Suite et fin des Chroniques de Moriarty avec ce second volume aussi étrange que le premier.
Après avoir refermé le livre, je me sens un peu confuse. L'histoire est opaque et la fin amène une suite parce qu'on reste dans le flou quant au devenir de Moriarty et surtout quant à l'identité des « bienfaiteurs ».
C'est toujours aussi violent et gore que le premier tome - je m'en doutais, hélas - et ça ne me plaît pas. C'est vraiment une question de goût personnel, je pense que beaucoup de lecteurs vont s'éclater avec cette BD. Mais j'ai beaucoup du mal avec le sordide de l'histoire et du graphisme.
Même si je n'ai pas accroché je reconnais que le second tome est moins ennuyeux que le premier. L'intrigue est plus riche et plus prenante que dans le premier opus.
Quoiqu'il en soit je me demande bien pourquoi avoir choisi Moriarty pour ce genre d'histoire. Je suis peut-être trop fermée mais je trouve que ça ne colle pas. J'aurais peut-être plus adhéré si l'auteur avait crée de nouveaux personnages plutôt que d'emprunter ceux de l'univers holmésien.
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C’est la perpétuation d’un certain imaginaire, d’une esthétique identifiable et d’une souplesse narrative qui y gagnent. Les lecteurs aussi.
Lire la critique sur le site : BDGest
Un excellent deuxième opus sur un personnage-clé de l’univers de Sherlock Holmes, à la fois dur et hors normes, qui devrait sans aucun doute refaire parler de lui dans de prochaines aventures.
Lire la critique sur le site : Sceneario
J'ai vu ton œuvre. Une piscine remplie du sang de tes victimes. J'en ai gardé un goût de métal dans la bouche.