Pourquoi, dans les mythes grecs de métamorphoses végétales, les jeunes filles sont-elles transformées en arbres, tandis que les garçons donnent en mourant naissance à de jolies fleurs ? Cette question, point de départ du livre, est d’abord déterminée par la langue française, qui veut que la fleur soit un nom féminin et que l’arbre soit masculin. L’étonnement est peut-être moins grand pour un Italien habitué à penser les fleurs au masculin. Et que dire des langues qu... >Voir plus
Dédiant son livre à Paul Veyne, l'historienne, qui fut aussi proche de Jean-Pierre Vernant, élit principalement domicile dans Les Métamorphoses, poème d'Ovide, « vulgate » du genre.