Bonjour les lecteurs ...
Voici ma 2° découverte avec cette auteure et autant la précédente m'avait peu enthousiasmée, autant ici j'ai été emballée!
Voici un livre diabolique, machiavélique qui m'a tenue en haleine jusqu'aux dernières pages, même si nous devinons assez rapidement qui est " le méchant".
Cloé est une jeune femme à qui tout réussi, à la sortie d'une soirée, elle se sent suivie par une silhouette encapuchonnée ... son cauchemar va commencer.
La destruction commence ...
C'est net, précis, incisif, obsédant, captivant
C'est noir, angoissant mais sans descriptions gores ni goutte de sang.
un très bon page-turner.
A découvrir
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Cloé , cadre dans une agence de pub , sur le point d'en obtenir la direction , est une belle jeune femme , froide et distante . Elle se montre parfois méprisante envers les subalternes , faisant payer aux autres la culpabilité qu'elle éprouve depuis son enfance : elle a commis une faute irréparable . Cloé se sent suivie , observée . Au début , c'est juste une ombre . Puis , peu à peu , l'ombre devient plus présente . Des objets changent de place chez elle ; l'électricité est coupée , un oiseau ensanglanté est déposé sur le seuil de sa porte et le frigo est mystérieusement rempli .
Son harceleur existe-t-il vraiment ? Traverse-t-elle une crise de délire paranoïaque ?
La police ne la prend pas au sérieux ; son petit ami non plus . Un homme va la croire . Alexandre, commandant de police (abîmé par la vie) ,va tomber sous son charme et commencer à enquêter .
Ce qu'il y a de bien avec les romans de Karine Giebel , c'est qu'on ne s'ennuie pas un instant . Elle montre bien le cheminement psychologique des personnages sans que cela soit pesant .
On est saisi dès le début par l'histoire . Tout au long du roman , le lecteur se demande bien qui est « l'ombre » , le pervers qui terrorise Cloé, et quand on sait qui il est , le cauchemar continue de plus belle ... avec juste une lueur d'espoir à la fin !
Bon livre !
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Cloé a tout. Une belle carrière, un bel amant, de l'argent, une maison... Mais derrière les apparences, elle est hautaine, méprisante, égoïste et arrogante. Bref, on n'a pas envie de la côtoyer de trop près. En parallèle, Alexandre Gomez est un flic qui n'a peur de rien, une vraie tête brûlée, qui cherche le danger et les gros coups.
Le petit monde parfait de Cloé commence à vaciller quand elle est suivie dans la rue par un homme en noir qu'elle est ensuite persuadée de voir partout, y compris dans sa maison. Folie ? Démence ? Ou véritable psychopathe qui s'en prendrait à elle ? Et pour quelle raison ?
L'histoire de Cloé est très lisse en apparence et j'ai longtemps préféré les pages avec Alex. Bien que ce ne soit pas mon genre de prédilection, j'ai apprécié ce roman qui torture ses personnages, mais pas trop son lecteur. Je pourrais même y prendre goût au hasard des défis lecture.
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Cloé "brille comme un soleil" et éblouit les hommes qu'elle croise. C'est une battante au travail jusque dans la vie, jusqu'au jour où elle va croiser une ombre, une menace. Alex, flic paumé à la gueule de voyou, occupé à accompagner sa femme mourante, réussira-t-il à la sauver? Bon polar qui sait capturer son lecteur pour les amener dans les affres de la perversité humaine! Un régal!
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Découverte de l'auteur avec ce premier thriller que j'ai beaucoup apprécié : une intrigue qui m'a tenue en haleine tout au long de sa lecture. Juste ce qu'il faut de doutes sur certains personnages afin de nous aiguiller dans un monde de suspicion. Certains personnages attachants, si l'on regarde au delà de leur froideur, font le contre poids avec ceux que l'on ne souhaiterait surtout pas rencontrer, et une héroïne qui fait tout, avec succès, pour qu'on la déteste.
Je me suis délectée de cette intrigue rondement menée, où l'étonnement laisse le pas à la surprise et à l'interrogation, en passant par une tension sourde et bien réelle débouchant sur une inquiétude fondée et qui de plus, a le mérite d'avoir une fin à la hauteur de son cheminement.
Un livre où l'auteur ne ménage pas ses lecteurs, les transportant dans des recoins insidieux où l'irrationnel s'avère être le reflet d'une réalité que l'on n'aurait pas voulu imaginer.
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