Le comte de Caylus et Crozat, grands amateurs des belles choses et même un peu artistes, furent ceux vers lesquels Mariette se sentit attiré par une plus grande communauté d'opinions et de sentiments : il vécut avec eux dans la plus grande intimité, profitant de leurs connaissances aussi variées que solides, et leur apportant, de son côté, le contingent d'une instruction tout aussi étendue et d'un jugement non moins sûr.