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3,73

sur 4298 notes
Quel régal, ces deux vies que tout oppose et qui se retrouvent dans la même cellule. Humour décapant. Des personnages annexes hauts en couleur !
J'ai adoré.
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Ennuyeux et mal écrit
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en venant de terminer ce livre ca ne me fait aucun effet et c'est rare qu'un livre ne me fait aucun effet.
au debut j'ai apprecier le livre mais au fur et a mesure de ma lecture cette effet diminua, le style de l'auteur un peu anarhique genre la chronologie n'est pas bien respectée dans ce livre parfois je me perd apres je dis ah dacc il parle du passé apres hop le present apres je me suis demandé pourquoi paul est en prison jattends jattends et la la phrase d'horreur coups et blessure volontaire; double fracture, morsure de l'epaule ouch et je me suis dis jean paul dubois est surement quelqun de nerveux et qui n'est pas du tout quelqun avec qui on rigole " je veux dire c'est avant tt a travers les oeuvres qu'on connait les ecrivains leurs caracteres et leurs croyances"
je conclu avec un passage que j'ai adoré c'est lorsque l'oncle de paul voulait parcourir le canada de l'ouest a l'est de l'ocean pacifique a l'ocean atlantique et il a pris deux bocaux remplis avec l'eau de chaque ocean et il a fait le parcour en tracteur qui roule 10-20km/h, j'aurai aimé moi aussi parcourir mon pays meme en velo ma3lich"ca ne fait rien en algerien" il me reste les livres pour voyager ca me suffit
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Habituellement, je ne suis pas du genre à me jeter sur les prix littéraires, mais avec les chroniques que je prépare pour France Bleu Touraine, j'essaie de m'intéresser un peu plus à l'actualité – ma PAL me fait la tête et ne me parle plus. du coup, je me suis plongée dans le nouveau roman de Jean-Paul Dubois, Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon, qui vient de recevoir le prix Goncourt 2019.

Jean-Paul Dubois est écrivain, journaliste et grand reporter. Il a écrit de nombreux romans dont certains ont été adaptés au cinéma, comme Kennedy et moi ou le fils de Jean (qui s'appelle en réalité Si ce livre pouvait me rapprocher de toi). le plus connu est sans doute Une vie française, que j'avais bien aimé. Jean-Paul Dubois écrit bien et il a déjà reçu plusieurs prix littéraires pour ses romans, avant d'obtenir le précieux Goncourt pour Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon.

Paul est en prison, il partage sa cellule avec Horton, un bicker aussi étonnant qu'attachant. Il revient sur son histoire et celle de sa famille. Et de fil en aiguille, le lecteur se rapproche de ce qui a conduit Paul là où il est.

Alors, je dois vous avouer que je ne suis pas très à l'aise pour parler de ce roman. Je le trouve bien mais pas top, et je suppose que si je me contente de ça, vous allez vous dire que je ne me foule pas trop. Il est bien. Franchement. C'est bien écrit, c'est agréable à lire. J'ai aimé les passages avec Horton, ce grand costaud sensible. Ils l'ont donné le sourire. J'ai aimé la construction en entonnoir qui m'a fait pester. Pester contre Jean-Paul Dubois qui s'amuse à tenir le lecteur dans le flou. J'avais envie de savoir pourquoi Paul était là, en prison. Et arrivée aux deux-tiers du roman, je me suis même demandée si j'allais le savoir et ça a commencé à m'angoisser.

Le risque quand on attend avec impatience le dénouement est qu'on soit un peu déçu. Qu'on se dise : « tout ça pour ça ». Et c'est un peu ce que est arrivé avec ce roman. Un peu déçue par la fin, un peu de longueurs – ce qui est aussi sans doute volontaire pour plonger le lecteur dans la fébrilité. Comme a résumé une de mes collègues : « bien, mais vite lu vite oublié ». C'est un peu dur, mais c'est vrai que ce n'est pas un roman inoubliable. Mais il est agréable à lire. Avec de jolis passages.
Lien : https://mademoisellemaeve.wo..
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Attirée par le label Goncourt, j'ai plongé dans ce livre sans en attendre quoi que ce soit. J'en ressors avec une douce mélancolie, un sentiment d'humanité, une envie de connaître l'autre, quel qu'il soit. Je pense que chacun peut trouver ce qu'il veut dans ce roman. Doux, grave, parfois drôle. Attachant, indubitablement.
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whhoua !,,, je termine de lire et hop ! C'est le prix Goncourt. quel timing.
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Avec grand plaisir j'ai lu le nouveau livre de Jean-Paul Dubois, mais comme Danois j'ai été très énervé par les fautes du danois. C'est vrai que le danois n'est pas une langue facile à parler, mais dans un livre qui a maintenant le prix Goncourt, j'imagine que vous préférez que les phrases en danois soient correctes.
Voici mes corrections:

p. 28 der bør i landet - der bor i landet

p. 29 bør i landet – bor i landet

p. 54 jeg har søvn – jeg er søvnig

p. 54 Eller er min far – Hvor er min far

p. 54 der er en smuk båd – Det er en smuk båd.

p. 69 Smigger er som en skygge: det gør du, eller større, eller mindre – Smiger er som en skygge, den gør dig hverken større eller mindre

p. 92 Jeg elsker dig mon søn – Jeg elsker dig min søn

p. 245 Ostre Strandvej – Østre Strandvej

p. 246 Hej, søn ag Johanes Hansen - Hej, søn af Johanes Hansen

p. 246 Jag er søn af Johanes Hansen – Jeg er Johanes Hansens søn

D'ailleurs le prénom Johanes est norvégien, en danois on dit Johannes avec deux n
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Verdict: Prix Goncourt mérité dans une année assez faible ?

J'aime les belles structures narratives, claires et réfléchies. Dubois nous propose ici la convergence de deux temps en alternance l'un de l'autre : le temps lent du présent, dans une prison ou le quotidien est parfois dur, parfois cocasse ; et le temps rapide du passé, qui trace son chemin vers le présent, et nous plonge dans une vie dont les aspérités sont propres au narrateur, mais dont l'universalité, la recherche de sa place dans le monde, nous touche.
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Quelles raisons ont amenées Paul Hansen, héro humble et attachant, dans cette cellule de prison partagée avec un Hells Angel ? Laissez-lui vous raconter son histoire pleine de tendresse, toute en humanité.
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J'ai un rapport particulier avec Jean-Paul Dubois : je lis tous ses romans, bien que peu m'aient finalement touchée. J'ai été, comme énormément de lecteurs, emballée par Une vie française. Mais en faisant une balade sur mon blog, je réalise que j'ai lu ces dernières années Kennedy et moi puis La Succession de lui, sans en avoir, pour être honnête, le moindre souvenir, zéro. D'ailleurs, en lisant mes critiques, les souvenirs ne sont pas plus remontés, ce qui me fait dire qu'elles étaient mauvaises… Bref !

Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon est un magnifique titre, je trouve, qui ressemble bien à l'auteur. Je n'ai pas beaucoup aimé ce roman en tant que tel, dans le sens où je n'ai pas pris du plaisir à découvrir l'histoire, ni même ce personnage principal un peu insaisissable. Comme souvent chez Dubois, le héros principal s'appelle Paul. Et comme souvent chez Dubois, il a grandi à Toulouse (j'adore tous ces rituels chez l'auteur, ça contribue énormément à l'admiration que je lui porte). Paul est le fils d'un pasteur danois et d'une directrice de cinéma toulousaine. Comme souvent chez Dubois (!), l'épouse est rustre et dominante, le mari et père de famille sympa et solitaire (j'ignore ce que cet homme a vécu mais manifestement ce schéma-ci l'a profondément marqué). Et comme toujours chez Dubois, les héritages familiaux sont chargés, omniprésents, chevillés au corps.
Paul finit par quitter Toulouse pour Montréal, où l'action s'y déroule au présent. Il y fera un métier atypique de gardien de résidence, ce qui lui apportera quelques gros déboires. Je n'en dis pas plus car ici se joue la narration du livre.

Au risque de me répéter, je n'ai pas trouvé l'histoire prenante. Et le personnage principal est comme souvent chez Dubois un homme nébuleux dont nous saisissons des bribes mais pour qui rien n'est franchement explicite. C'est finalement cela que l'on vient chercher quand on lit un Jean-Paul Dubois : cette capacité à retracer une humanité dans les relations et les histoires, une sorte de « vérité » (si tant est qu'il y en est une…), dans laquelle on ne peut que se reconnaître, sans pour autant comprendre vraiment de quoi il s'agit puisque rien n'est clair sur la psychologie du personnage principal.

Beaucoup de critiques ont dit que c'était l'un des romans les plus aboutis de l'auteur, ce que je n'approuve pas du tout. Pour moi, Dubois a une force inégalée dans la narration des relations humaines chaotiques et blindées d'incompréhension et il n'est pas allé au bout de ce qu'il a écrit. Autant l'enfance de Paul jusqu'à sa majorité est magnifiquement écrite, autant la partie canadienne m'a semblé un peu ennuyeuse.

A débattre, évidemment 

Jo la Frite

PS : pour tous les fans de Dubois, le fameux « dentiste » était bien au rdv 

Lien : http://coincescheznous.unblo..
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Thème : Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon de Jean-Paul DuboisCréer un quiz sur ce livre

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