L'amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence

Après en avoir beaucoup entendu parler et (plus que) généralement en bien, je me suis finalement laissée tenter par ce roman probablement auto-biographique de la mystérieuse Elena Ferrante.
Je dois avouer que ça a mal commencé...dans la première centaine de page, je passais mon temps à revenir aux premières pages afin de retrouver qui est qui. Les personnages ne m'étaient pas sympathiques et je trouvais l'histoire assez laborieuse.
Mais je me suis laissée prendre par l'histoire et je me suis finalement attachée aux deux amies et à leurs proches.
Je tiens aussi à souligner mon admiration pour la retranscription de la société napolitaine des années 50 qui est d'un réalisme cru et édifiant entre misère et violence, corruption, vengeance et trahison.
J'ai aimé, j'ai bien aimé. Mais je n'ai pas envie de me jeter sur le second livre. Je crois que je vais attendre d'oublier un peu à quel point j'avais envie de secouer Lenù et à quel point j'ai pu trouver Lila suffisante avant de me mettre à la suite.

Ça y est!! Enfin j'ai lu ce livre dont tout le monde parle! Et je vous avoue que j'étais impatiente de me plonger dans cet ouvrage après tout ce qu'on m'en avait dit! Mais malheureusement je n'ai pas eu le coup de coeur que j'attendais... J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans le récit, il est très dense et l'écriture est lourde et peu fluide à mon goût! J'ai souvent eu l'impression de stagner dans l'histoire et de ne pas avancer... S'ajoute à ça mon incapacité à m'attacher aux personnages qui n'a pas aidé non plus... un avis plus qu'en demi-teinte... Je ne sais pas encore si j'aurais l'envie de me plonger dans les livres suivants... Affaire à suivre...

Pourquoi un tel engouement autour de ce roman, autour de cette saga? Je n'irai pas plus loin que ce tome 1 que je trouve inintéressant. Les premières pages sont accrocheuses, on imagine que l'intrigue va être dense et bien faite ; mais non il n'y a aucune intrigue. Juste cette histoire d'amitié et de rivalité entre deux enfants puis adolescentes. C'est toujours la même chose, je t'aime moi non plus, des rapprochements, des éloignements, des garçons, la classe... Si le sujet est "universel" (qui n'a pas eu un(e) ami(e) proche dans son enfance avec qui ce n'était pas facile tous les jours?), je le trouve traité de façon pompeuse et interminable. Je ne trouve pas non plus les personnages attachants.
Bref une déception sur toute la ligne...

A côté, totalement à côté...
Je dois le reconnaitre, je suis passé à côté, mais alors totalement à coté de ce livre qui avait au départ tout pour me plaire, Naples, l'Italie, l'enfance, la période durant laquelle cela se passe. Et je sais pas pourquoi mais je n'ai accroché presque à rien dans ce livre. Une amie s'est mise à apprendre l'italien à fond pour lire le livre dans sa langue d'origine, on part visiter Naples les yeux brillants, la série sur Canal est commentée par les collègues...
Non rien n'y a fait. Style, personnage, intrigue...Je suis passé à côté de tout cela, sans qu'il m'en reste beaucoup de souvenirs. Il faudra peut-être y revenir un jour. Je mets 2,5 étoiles dans le doute !

Ce roman sur l'Italie des années cinquante met bien évidemment l'amitié à l'honneur. Une amitié qui naît entre deux gamines des quartiers et perdure avec les années malgré des hauts et des bas.

Mais ce qui m'a frappée c'est ce plaidoyer, incessamment distillé au fil de l'oeuvre, pour le rôle émancipateur de l'éducation. En effet, Lila et Elena, les deux amies, sont des élèves très brillantes et prometteuses, pourtant seule Elena - la narratrice - va poursuivre ses études. Et si tout semble réussir à Lila, je pense que nous ne sommes pas au bout de nos surprise tant son amie met d'ardeur à étudier, et tant son parcours scolaire suit en filigrane le récit de l'amitié des deux jeunes filles.
J'ai passé un très bon moment avec ce roman enthousiasmant, qui transporte dans l'Italie traditionnelle napolitaine, son dialecte, ses noms si colorés, ses bandes, ses histoires.

Le début de cette lecture a été vraiment poussive de mon côté, ce sentiment ou rien ne se passe rien n'évolue et puis la multitude de personnage et les 2 ou 3 noms pour certains d'entre eux, sans compter le nom des poupées, j'ai vraiment eu peur d'abandonner ma lecture arrivant jusqu'à la première centaine de pages avec difficulté.

Et puis passé ce cap, le récit m'a plus séduite, les descriptions restent toujours très présentes mais l'adolescence étant un âge ou il se passe plus de chose surtout pour des jeunes filles à cette époque.

Lila doit abandonner ses études pour aider son père à la cordonnerie et Elena grâce à soutient de son institutrice poursuit ses études.

Dès lors le rapport entre les deux amies change, Lila empruntant des livres à la bibliothèque afin de se mettre au niveau d'Elena, leur rivalité continue donc sur un autre terrain également celui des premiers émois amoureux, Lila ayant beaucoup de prétendants et Elena en ayant un peu moins.

La fin de premier tome donne envie de continuer à lire ce récit, une lecture un peu compliquée à lire pour moi au début mais que j'ai plutôt aimé au final.

J'ai manqué abandonner ce roman dont les 50 premières pages m'ont vraiment ennuyée. Certaines critiques m'ont encouragée à persévérer et mon intérêt est allé crescendo au fil des pages .
L'amitié entre Lila et Lenù n'est pas évidente, partagée entre stimulation intellectuelle, manipulation, jalousies et dépendance. Une ambiance de quartier pauvre de Naples empreinte de violence.

Après en avoir beaucoup entendu parler (en très positif comme en plus négatif), je me suis lancée dans la lecture de ce premier tome de L'amie prodigieuse.
Et au final je dois avouer que ce fut une lecture assez fastidieuse. Je me suis accrochée malgré tout et ai fini par me prendre au jeu de savoir comment évoluraient les relations entre les personnages.
Pourtant il ne se passe vraiment pas grand chose et si j'envisage de lire les tomes suivants il faudrait que je le fasse sans trop attendre, sinon je doute d'y revenir ...

L'amie prodigieuse nous plonge dans le Naples des années 1950/1960.
Lena nous livre le récit de son amitié avec Lila. Une amitié complexe, car les deux jeunes filles ne semblent pas toujours se comprendre et ressentent parfois des sentiments contradictoires à l'égard l'une de l'autre. Pourtant elle garde un lien indéfectible, malgré des chemins qui se séparent. Nous découvrons en effet Lena et Lila pendant leur enfance. Toutes les deux douées à l'école, seule Lena aura l'opportunité de poursuivre ses études alors que Lila rejoindra la cordonnerie familiale.
En suivant les deux amies et leurs camarades, Elena Ferrante fait également revivre l'Italie de cette époque, avec ses coutumes et ses moeurs.
Il m'a fallu attendre plus de la moitié du roman avant d'apprécier réellement cette lecture, qui même si elle est plaisante à lire, reste sans plus pour moi. Je poursuivrai tout de même la lecture de cette saga, mais pas dans l'immédiat.

2 remarques que m'inspirent ce livre. la première, j'ai aimé le style de l'auteur, c'est bien écrit , de beaux passages que l'on a envie de recopier et de se relire.
La seconde remarque, c'est un récit très réaliste , très crû de cette époque et de cette vie à Naples, la pauvreté, les traits de caractère des personnages toujours en colère, révoltés de tout , de rien , un besoin de toujours en découdre avec son voisin (envie, jalousie etc...) Voilà partagée entre ces 2 sentiments, je vais continuer la saga et voir comment la jeune héroïne, qu'on a envie d'encourager et de féliciter, continue d'évoluer dans ce monde