ou trois lecteurs ou lectrices qui ont mis des bémols dans leurs chroniques de L'Ennui du mort-vivant.
Sachant que ma Pile À Lire est vertigineuse et que j'accepte son roman début décembre 2017 pour une critique de lectrice à rendre fin février 2018, j'ai eu peu peur qu'il s'ankylose… Même s'il aime vivre dangereusement !!! Je subodore le subterfuge pour que je me laisse attendrir et que je fasse passer son roman devant les autres… Je commence à connaître le personnage car nous sommes devenus " zamis sur Face de Bouc " (cette expression est de mon cru… je tiens à le préciser, car Luc Doyelle dit " Fessebouc "). Peine perdue : chacun son tour et on ne pousse pas !

Cette fois, je sais où je mets les yeux et j'accepte le pacte de lecture avant même d'ouvrir le livre : le style d'écriture inclassable de Luc Doyelle ne me surprend plus et c'est volontairement que je pars à la chasse de ses trouvailles sémantiques ; Je ne les subis plus, j'en redemande ! L'auteur fait preuve de fantaisie et de logique en même temps en arrangeant à sa sauce les formules consacrées, en maquillant des mots ou des expressions de manière à leur donner un sens nouveau, qui devient évident à la lecture. Il s'amuse avec le langage, manipule l'écriture, donne une marque de fabrique indélébile à ses écrits ; même ses notes de bas de page sont revisitées. C'est original, drôle, ludique… et moins épuisant que lors de ma première incursion dans l'univers de cet auteur avec L'Ennui du mort-vivant.
La trame narrative mêle avec brio la posture de l'écrivain en panne d'inspiration, le meurtre mystérieux et la cavale en forme de road movie. Ce sont des clichés, certes, mais revisités par Luc Doyelle, et cela mérite de s'accrocher aux branches du texte ! le récit brouille la temporalité et les codes ; je n'ai personnellement rien compris à l'(im)précision volontaire de la chronologie mais je suppose que c'était voulu… J'ai bien aimé que l'intrigue policière soit sans violence inutile (les vaches me pardonneront) et s'enrichisse de souvenirs d'enfance et d'adolescence, de problèmes de couple, de la solitude du reclus. À un moment du récit (le braquage de la supérette), j'ai trouvé l'anguille sous la roche et compris où l'auteur voulait m'emmener… Malgré tout, la fin m'a bluffée parce que les moutons n'étaient pas ceux que je croyais. Je ne peux que conseiller la lecture de ce livre parce que je ne divulgacherai rien de plus.
Encore une fois, même si j'ai manqué quelques références, celles qui m'ont sauté aux yeux m'ont comblée : par exemple, dans les années 1990-2000, j'étais assez fan de la série télévisée mettant en scène le célèbre détective inventé par Léo Malet et incarné à l'écran par Guy Marchand, j'avoue aussi avoir connu une période de lecture très addictive pour les romans d'une auteure qui porte souvent chapeau même si aujourd'hui je suis un peu en overdose et n'ai pas lu ces derniers romans…
J'ai adoré les digressions, même les japonaises…
J'ai été sensible à une part d'inspiration peut-être autobiographique, été émue par l'Amie et les mectons…

Que dire de plus ? J'avoue avoir acquis les autres oeuvres de Luc Doyelle… À lire avec modération mais indispensables à savourer.
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J'ai découvert l'auteur ou plutôt l'un de ses livres par le biais du site simplement. J'ai beaucoup aimé son style et la manière d'écrire un livre sans prise de tête, enfin je le vois ainsi. C'est donc tout naturellement que j'ai accepté sa seconde proposition pour ce polar/policier/humoristique.

Le polar selon Lucius...

Je n'aurais pas débuté avec L'ennui du mort-vivant : le vrai con malté je pense que je me serais posé des questions sur l'état mental de l'auteur. En fait, je m'en pose toujours, mais passons. Lucius, écrivain à l'abandon des mots, ne sait plus quoi faire pour écrire le livre tant convoité par son éditrice. Dire qu'elle le tanne est un faible mot. La menace de l'éplucher vivant ne fonctionne pas non plus. Il va revoir un de ses amis d'enfance : Nestor. Surnommé Nestor Boyaux (et le plus important, c'est que nous apprenons pourquoi il s'appelle ainsi, grâce à un jeu dans leur passé). Nestor lui propose de le tuer, en faux, ainsi Lucius pourra imaginer la manière de le tuer et ainsi poser des mots sur des feuilles de papier. Et contenter l'éditrice qui se mord les doigts de n'avoir rien à mettre sous la dent. Pas de bol, Nestor est réellement tué. Lucius est embarqué bon gré malgré, mal gré, maux de grès, mot de grec ? dans un road bouquin. Affaire en cours !

Fuir ou se rendre, telles sont les questions que notre cher Lucius se pose. Enfin quand il en a le temps. le pauvre petit chéri, il vit un enfer (et j'ai mangé un de mes ongles tout du long de l'histoire) Nous savons qu'il n'a pas tué, enfin nous le pensons car nous ne sommes pas avec lui nuit et jour et matin et après-midi. Son ami, Nestor boyaux aurait-il des ennemis ? Pas le temps de vérifier cela, Lucius est embarqué dans sa propre voiture par un clodo. Clodo, c'est son prénom, enfin celui qu'il se donne depuis... X années, est en mode "je m'incruste". Il décide pour Lucius qui est complètement désemparé. Il n'a pas buté son pote, mais la police le crois et la radio Franche info le confirme. Les informations lui montent au nez, comme la moutarde et il se voit faire des choix guidés. Une voiture plus tard, laissée dans un racoin, volant celle d'un honnête homme (ou femme, enfin honnête, cela se pose aussi en question), une rencontre avec le chablis. La rencontre avec Eko et Webcam va être mouvementée. Sans compter les divers périples que notre héros d'un autre temps va subir.

L'auteur alterne entre le passé, dans les années 1980, une période que les jeunes de moins de 20 ans ne connaissent pas... bref, le passé d'hier, d'avant-hier et avant avant-hier et le présent. Ainsi nous découvrons les folles péripéties de Lucius et de ces compagnons d'infortune en tout temps. La "poursuite" après le non-lieu non-dit. le stress n'a pas le temps d'apparaître bien longtemps. Les mots, les phrases, les lettres qui forment ce que nous lisons nous emportent dans un récit drôle, drôlement détourné sans complexe, enfin pour le lecteur. Concernant les personnages, c'est un autre problème. L'humour est présent tout du long, pas l'humour simple, non. C'est un humour qui est recherché, quoique parfois la recherche ne sert pas à grand-chose. Il suffit de lire certains passages pour se demander si l'auteur n'est pas fou (sur les bords, au milieu, les côtés et au fin fond de la pampa !)

Les quiproquos sont nombreux, les mots s'emmêlent pour devenir des drôles de choses. le double sens, le triple sens voire plus loin inspire le lecteur qui ne sait plus par quel bout prendre les personnages. Pas de mauvaises idées, merci ! Il faut garder à l'esprit que tout est possible, que rien ne se perd, tout se transforme et qu'au final, justement le final, j'ai eu des doutes et je me suis dis non, pas possible ! Je suis certaine que... Et au final c'est bien cela, mais les indices sont faciles et peu faciles à dénicher, surtout dans ce tel imbroglio. le fameux personnage de Lucius ne serait pas une représentation de notre auteur à quelque chose près ? Bien des mystères entourent cet homme et soeur marie-thèrese-point-com n'a qu'à bien se tenir.

Suspense, humour à la limite de la comédie... En conclusion, un polar à la Lucius pourrait bien faire découvrir le polar même à ceux qui n'aime pas ce thème. Car le fameux polar à la Lucius est tout sauf un polar traditionnel !

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/qui-veut-la-peau-de-nestor-boyaux-luc-doyelle-a135453596
Lien : http://chroniqueslivresques...
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Le polar selon Lucius...
Méfiez-vous le jour où votre ami de toujours débarque après dix années de silence radio.
Prenez garde s'il vous propose sur un plateau la solution à tous vos problèmes.
Mais surtout... restez vigilant si votre ami se nomme NESTOR BOYAUX !
Ces retrouvailles chaleureuses seront les prémices d'une étrange descente aux enfers. Lorsqu'un clochard prend le contrôle de votre destinée, que la radio diffuse des informations surprenantes, et que la maréchaussée se pointe à tous les coins de rue, il est temps de crier au secours !
Une épopée polaroid parsemée d'humour et de suspense.


A votre tour de rester vigilants et ne vous laissez pas mener par le bout du nez par Lucius et ses amis. Amis, complices ou pires ?
J'ai adoré cette histoire rocambolesque où la dérision s'étale à chaque page avec un art consommé des références en tout genre qui vous plonge dans vos propres souvenirs (pour les plus de vingt ans… bien sur).
Luc Doyelle, vous incite à puiser dans vos souvenirs, à chercher dans chaque recoin cette petite chose particulière du jeu de mot que vous vous prenez à poursuivre de page en page.
Tout est pesé, dépecé au mot près, à la lettre près, au chiffre près. Rien n'est dû au hasard mais bien manigancé de main de maitre pour vous perdre dans un dédale qui force votre attention à rechercher le pourquoi du comment de l'utilisation de tel ou tel mot et vous amène au point final.
Rien n'est pourtant simple dans cette histoire, ni le découpage perturbant, au début, qui vous entraine irrémédiablement vers l'issue. Attention, détournement de l'espace-temps où vous pourriez vous perdre. Ni le caractère des personnages plus profond qu'il n'y parait au premier abord. Ni le fil de l'histoire que l'on suit ou que l'on poursuit lors de cette cavale rocambolesque.
C'est un moment réjouissant, où l'on rit sans se retenir (merci monsieur Lucius de nous faire passer pour une imbécile dans les lieux publics lol). Mais sous cette surface légère et moqueuse, on perçoit une autre réalité. Celle de cet auteur perdu dans sa page blanche. Celle de cette amitié vieille de trente ans et qui pourtant s'est relâché au fil du le temps sans pour autant en oublier les moindres détails. Celle de ces rencontres impromptues au détour d'une route chaotique. Ce retour dans le passé, dans le futur, dans le présent.
J'ai suivi les aventures de Lucius, Clodo et leurs amies avec délice et me suis régalée tout au long de l'histoire. N'hésitez pas, prenez-là à bras le corps et riez !
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J'ai découvert Lucius VonLucius Doyellus, de son vrai nom Luc Doyelle avec son roman L'ennui du mort vivant durant lequel je ne me suis pas ennuyée une minute.
C'est donc avec plaisir que j'ai accepté le Service Presse pour « Qui veut la peau de Nestor Boyaux ».

Une nouvelle fois j'ai été embarquée par l'humour décapant de l'auteur, un style qui ne pourra malheureusement pas plaire à tout le monde, car Luc Doyelle fait partie des auteurs sans juste milieu.
Ou on n'aime pas, ou comme moi on adore.
Une lecture addictive une fois commencée on ne peut plus fermer le livre.

Il faut une certaine ouverture d'esprit et des connaissances générales assidues pour comprendre les allusions aux événements ou noms d'artistes dont le livre est truffé.
l'auteur use et abuse de situations amusantes, de quiproquos, et ça marche !!!
Certains pourront trouver qu'il y a trop de Post-scriptum pas toujours aisés à lire sur numérique, à ceux là je dirais achetez le lire broché car ils sont juste délirants et uniques en leur genre.
Un vrai sport cérébral que de lire les romans de Luc Doyelle.

Que dire de l'histoire sans spoiler !!!!
Là encore, Luc Doyelle nous surprend en utilisant sa propre personne dans la fiction. J'ose espérer que c'est une fiction quoi qu'avec lui on est à l'abri de rien !!!
Lucius, auteur de romans policiers est en quête d'inspiration pour son prochain livre et il va se confier à son ami d'enfance Nestor Boyaux qu'il n'a pas revu depuis plus de dix ans. du temps où avec une bande de « zigotos » comme eux, ils faisaient les quatre cents coups.
Mais voilà, Lucius, va se retrouver accusé de meurtre et entraîné dans une fuite en compagnie d'un SDF dernière génération qui fait la manche via internet « clodo-point-com »😂 , et deux jeunes femmes excentriques qu'ils trouveront sur le bord de la route (une paraplégique qui n'a pas la langue dans sa poche et une asiatique qui se maquille au fromage)
Un suspense à couper le souffle et une fin aussi folle qu'inattendue.

Des scènes dignes d'un bon film comique, des personnages hilarants bien choisis, un humour à s'en faire mal aux joues à chaque page.😂

je dis bravo et merci Lucius pour ce merveilleux moment de détente.
Lien : https://lespetiteschroniques..
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Voici un Service Presse que j'avais très envie de lire et de vous faire découvrir.
L'auteur lui-même ne se prends pas au sérieux et affiche un humour à la hauteur de son talent.
Merci aux Editions du Venasque d'avoir accepté ma demande.

Ce qui est bien dans ce polar, c'est que déjà, ce n'est pas un polar à proprement parlé puisqu'il n'y a pas véritablement de morts, et donc pas d'enquête non plus.
Mais tout part d'invraisemblances, notamment le nom des personnages qui ne sont que des surnoms, des identités voilées pour mieux les affubler de surnoms pittoresques et du caractère atypique qui sied à chacun.

L'auteur est donc Lucius, sa femme l'Amie et ses enfants les Mectons (un gars, une fille, les enfants hein pas l'emission TV) et les potes d'enfance dont le fameux Roger Boyaux.

Il va vivre une drôle d'aventure notre Lucius. Et quelle mésaventure, racontée sans nulle autre pareille dans une gouaille humoristico-patoise qui nous soutire sans peine un sourire et carrément une franche rigolade.
Même les notes en bas de pages sont de pures fantaisies remaniées à la sauce de l'auteur.

Aidé dans son périple rocambolesque par Clodo, et puis par WebCam et Eko, deux autostoppeuses prises en cours de route, où le temps et l'espace se mélange dans un Gloubi-Boulga de quiproquos invraisemblables qui rend ce road-bouquin jouissif.

J'ai suivie avec délectation l'expédition hasardeuse de cette bande d'amis qui m'a bien fait rire. Je me suis régalée, un coup de coeur. A votre tour de savourer !

Lien : http://lecturechronique2.com/
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Aujourd’hui. Le temps s’étire comme Véronique et Davina avant une séance d’aérobic. Ma cellule accueille tous les matins quelques rayons de soleil, lorsque celui-ci daigne me faire l’honneur de sa présence. Je saute alors de ma couche et enchaîne quelques centaines de pompes et autant d’abdominaux. Bon, je vous l’accorde : quelques dizaines de pompes. Allez, quelques pompes, et c’est mon dernier mot. Je pense à l’Amie. Souvent. Je sais qu’elle m’attend, qu’elle sera là lorsque je sortirai. J’espère qu’elle sera là. Je me demande si elle sera là ! Alors je m’octroie à nouveau quelques centaines… quelques pompes. Les non sportifs doivent comprendre que la pompe est une merveilleuse invention consistant à puiser le sang du cerveau pour le pulser dans les triceps et pectoraux, mettant de ce fait quelques neurones au repos. Cela fonctionne aussi avec le vélo, ce qui explique que l’on puisse doper certains coureurs à l’insu de leur plein gré. Le phénomène est heureusement réversible. Ainsi, Arnold Schwarzenegger, lorsqu’il a cessé de pomper tous azimuts, est devenu gouverneur de Californie. Ce qui m’inquiète le plus est que l’Amie est frileuse à l’excès.
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- Tu le connais, ce petit gars ?
- Ouais, c'est Rico, le fils de Thierry Rey.
- Le judoka ?
- Exact
- Je ne savais pas que Rico Rey était l'ami du petit des Jeunet.
- Tu t'es fait embaucher à Paris Match ? Ou alors tu es devenu paparazzo ?
- Ni l'un ni l'autre.
- Alors on s'en fout, non ?
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Ma vie me paraissait fragmentée, et ce n’était rien en comparaison de ce que l’Amie devait ressentir. Ces allers-retours n’arrangeaient pas mes affaires, d’autant plus que je n’avais aucune idée de la façon d’y mettre un peu d’ordre. Jusqu’ici, mon instinct d’auteur avait pallié mon manque de méthode, mais à présent, je naviguais en plein brouillard. J’espérais que mes pérégrinations m’ouvriraient la voie de l’inspiration. Je commençais toutefois à regretter de m’être engagé dans la voie du roman policier, si éloigné de mon univers. La rigueur n’était pas mon fort, et je voyais mal, si tant est que je parvinsse à aligner trois lignes de ce roman, proposer une structure suffisamment cohérente pour m’aligner face aux pointures du genre.
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— C’est un nouveau feuilleton ? demanda-t-il en se retournant, et en déchargeant son haleine morgonnée dans l’habitacle.

— Nouveau ? Oh non, pas vraiment. Ce soir, c’est le 2465e épisode. Et chaque jour, il y a un coup de théâtre.

— On ne va rien comprendre, alors, si on prend ça en route.

— Mais si, assura Eko, c’est facile, nous allons te faire un petit résumé. N’est-ce pas, Web ?

— Oui, en fait, c’est simple : ça se passe dans un quartier de Marseille. Mélanie est serveuse, elle est amoureuse de Helmut, qui est en réalité un terroriste d’Al Qaida impliqué dans l’éruption du volcan islandais…

— Eyjafjöll ?
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interview de Luc Doyelle par Valérie Bettencourt, au salon Facebouquins
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