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La Rédemption d'Althalus tome 2 sur 2

Isabelle Troin (Traducteur)
EAN : 9782266179188
512 pages
Pocket (09/01/2008)
3.86/5   126 notes
Résumé :
Althalus est enfin sorti de la Maison au Bout du Monde! Il a appris à lire et même à apprivoiser Emeraude, la petite féline aux yeux verts.
Mais quelque deux mille cinq cents ans ont passé ! Emeraude ne lui laisse pas le temps de s'appesantir sur la question. Comme il le proclame dans son grimoire, Daeva entend toujours ramener l'univers au chaos originel... et seul Althalus peut l'en empêcher. Parce qu'il a su déchiffrer le troisième grimoire, gravé sur la l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Althalus est enfin sorti de la Maison au Bout du Monde ! Il a appris à lire et même à apprivoiser Émeraude, la petite chatte aux yeux verts. Mais quelque deux mille cinq cents ans ont passé ! Bigre.

Ce second tome continue donc l'aventure engagée dans le précédent, sans aucune interruption, sans temps mort, mais il sonnera le glas de cette sympathique petite saga. Une fois la dernière page tournée, bye, bye, une fois de plus. Snif...

Désolé... j'aime trop les romans des Eddings. Revenons à ma critique :

Nous sommes donc 2500 ans plus tard ! Dans la Maison du Bout du Monde, on ne voit pas le temps passer. Imaginez, dans notre monde à nous, vous y entreriez en -500 AV.JC pour en ressortir pile-poil pour les festivités de l'an 2000 et son bug imaginaire... Autre avantage de cette maison, c'est que l'on ne vieillit pas...

Cette seconde et dernière partie commence mal (et pas que à cause des 2500 ans de passés) puisque la troupe d'Althalus va devoir combattre l'armée ennemie avec un atout majeur en moins : Eliar et son accès aux portes de la Maison au bout du Monde. Notre ami est grièvement blessé... et c'est très emmerdant de ne pas avoir cet accès puisque lui seul sait le faire... Que voulez-vous, un accident de travail, ça arrive.

Mais Althalus n'a pas dit son dernier mot et les guerriers à ses côtés non plus... Sus à l'ennemi ! Ils combattront comme des chefs, quelque soit la puissance de ceux qui leur font face et quelque soit leur nombre. Car s'ils ne le font pas, les adeptes de Daeva, le dieu sombre, rayeront de la surface de la Terre toute vie humaine.

Motivant, comme raison de se battre. Si tu ne vaincs pas, tu seras vaincu... Manger ou être mangé, telle est la question et les hommes qui se battent aux côtés d'Althalus préfèrent ne pas être battus. le sort du monde est entre leurs mains et Alathalus va développer des ruses et des techniques pour tromper ses ennemis. de plus, les combats sont super prenants. J'adore !

Comme pour le premier volume j'ai été tout à fait envoûtée par cette suite. Certes, quelques petits défauts, mais les qualités les dépassent de loin.

Les personnages sont agréables, variés et surtout très attachants et j'ai eu un gros faible pour Gher, le gamin à l'intelligence développée qui a toujours des idées géniales pour combattre l'ennemi.

Surtout, ce que j'ai apprécié le plus dans ces deux tomes, c'est la légèreté de ton et les réparties pleines d'humour des protagonistes. Toujours aussi percutants, les dialogues ! Ironiques, parfois. Plus tous les petits leitmotiv qui reviennent, dans les romans des Eddings (comme le «voisin» d'Emouchet, le «pourquoi moi ?» de Garion, le «mon chou» de Polgara,..)

Un esprit plus critique pourrait rouspéter sur le fait que les personnages ont super facile et qu'ils possèdent un peu toutes sortes de pouvoir : l'un sait utiliser la magie pour faire tout ce qu'il veut, une autre sait lire dans les pensées, l'enfant de 10 ans a toujours des idées géniales pour combattre l'ennemi (Gher, mon chouchou), ils ont une maison «magique» qui leur permet d'aller n'importe où, n'importe quand (pratique, pas d'embouteillages, pas de formalités d'enregistrement). Avantage ? Pas de longueurs ou de pertes de temps en descriptifs de voyages, ce qui rend ces deux tomes plus concentrés et intéressants.

Ah oui, autre point que certains rouspéteurs pourraient soulever : leurs ennemis sont stupides,... Très stupides, même, digne d'un dîner de cons, parfois !

Ok, je reconnais ces petits défauts et cette trop grande facilité qu'ont les héros du livre, parfois ! Mais le ton est tellement hilarant que j'ai lu ce roman avec le second degré, juste pour passer du bon temps, sans me poser plus de questions.

Même si ce second volume est plus sombre que le premier puisque chaque personnage devra faire face à ses démons et à son homonyme maléfique, sans oublier que l'on approche de la conclusion de cette incroyable épopée à travers le temps.

Malgré tout, nous aurons droit à des moments de légèreté puisque, après tout, Dweia est déesse de l'amour... Hé, hé, hé.

Quant au final étonnant, inattendu, il apport un plus à l'ouvrage. Avec ce retour vers l'incipit, nous permettant de boucler la boucle et de revenir aux sources (on comprend l'utilité des scènes d'ouverture)...

C'est vraiment une fin très, très surprenant (je ne vous dis rien de plus) mais elle conclut naturellement cette intrigue et passionnante aventure. Happy end...

Une lecture dont je garderai un excellent souvenir !

Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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Salut les Babelionautes
j'ai commencé ce tome deux le dernier jour de l'Année 2020 mais j'ai eu beaucoup de mal a le terminer.
Pourtant il ne fait que 512 pages, ce qui pour moi est un livre court.
Donc j'avais terminé le tome 1 sur la blessure reçu par Eliar, ce qui m'étais nos héros dans une position inconfortable puisqu'ils n'avaient plus accès aux portes permettant de manipuler le Temps et l'Espace.
Car dans cet affrontements entre le bien et le mal, les pouvoirs quasi magiques des personnages sont identiques dans les deux camps.
David Edding est un auteur que je découvre et j'avais décidé de ne pas commencé par son oeuvre majeure qui se déroule dans pas moins de seize tome.
Althalus va devenir de plus en plus roublard au fil des pages et ses compagnons vont avoir leur rôles tour à tour dans ce conflit visant à dominer le monde réel.
Bien entendus, c'est le bien qui triomphera, mais pas sans quelques difficultées.
La fin est, a mon gout trop conventionnelle, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, même la déesse !!
Donc au final ce ne sera pas un coup de coeur mais une lecture en somme bien sympathique dont Isabelle Troin a assurée la traduction, et je l'en remercie ici, car sans les traducteurs (trices) beaucoup trop d'oeuvre me seraient inaccessibles.
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Lu il y a quelques temps déjà, La Rédemption d'Althalus m'a plu mais ne fera pas non plus parti de mes incontournables. Il s'agit là d'une petite histoire qui se laisse lire, avec pas mal de personnages assez attachants (quoi que peut-être assez stéréotypés). Je n'ai pas encore lu d'autres oeuvres d'Eddings alors je ne peux pas faire de comparaison avec le reste de sa production littéraire. Ce diptyque est assez rythmé, bien que j'ai souvenir de quelques longueurs quand même. Cependant, sans partir dans une série avec de nombreux tomes, l'univers est ici bien présenté, les personnages ont le temps d'être un peu développés. La fin est, ma foi, très attendue... le titre de la série en dit déjà (trop ?) long sur le dénouement, il faut dire ! La petite bande d'Althalus m'a été bien sympathique en tout cas, j'ai été touchée par le côté "familial" qui a fini par se mettre en place entre eux. Bilan : ce n'est pas un chef d'oeuvre mais c'est malgré tout un bon moment de lecture.
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Même avis que le premier livre.
Déçue par l'histoire:La Maison est trop parfaite et résout tout les problèmes qui pourrai être intéressant de résoudre autrement(même si le système est une bonne idée).
Heureusement les stratèges ont de très bons plans en manière de mener la guerre version vicieuse(Je suis vicieuse;D).
L'histoire est trop parallélisée avec le coté obscure(les personnages ont les mêmes qualités mais les mauvais sont traités comme idiots qui ne sont pas capable de réfléchir pour contrer le plans des autres.
Pour résumé ce n'est pas le livre que je mettrai en premier dans ma bibliothèque...

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Bon deuxième tome, trop vite fini à mon gout.

On a le droit à de très belles scènes de batailles: châteaux forts, sièges, armées, complots, politique... et humour, le tout très bien dosé.

La deuxième partie est moins mouvementée, quoique toute aussi intéressante:

La boucle est bouclée, et tout s'achève pour le mieux.

Pour ma part j'ai presque pris Gehn en pitié sur la fin... après tout il est humain, et comme le dit si bien un proverbe latin...
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Ce ne fut pas le coup de foudre entre le duc Olkar et le chef Laiwon, et Althalus dut admettre que c'était en partie sa faute. D'abord, il avait oublié de mentionner les kilts, et la réaction du duc fac au costume traditionnel des Arums fut assez bruyante. Son tonitruant « ils portent des robes ! » n'avait pas mis Laiwon dans de bonnes dispositions à son égard. Althalus avait dû parler très vite pour empêcher toute effusion de sang.
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Poussé en avant par les réserves, le troupeau s'éparpilla et dévala la pente de la colline telle une vague blanche cotonneuse pour engloutir les forces de Pekhal.

— C'est le genre de chose qu'on ne voit pas tous les jours, dit Khalor avec un hochement de tête entendu. J'ai du mal à me souvenir de la dernière fois où j'ai vu un troupeau de moutons attaquer une armée.
— C'est la dernière mode, gloussa Althalus. Les moutons guerriers font fureur, cette saison.
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Gelta, Reine de la Nuit, s'époumonait tant qu'on l'entendait de l'autre côté de la vallée. Elle s'attarda à loisir sur les concepts de «couardise» et d'«incompétence», puis mit en doute la virilité de ses forces en usant de termes extrêmement colorés.

— Je ne saisis pas la moitié des mots qu'elle emploie, avoua le chef Albron.
— C'est parce que vous êtes un gentilhomme, mon chef, lui rappela Khalor. Vous n'êtes pas censé connaître leur signification.
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Quand un idiot hurle "mon dieu est meilleur que le tien", mon seul réflexe est de planquer ma bourse.
(Le sergent Khalor)
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Bheid revint avec des chopes de bière. Althalus n'eut qu'à renifler la sienne pour renoncer à y goûter.
-Immonde, n'est-ce pas?
-Oh, ça doit être parfait pour laver ses chaussettes dedans.
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