Avec le recul, le lecteur ne peut qu’être frappé par l’évidence et la justesse de leurs diagnostics – des « faux besoins » à notre incapacité actuelle à imaginer une alternative à une civilisation capitaliste anesthésiante fondée sur le confort et la consommation. Leurs riches échanges invitent à la (re)découverte de leurs œuvres respectives. Enfin, ces derniers s’inscrivent clairement dans une écologiste humaniste, donnant toute sa place à l’homme dans le respect de son environnement à la fois « vécu » et naturel afin de « pacifier l’existence ».
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