AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,72

sur 4198 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Grosse déception que ce roman que j'ai trouvé ennuyeux et sans relief.
Même si l'écriture est soignée et le style élégant, tout est prévisible et ces incessants allers-retours entre le présent en prison et le passé de la vie du narrateur finissent par lasser.
Tout au long du livre, on imagine qu'un ressort va apparaître et faire rebondir le récit. Attente vaine, il ne se passe rien.
J'ai lu jusqu'au bout pour comprendre ce qui avait fait basculer le destin de cet ancien concierge d'un immeuble huppé, mais l'épilogue ne m'a nullement surpris.
Je suis resté en dehors de cette intrigue un peu simple et qui m'a semblé artificielle.
Je retourne à d'autres lectures, les prix littéraires ne sont décidément pas des références.
Commenter  J’apprécie          323
Ecrit à l'anglosaxonne. Sur la pente savonneuse des juxtapositions de récits et d'insertion artificielle de vocabulaire trop technique pour être honnête.
Des trouvailles : le cheveu nerveux, le peseur d'âmes pour les assurances.
Mais un manque de lien entre le cerveau et le coeur, à l'image des personnages, suivant un courant sans conviction et victimes d'un destin qui n'effleure même pas le tragique.
Transformé en une nouvelle de 80 pages, aurait pu être distrayant.

Commenter  J’apprécie          140
J'ai commencé à lire ce livre avec une grande envie, car j'en avais entendu le plus grand bien. Mais hélas , la magie n'a pas opéré sur moi, j'ai vécu une des lectures les plus laborieuses de cette année. Oui , Mr Dubois a une belle écriture, mais sur ce livre elle ne peut rien , face à cette histoire, monocorde, monochrome. Je lirais d'autres livres de cet auteur , je pense juste que pour celui ci je n'étais pas du tout le bon public.
Commenter  J’apprécie          131
Quelle honte de donner ce prix à cette niaiserie pur produit de littérature commerciale !
Toujours ce style journalistique, paresseux et commercial comme 80 % de la littérature actuelle où les génies sont de plus en plus rares !
1) il ne s'est pas fatigué à trouver un titre (contrepèterie d'ailleurs ? ) qui est celui d'un article tiré d'un recueil d'articles sur les USA "l'Amérique m'inquiète" intéressant car ce n'est pas un écrivain c'est bien un journaliste.
2) Il ne se cache pas d'écrire pour le fric donc "être libre" dit-il. Pas pour la littérature. Assez pitoyable.
3) Il ne veut pas parler de ses oeuvres. Imagine t-on des parents ne pas vouloir parler de leurs enfants ? Il n'aime pas la littérature, c'est un graphomane.
4) Dans le livre, comment fonctionne un ascenseur, une piscine, de la mécanique auto-moto : comment peut-on appeler cela de la littérature ? le nouveau roman on en est revenu !
5) un style simple oui comme Modiano ou Echenoz mais l'épure n'est pas la médiocrité !
Bref, la mode est au "facile à lire" donc à une littérature commerciale qui triomphe, nous y sommes, nul doute que le prix Goncourt 2029 sera un tweet en 280 signes mal orthographié.
Lien : https://www.babelio.com/monp..
Commenter  J’apprécie          135
J'ai été attirée par ce Prix Goncourt dont on ne m'a dit que du bien. Grand mal m'en a pris ! Car, pour ma part, c'est un abandon à la moitié.

Pour moi, ce n'est ni plus ni moins la tranche de vie d'un gars un peu cérébré qui fait le point pendant son incarcération. Il revient sur les différentes étapes de son existence et les critique, se critique, critique ses parents qui, eux-mêmes, critiquent le monde.

Le style m'est apparu bien lourd et commun, sans emphase ni lyrisme. En soi, il est en phase avec les sujets abordés ! Si, au début, j'ai été intriguée par le motif d'incarcération de notre narrateur, cela n'a pas suffit à me tenir en haleine jusqu'au bout.

Sans doute ce livre aura des qualités et un attrait pour d'autres lecteurs amateurs du genre, je n'en doute point ! Mais il est de toute évidence pas pour moi.
Commenter  J’apprécie          122
Paul Hansen, condamné à 2 ans de prison, partage sa cellule avec un Hells Angels. le lecteur est invité à s'évader avec Paul dans son histoire familiale afin de comprendre ce qui a pu, un jour, faire basculer cet être altruiste dans la violence.

J'ai espéré jusqu'au bout découvrir ce qui a tant plu aux jurés de l'académie Goncourt pour lui décerner ce prix mais cela restera un mystère...dommage qu'aucune justification n'est donnée - cela permettrait aux lecteurs non érudits de s'ouvrir à leur savoir. Certains passages m'ont vraiment laissée perplexe, comme les digressions scatologiques, mécaniques et techniques et l'histoire est tellement carricaturale - il y a le gentil qui se démène pour faire le bien autour de lui dans des conditions qui se détérIorent et le méchant qui pousse l'autre à bout...bref, je n'ai pas compris l'intérêt et donc pas aimé.
Commenter  J’apprécie          112
Merci aux jurés du prix Goncourt pour ce feel good book qui démontre le niveau de cette Académie devenue bien fade. J'ai connu les années 1970, les motards et les fameux Hells Angels. J'ai fait de l'autostop (j'y reviendrai à propos d'une autre nullité primée, Par les routes de SYlvain Prudhomme). Je suis d'un génération marquée par le concert des Rolling Stones à Altamont. Les Hells Angels y étaient les agents de sécurité. Ils ont tué un noir. Ce sont la plupart du temps des voyous racistes mais passons. Jean-Paul Dubois situe son roman dans une prison où le narrateur partage sa cellule avec un Hells Angels justement. Et là, je suis consternée : le motard est un gros nounours sympathique inoffensif. Ils sont deux dans 6 m2 et chez Jean-Paul Dubois les prisons sont des cafés du commerce tranquilles où on se raconte des histoires d'homme. Bah oui madame ! La cohabitation est chaste. Il ne faudrait quand même pas effrayer la ménagère de plus de 50 ans que je suis. Et la jeune lectrice effarouchée de tout, qui sait ? Et que dire du monsieur ou du jeune homme pourfendeurs du malheur et qui cherchent dans les livres de quoi flatter leur tranquillité d'esprit ? Jean-Paul Dubois passe pour un connaisseur de l'Amérique, un homme écrivant ses livres en un mois, ne se prenant pas trop au sérieux, surtout pas, écrire c'est tellement vain. La vérité, c'est qu'il est un des écrivains les plus bêtement arrogants de son époque. Une arnaque contente de l'être et qui trouve ça super intelligent. Son esbroufe est aussi vide que kitsch.

Jean-Paul Dubois fait du tiède avec du chaud ou du froid !

C'est le mari de Raphaëlle Giordano : Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une et Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon, c'est pareil. La différence, c'est que Dubois est un homme et il gagne le Goncourt tandis que l'autre reste dans son rôle de potiche car c'est une femme. Mais du point de vue de l'écriture, c'est la même chose, à savoir que ce n'est pas de la littérature. Dans le roman de Dubois, les méchants sont évidemment des financiers (question d'époque, ne surtout pas contredire les clichés), les gentils des hommes ruinés par les méchants qui racontent leur histoire héroïque à des Hells Angels digne de l'île aux enfants. Bravo monsieur Dubois de prendre votre lectorat pour des gens stupides, bravo le lectorat de confirmer la chose en ne sachant plus vraiment lire malgré 150 ans d'école publique et bravo l'Académie Goncourt de récompenser tout ça.
Commenter  J’apprécie          118
Pas d'émotion à lire ce livre
Commenter  J’apprécie          112
Aussi courtement que ma petite appréciation du livre : j'abandonne...Je ne vois pas d'histoire, d'intrigue... Juste un alignement de phrases certes très bien écrites, je n'ôte point cela... Mais, insipide?
Commenter  J’apprécie          70
Me suis profondément ennuyée.
Commenter  J’apprécie          70




Lecteurs (8206) Voir plus



Quiz Voir plus

Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon

Paul Hansen, le personnage principal du roman, a été incarcéré à la Prison de Bordeaux à Montréal ...?...

Le jour de l'élection de Barack Obama
La jour de l'élection de Donald Trump

12 questions
123 lecteurs ont répondu
Thème : Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon de Jean-Paul DuboisCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..