Le discours

Adrien est en pleine rupture amoureuse. Lors d'un repas de famille, son beau-frère lui demande de faire un discours pour son mariage. C'est là que tout dérape…

L'idée de départ n'est pas originale mais pouvait sembler a priori intéressante pour dépeindre les relations familiales. Ce petit livre n'est pas à proprement parler un roman mais plutôt le discours, sous différentes formes, qu'Adrien prépare mentalement alors que sa famille réunie autour d'une table échange des banalités pour combler le moindre silence, et surtout qu'il pense en permanence à l'amour de sa vie qui l'a plaqué. Et je finis par me demander comment Sonia a pu supporter aussi longtemps un quadragénaire mou aussi incapable de réagir face à sa collection d'encyclopédies.

L'histoire se répète en boucle et tourne rapidement à l'interminable. Pour couronner le tout, le style est pauvre et indigent. Je ne dois probablement pas avoir le même humour que la personne qui a rédigé la quatrième de couverture me promettant ‘Un récit savamment construit où le rire le dispute à l'émotion', l'un et l'autre sont complètement absents de ce livre.

Comme disait Hervé Bazin, il faut être "hyper au point" avec le style.

A ce sujet, le premier chapitre est souvent un bon indicateur: le mot bite répété toutes les dix lignes.
Répétition qui ne m'a pas vu décerner un sourire.

Il y a peu, j'avais pourtant apprécié le dessinateur et l'auteur.
Le ton dans "Zaï, zaï, zaï" m'avait plu et Fabcaro avait su décrire un quotidien absurde qui devenait une aventure extraordinaire. Et, là j'avais ri, mais pas seulement, j'avais réfléchi aussi.

"Le discours" s'intéresse aussi au quotidien d'un Adrien de la classe moyenne qui n'a jamais su choisir, dont chaque bonne résolution se voit submerger par la répétition des habitudes et pressions familiales.

Cela aurait pu donner une histoire sympa mais l'impression d'entendre des rires enregistrés pour des situations potentiellement drôle a eu raison de ma patience. J'ai lâché le livre comme cela arrive aussi souvent que... voter.

Trop d'artifices et trop de "b....", le texte ne m'a pas fait rire, alors que c'était semble-t-il l'objectif de l'auteur.

Une demi étoile pour l'éditeur!
Écartez-vous maintenant et passez votre chemin, et de toute embûche sur le chemin !
Bordel de tanche de pignouf de petit canaillou


aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!

J'ai choisi l'auteur sur recommandation, « c'est un auteur aux romans hyper drôles ».
Me voici donc dans le rayon de la médiathèque, plusieurs romans de l'auteur sous les yeux et celui-ci qui ne m'est pas inconnu car il me semble bien qu'un film en est tiré.

La couverture est loin de me plaire. La quatrième de couv' ne me vend pas du rêve non plus. Moins de 200 pages, ça devrait aller pour m'en faire mon propre avis.

Eh ben, c'est 150 pages de trop !
Je n'ai pas ri, pas souri…mais qu'est-ce que je me suis ennuyée sur ce personnage qui ne fait que se regarder le nombril.
Que de redondances et de digressions !

Le porte serviette qui n'a pas la bonne forme. L'ex qui veut faire une pause (je la comprends ^^). le discours à faire. le gratin dauphinois. le jus d'orange de la mère et le clin d'oeil du père ET le point d'exclamation après bisous !

Bref, pas besoin de faire un grand discours puisque je n'ai pas tenu plus de 85 pages.
Je passe mon tour sur l'auteur qui a, heureusement pour lui, trouvé un public qui l'adore.

Si vous avez lu Broadway, il n'est pas utile de lire le discours. C'est un copié/collé. FabCaro a trouvé un filon et sans trop de vergogne, tire le fil. Ce sont toujours les mêmes états d'âme, les mêmes turpitudes, les mêmes angoisses. Bref, on tourne en rond, et surtout, on retrouve la même narration que dans le livre Broadway. Ce fut drôle une fois. Pas drôle du tout la deuxième. Il faut plus d'imagination que cela M. Caro !

Adrien est invité chez ses parents à déjeuner alors que sa copine vient de le plaquer. Il lui envoie un sms, mais n'obtient pas de réponse. Son déjeuner va tourner à l'enfer, d'autant plus que son futur beau-frère lui demande d'écrire un discours pour le mariage de sa soeur.
J'aurais vraiment aimé éclater de rire comme le conseil une critique sur la quatrième de couverture. Hélas, je me suis bien ennuyée et j'ai laissé traîner en longueur ma lecture, n'ayant aucune inclination pour le personnage d'Adrien, que j'ai trouvé fade, ennuyeux, désespérant et particulièrement tourné sur lui-même. Heureusement pour elle, sa Sonia est partie !

C'est un abandon pour ce livre. Je n'ai pas du tout accroché au style de l'auteur, ainsi qu'à son soi disant humour à se tordre de rire. Pourtant sa plume reste très appréciable.
Je me suis ennuyée très vite malgré un début correct. J'ai trouvé l'histoire trop redondante et auto-centré ..., ce qui m'a fait déconnecter du récit et des personnages.

Le discours
La 1ere fois que j ai entendu parler de ce roman , c'était à la radio.Je m'étais empressée d'écrire son titre sur un bout de papier tant le journaliste était enthousiaste. D'autres critiques ça et là avaient fini par me convaincre totalement que si je voulais passer un bon moment de lecture,ce petit roman était incontournable.
Bof.bof.
Je n'ai pas ri, tout juste souri parfois,notamment lors de " la chenille des mariages ".en revanche, je me suis fait engloutir sous des avalanches de mots,de phrases.Le côté
mi Tanguy ,mi Calimero du héro finissait même par m'exasperer. J'avais envie de lui crier de" se bouger", d'arrêter d'être si passif. Même son chagrin d'amour me laissait indifférente; pire, "Il" était mérité. Pour un petit livre de seulement 151 pages,il m'a fallu 4 jours.

Au cours d'un repas de famille, Adrien est sollicité par le fiancé de sa s?ur, qui lui demande de réaliser un discours à l'occasion de leur mariage.
On suit ses élucubrations tout au long de ce diner, au cours duquel il attend impatiemment une réponse au SMS qu'il a envoyé à son ex-petite-amie.
Je n'ai pas du tout était sensible à ce court roman et à l'humour de l'auteur.
Peut-etre tenterai-je une de ses bandes-dessinées ?!?

Bien écrit et bien construit mais je n'aime pas les livres dont le thème du livre qui se limite à la petite vie du narrateur