Chiens de sang

Karine Giebel avec "Chiens de sang", propose un suspense dans une course poursuite haletante en plein coeur des Cévennes, 24 heures vécues par deux êtres, gibiers humains rongés par la souffrance. Diane, une jeune femme de 30 ans, célibataire et sans enfants, reporter photo, et Rémy, un homme de 36 ans, SDF depuis quatre ans.

J'ai été scotchée dès le départ par ce thriller lu rapidement, absorbée par le rythme et l'écriture nerveuse qui colle bien à ce style.
Jusqu'à la fin, j'ai attendu que les deux intrigues s'imbriquent d'où ma frustration à la fin du livre.
Roman noir qui aborde des thèmes tels que la solidarité, l'exclusion, les erreurs de jugements et de choix, le sentiment de culpabilité, l'instinct de survie, les rapports de force …
Vite lu et digéré.

1ère rencontre avec Karine Giebel et... bof,bof,bof
D'après ma fille qui est une inconditionnelle de K. Giebel,ce n'est pas son meilleur,mauvaise pioche pour moi
La noirceur,le suspense ,la misère sociale de certains personnages,le rythme ,tout est réuni pour nous "accrocher" car c'est une drôle de traque que nous allons suivre!! Commencé on ne le lâche plus car on veut connaître le dénouement,mais pour moi un peu trop fiction et trop de sang!! J'aime les thrillers spychologiques, aspect que je n'ai pas trouvé dans cette histoire très noire. Je pense renouveler la lecture de cet écrivain, j'attends vos suggestions qui me permettront d'ajouter une ou deux étoiles de plus.🌟🌟

Karine Giebel est encore une fois fidèle à elle-même dans ce livre. Là, il s'agit de deux chasses à l'homme, qui se déroulent en parallèle, et c'est absolument terrifiant ! L'imagination de l'auteure pour montrer les facettes obscures de certains humains est encore une fois débordante ! Un très bon livre pour qui aime plonger dans cet univers "inhumain" ! Pour moi, c'était un peu trop "glaçant" !

Une véritable pompe à l'adrénaline, "Chiens de sang" est un roman très court, très dense et très cruel.
Encore une fois, chez Karine Giebel, nous avons l'affaire à des personnes qui se retrouvent au mauvais moment au mauvais endroit.

Diane est une photographe qui fait un reportage dans la forêt des Cévennes. Par pure hasard des choses, elle devient témoin de quelque chose qu'elle n'était surtout pas censée de voir. Alors, elle se fait traquer par un groupe des autochtones avinés à travers l'immensité verte.

Rémy est un SDF depuis peu. Après un petit service rendu, il se voit proposer un travail de jardinier par un riche "Lord". Mais à peine arrivé sur la propriété, il est enfermé avec trois autres personnes dans une remise. Ce sont des gens de "rien", qui n'existent pas - un SDF, un sans papiers, deux immigrés...ils peuvent donc servir comme le gibier pour une chasse très spéciale, organisée par le Lord deux fois par an pour les clients richissimes.

Et la double traque commence. On ne se remet même pas de ce que doivent endurer Rémy, Sarhaan, Eyaz et Hamzat avec une meute des chiens à leurs trousses, et on retourne déjà vers Diane, perdue et au bout du souffle.

Diane, Rémy...Diane, Rémy...et à la fin, aura t'il quelqu'un qui va s'en sortir, nom de nom ?

Difficile à noter. Je l'ai dévoré en quelques heures, mais mon éthique personnelle m'empêche de coller cinq étoiles. Et toute à l'heure, je dois sortir. Seule...

Je termine ce livre de 252 pages , lu d'une traite et à bout de souffle ....Une chasse à l'homme terrible pour des gens riches et fortunés. Deux histoires parallèles qui vont vivre cette traque infernale et tout faire pour s'en sortir . Comme des gibiers ils seront chassés , pourchassés par les aboiements des chiens et rien ne le seront épargné pour les pieger.Les chasseurs seront impitoyables .J'ai adoré cette lecture et je reste une inconditionnelle de cette auteure.
Le vous le recommande .

Et oui ! Encore un Karine Giebel ! Quand on aime, on ne compte pas ^^ ou plutôt si, je compte les livres qu'il me reste à lire d'elle ... j'aime savoir que je n'ai pas tout lu de mon autrice chouchou ! En cas de panne de lecture, elle est mon inspiration ... ma valeur suuuuuuuuuur ! Dans ce livre, il est question cette fois d'une véritable chasse à l'homme ... Une ? euh ... non ! Deux chasses à l'homme !!! Et oui le monde est ainsi fait ... les chasseurs d'un côté, les proies de l'autre !!! Certes, ce n'est pas son meilleur roman mais quel bonheur (encore et toujours) de retrouver son ambiance ... Haletante, anxiogène et surtout trippante !!! voilà, quand on lit du Giebel, du moins pour moi :P ça me prend aux tripes ;)

Le moins que je puisse dire, c'est que j'ai terminé ce roman à bout de souffle. A l'image des protagonistes de l'histoire, j'avais hâte d'en finir avec ces quelques 280 pages de courses poursuites.

Deux scénarios en un, un point commun : la fuite. D'un côté, Diane, photographe qui lors d'une expédition en rase campagne, surprend des chasseurs commettre un acte irréparable. Ils n'ont plus qu'un but, se débarrasser de ce témoin gênant et vont ainsi prendre la jeune femme pour proie.
De l'autre, dans une immense propriété de Sologne, des milliardaires participent à une chasse à courre. Rien d'extraordinaire si ce n'est que le gibier est humain. Au menu, cette fois-ci des sans-papier et un SDF, des solitaires que personne ne recherchera, enlevés en pleine rue par l'organisateur des festivités. La traque commence.

Malgré un rythme effréné, j'avoue que je me suis un peu ennuyée. le scénario se répète : la proie est attrapée, réussit à s'échapper et c'est reparti pour un tour. Je trouve que Karine Giebel est très inégale dans ses romans. J'en ai aimé certains "Purgatoire des innocents" ou "Les morsures de l'ombre" et détesté d'autres comme "Meurtres pour rédemption". Elle ne fait pas vraiment partie de mes auteurs de thrillers favoris car ce que je lui reproche c'est surtout la forme, le style si vous préférez. Pour donner dans doute plus de rythme, elle se limite à des phrases courtes, très courtes... oui, mais des phrases de 2 ou 3 mots avec de multiples retours à la ligne, ça remplit bien l'espace mais ça reste limite question profondeur de texte. Certes, elle évoque certains faits de société comme la situation des clandestins sur notre territoire ou la survie des SDF dans l'indifférence générale. Malgré cela, l'impression d'un thriller plutôt basique demeure, loin du niveau de recherches d'un Thilliez, d'un Lemaitre ou d'un Grangé.

Une lecture vraiment en demi-teinte à laquelle j'accorde un 10/20 pour un scénario peut-être plus adapté à un film qu'à un livre.

Lire un roman de cet auteur c'est partir avec presque la garantie de dévorer le livre. En tous cas, c'est pour cela que nous en lisons un quand nous les plaçons dans le programme de nos lectures communes. Celui-ci était tellement petit en plus que nous l'avons vraiment dévoré et fini très rapidement! Il faut dire que l'auteur nous amène dans une telle histoire qu'il est bien difficile de reprendre son souffle et ne pas vouloir finir immédiatement notre lecture, déjà pour connaître la conclusion mais aussi pour pouvoir respirer car l'action est étouffante par moment.

Je suis toujours étonnée par la tournure des événements et surtout par le côté tordu des récits que nous propose l'auteur. Si nous nous préparons toujours psychologiquement à perdre des héros et à nous retrouver avec une vérité qui est loin de ce que nous pouvions croire, il est tout bonnement impossible d'anticiper ce qui va se passer et ce que les méandres de son esprit nous auront pondu. C'est ce qui fait que les lecteurs restent obnubilés par le récit et tournent les pages presque sans s'en rendre compte.

Ici se prendre d'affection pour un personnage s'avère bien compliqué, car nous sentons bien que l'auteur, tout en nous faisant craindre le pire pour les personnages, nous laisse un peu en retrait de leur histoire, peut-être pour nous préserver et cela vaut mieux. Il faut dire que dans ses romans mieux vaut ne pas s'attacher à qui que ce soit, car la chute risque d'être sévère...

En bref, c'est donc avec régal que j'ai plongé dans cette nouvelle histoire et j'y ai trouvé tous les ingrédients que j'adore dans ses romans! Vivement le prochain!

Des chasseurs et du gibier, pas de pitié... du sang !!!
Malgré le décor splendide de la forêt Cévénole, l'ambiance est sombre !

Des humains qui se croisent dans une zone de non droit. La chasse sera cruelle, la souffrance et la peur seront au rendez-vous pour le gibier. Car même quand on a tout perdu, la mort fait peur. Cette peur qui révèle les failles et le courage des êtres.

Le rythme est soutenu et l'ambiance morose, malgré quelques pointes d'humanité.

Chausser vos bottes et allez vous promener au coeur de ce récit, vous ne le regretterez pas.

Les hommes n'ont pas le monopole du thriller ! Et, croyez-moi, cette dame n'a rien à leur envier. Après avoir adoré Les Morsures de l'ombre, j'attendais avec une grande impatience mon deuxième rendez-vous avec Karine Giebel. le rendez-vous a été on ne peut plus concluant, mais je suis bien embêtée maintenant pour rédiger mon billet. Comment vous dire en effet à quel point ce roman est bluffant sans vous en révéler le contenu ? Chiens de sang prend aux tripes, dès les premières lignes. C'est un roman qui conduit le lecteur sur les chemins de l'horreur et ne le laisse reprendre son souffle à aucun moment. Il n'est vraiment pas sûr qu'il plaise à tous : on pourrait le trouver trop violent, trop malsain, trop noir. Pour ma part, j'ai trouvé l'histoire extrêmement bien menée et, surtout, très bien racontée, dans un style sec et concis qui laisse peu de place à l'apitoiement. Seule compte l'implacable avancée de la traque...

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