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Le Maître Chocolatier tome 3 sur 3

Chetville (Autre)
EAN : 9782808201261
64 pages
Le Lombard (05/02/2021)
4.03/5   15 notes
Résumé :
Alexis Carret fait du chocolat. Il est doué, créatif? C'est un artiste et un amoureux du goût. Avec l'aide de son amie, Clémence, de l'ambitieux Benjamin et des petites mains de Manon, Alexis va peu à peu prendre son essor et s'affirmer professionnellement, personnellement jusqu'à proposer des choix innovants dans l'univers rigoureux des fèves de cacao.
Que lire après Le maître chocolatier, tome 3 : La plantationVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Ce tome fait suite à le maître chocolatier, tome 2 : La concurrence (2020). Comme il s'agit d'une trilogie, il vaut mieux avoir commencé par le premier tome et les avoir lus dans l'ordre. La première édition date de 2020. Il est coécrit par Éric Corbeyran et Bénédicte Gourdon, dessiné et encré par Chetville (Denis Mérezette), avec une mise en couleurs réalisée par Mikl. Il s'agit d'une bande dessinée comptant 62 planches.

Dans l'atelier de la boutique Bar à Chocolat, Manon est en train de préparer des pralinés : faire fondre le chocolat, le verser dans un moule, gratter le surplus, chasser les bulles, évacuer le trop-plein de chocolat, racler et mettre au frigo, caraméliser les fruits secs, remplir les coques avec, replacer au frigo, refermer les coques, enfin démouler les petits carrés. Manon est très satisfaite du résultat obtenu, et Alexis Carret la félicite mais elle voit bien qu'il n'est pas entièrement convaincu. En fait, il lui indique qu'il faut passer à des outils plus professionnels comme le cadre, la guitare et la fontaine à chocolat. Il ajoute qu'il est à la recherche d'une idée innovante qui leur permettrait de se démarquer de la concurrence, autre que les pralinés, les ganaches, les tablettes et même les sculptures. Pour lui, le chocolat, c'est le goût pas la forme. le goût, il n'y a que cela pour se différencier des autres, le goût uniquement. Il ressent avec acuité qu'ils ne maîtrisent aucun des facteurs essentiels qui déterminent ce qui sort de leur boutique. Ils sont tributaires des fournisseurs qui leur proposent leur palette de produits. Mais finalement, ils sont toujours dépendants de choix qui sont faits par d'autres. Pour eux, l'idéal serait de rencontrer des producteurs, d'échanger avec eux, de discuter des particularités de leurs fèves, de leur façon de cultiver les cacaoyers, de leur environnement, du terroir, etc., de visiter l'un des 45 pays producteurs de cacao. Ils se rendent compte que ni l'un ni l'autre n'a jamais voyagé.

Le même soir, Clémence rentre chez elle à pied en tenant sa fille Ahinoa par la main. Elle entend quelqu'un qui l'appelle par son prénom : Karen se tient dans l'ombre d'une porte cochère, avec un oeil au beurre noir. Elle a quelque chose à lui dire à propos de Ben. le lendemain, en Côte d'Ivoire, Édouard Carret et son adjoint Walter visitent une plantation de cacaoyers. le premier interpelle un enfant avec un plateau de cabosses sur la tête, et lui fait observer qu'il en a laissé une sur l'arbre où il vient de les cueillir. L'enfant répond qu'elle n'est pas tout à fait assez mûre. le responsable de la cueillette vient à son aide en expliquant qu'effectivement elle serait trop amère. Walter insiste et donne l'ordre de la cueillir, en sachant que de toute façon, en usine ils ajouteront 80% de sucre pour faire passer l'amertume. Une heure plus tard, Walter au volant de la voiture les a ramenés à Abidjan. Édouard remarque qu'ils ne se dirigent pas vers l'hôtel : effectivement Walter l'emmène dans la rue des prostituées car ils ont une après-midi de libre et ils peuvent en profiter pour passer du bon temps. le même jour à Bruxelles, Clémence est installée dans l'un des fauteuils du salon d'Alexis et lui rapporte ce que Karen lui a expliqué. Benjamin Crespin, leur associé, est séquestré par les hommes de main de monsieur Logan, et il est vraisemblable qu'il ait trempé dans des affaires louches. Alexis a du mal à en croire ses oreilles et est prêt à mettre en doute la parole d'une droguée.

Quel plaisir de retrouver ces personnages ! Manon est toujours agréable et souriante, contente d'apprendre, de faire, de s'investir dans une relation constructive avec Alexis. le dessinateur représente une jeune femme alerte, souriante, habillée simplement. Alexis Carret continue d'aller de l'avant avec son entreprise. Il ne s'agit plus pour lui de simplement exercer son art, mais aussi de faire vivre sa boutique. Les coscénaristes savent faire apparaître sa motivation plus profonde avec son projet de faire mieux que des bons chocolats, mieux que la concurrence, en proposant des produits d'exception. Clémence apparaît un peu plus âgée que Manon, avec des gestes plus en retenue, des expressions de visage plus mûres, marquées par l'inquiétude, des tenues plus sophistiquées. Benjamin Crespin est toujours aussi séduisant, avec un petit air enjôleur, mais aussi un visage plus dur quand il est poussé dans ses retranchements par Alexis. Alors qu'il pouvait trouver que les personnages n'étaient pas très développés dans les 2 premiers tomes, le lecteur se rend compte qu'ils ont chacun leur caractère. Ils n'ont jamais été interchangeables, mais ici, c'est aussi une évidence que leur comportement est dicté par leur personnalité, et qu'ils ne sont pas juste unidimensionnels.

L'image de couverture annonce explicitement que le personnage principal va se rendre dans une plantation de cacaoyers. C'est bien sur l'occasion d'en apprendre plus sur cette composante de l'industrie des chocolats belges. Dans les deux premiers tomes, le lecteur avait également l'impression que les auteurs se contentaient d'une vulgarisation superficielle un peu légère sur la chaîne de production. Il se rend compte qu'il n'avait peut-être pas tout à fait bien mesuré la réalité des informations qui étaient présentes. Il s'en rend mieux compte avec la scène d'ouverture au cours de laquelle Manon prépare des pralines. En un peu plus d'une page, il a tout suivi, de manière claire, avec une complémentarité exemplaire entre texte concis, et images montrant clairement le travail. Il retrouve la même qualité de vulgarisation lors de la visite de la plantation du professeur. D'un côté, c'est toujours présenté de manière simple et un peu gentille. D'un autre côté, il s'agit de 5 pages allant de l'irrigation des cacaoyers dans le verger, à au séchage lent des fèves après fermentation, avec un tri à la main avant expédition. En outre, il a droit à un petit complément quand Alexis se rend chez le torréfacteur installé à Avignon, avec deux pages d'explication supplémentaire. Pendant la séquence de visite du verger, le lecteur apprécie à nouveau la qualité de la mise en images de Chetville. Il est évident que les 3 auteurs se sont coordonnés, et que l'artiste a effectué un sérieux travail de recherche de références. le lecteur accompagne Alexis et Benjamin dans ce tour du propriétaire, en écoutant avec intérêt leur guide Bao Ngoc, tout en regardant autour de lui, et observant les réactions de deux acheteurs potentiels.

Tout du long de ce troisième tome, le lecteur apprécie la qualité de la narration visuelle, épaté par son évidence et son humilité discrète. de temps en temps, il ralentit sa lecture pour mieux apprécier une case, sans forcément sans rendre compte. Chetville donne l'impression de réaliser des dessins faciles, à la lisibilité immédiate, sans rien de remarquable. Pourtant sous un dehors tellement classique qu'il en est presque académique, il réalise une narration visuelle d'une grande qualité. L'artiste promène le lecteur dans des lieux très différents qui semblent tous plausibles, cohérents, conformes à la réalité, sans le vernis clinquant d'une brochure de tourisme : le laboratoire de cuisine au-dessus de la boutique de chocolat, la plantation de cacaoyers en Côte d'Ivoire avec les enfants en train de travailler, l'immeuble mal entretenu où est séquestré Ben, le pavillon de luxe de la famille Carret, la superbe vue depuis le balcon de la chambre d'hôtel à Hô Chi Minh-ville, la plantation artisanale du professeur, le restaurant très convivial à Bên Tre, les deux pages (40 & 41) de tourisme au Vietnam, et bien sûr les rues de Bruxelles. S'il le souhaite, le lecteur peut prendre le temps de regarder plus dans le détail ces passages, et il éprouve la sensation de faire un tourisme calme qui ne se focalise pas sur une liste d'éléments spectaculaires à voir à tout prix, mais plus sur des lieux de vie.

Le lecteur se rend compte que sa réaction est identique concernant le scénario : sympathique, peut-être un peu mièvre par moment. Il prend conscience qu'il a confondu gentillesse et fadeur. Certes, les personnages ont tendance à se montrer prévenant les uns envers les autres, et à affronter les difficultés avec un optimisme certain. Mais quand même, les coscénaristes savent se servir des conventions du récit de genre Aventure, mettant en scène une séquestration, une opération de libération un peu légère, des casseurs de vitrine, deux passages à tabac (une victime finissant à l'hôpital), l'assassinat d'une personne dans son lit, un enlèvement en pleine rue, un chantage et même l'explosion d'un bateau de plaisance. On est loin d'un récit florianesque et aseptisé. À bien y regarder, il est également possible de relever une ou deux remarques économiques, et même une de nature politique. Comme dans le tome précédent, les auteurs glissent une petite pique sur l'industrie agro-alimentaire qui n'a à l'esprit que les bénéfices, sans aucune considération pour le goût (on rajoutera du sucre), ni pour la main d'oeuvre employée (des enfants). En fonction de sa sensibilité, le lecteur peut se retrouver fort surpris du traitement très pragmatique du personnage du professeur qui s'est fait justice lui-même et qui est présenté sous un jour positif, de l'usurier qui n'est pas puni, ou encore du régime communiste liberticide, mais assurant une forme de bien-être de ses citoyens, décidément pas un récit naïf.

Ayant lu les deux premiers tomes, le lecteur est acquis d'avance au travail des auteurs pour le troisième, s'apprêtant à un récit sympathique, et vaguement peinard. Il retrouve le grand professionnalisme de Chetville dont les pages sont si évidentes et claires, qu'il pourrait passer à côté de leur richesse et de leur maitrise. Il prend conscience, que loin de se reposer sur leurs lauriers, les coscénaristes maintiennent les qualités de leur narration : relations entre des personnages adultes, dimension vulgarisatrice sur le chocolat, aventures avec des risques réels et des conséquences, et pragmatisme intégrant le principe de réalité par opposition à des idéaux purs et plus adolescents. le récit révèle également des saveurs inattendues grâce à l'effet cumulatif des éléments déjà présentés dans les tomes précédents.
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Je suis finalement arrivée au bout de la série du Maître Chocolatier alors que je ne pensais même pas lire le deuxième tome, mais la curiosité... Et sans surprise, le troisième tome ne m'a pas davantage séduite que les deux précédents. le récit mêle passion pour le chocolat (cette fois on se concentre surtout sur l'origine du chocolat avec la production des fèves de cacao dans les plantations) et intrigues mafieuses en tout genre (menaces, enlèvements,...).

Comme dans les deux premiers tomes, les dessins ne m'ont pas trop plu, avec des personnages qui manquent de naturel et paraissent figés. En revanche, les paysages du Viêt Nam sont très bien rendus, lumineux et verdoyants.

Je pense que le Maître Chocolatier est davantage destiné aux adeptes de suspense qu'aux amateurs de chocolat et comme j'entre plutôt dans la deuxième catégorie...
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Dans ce tome de conclusion qui, tout à coup, devient une suite d'évènements abracadabrantesques dignes des plus sinistres polars de série B, notre héros fait ce que chaque héros 'professionnel' de ce genre de série fait : un retour au sources en tournant courageusement le dos aux vilaines méchantes multinationales avides de bénéfices et peu regardantes de la qualité. Je ne veux absolument pas critiquer cette dynamique, bien au contraire, je veux juste souligner le fait que c'est toujours le même combat qui se retrouve au centre de ce genre de BD, comme si il n'y avait pas moyen de trouver une autre idée de fond de scénario. Il ne manque que le circuit-court et le petit producteur local...compliqué dans une BD sur le chocolat...Ce n'est pas trop grave, on va remplacer ça par la problématique de l'intégration des sourds dans les milieux professionnels. Ce n'est pas critiquable, loin s'en faut, mais c'est compliqué dans une BD dont ce handicap n'est pas le sujet. La lecture est un peu brouillée dans sa lisibilité car les gestes des mal-entendants sont démultipliés afin de rendre le langage des signes visuels. Ca ne fonctionne pas très bien et cela n'apporte pas grand chose au récit.
Bref, la série dans son ensemble est tout à fait dispensable. J'aurais du m'acheter une bonne boite de pralines à la place...j'aurais éprouvé une plus grande satisfaction qu'à la lecture de cette saga.
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Alexis n'est pas content de ses chocolats ! Ils sont pourtant très bons mais il est énervé car ses produits ne se démarquent pas des autres commerçants. Pour cela il n'y a qu'une solution, aller visiter une plantation de cacao et revenir avec quelque chose de rare. de plus, des événements vont précipiter le voyage. Les malfrats qui ont prêté de l'argent à Benjamin veulent récupérer leur dû et le font savoir de façon violente. Direction le Vietnam afin de trouver des fèves aux saveurs nouvelles. Ce qui est intéressant en plus de l'aventure en elle même c'est que le trio d'auteurs (Chetville, Gourdon, Corbeyran) nous apprent des choses intéressantes sur le chocolat via la façon de les concevoir ou, d'où viennent les ingrédients, comment les transformer, etc... Mais aussi, le trio nous fait visiter l'endroit où se rendent les héros de l'histoire. Notamment les abords du fleuve Mekong et ses commerces ou architectures. le maître chocolatier est une saga dans le style familial dont Corbeyran est particulièrement friand (Château Bordeau, la maison des Fragrances, Clos de Bourgogne). Elle est plaisante à suivre et donne forcément envie de mordre dans un morceau de chocolat ! 


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Benjamin est à la merci d'un maffieux nommé Logan qui a permis l'ouverture du magasin d'Alexis. Obligés de se mettre au vert quelques jours, Alexis, Benjamin et Manon partent au Vietnam pour visiter une plantation qui pourrait leur proposer des fèves de qualité. Ils vont se retrouver en concurrence avec des chinois, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué??
Semi polar allié à un documentaire sur le cacao. Fin de l'histoire avec des personnages un peu caricaturaux mais le contrat est bien rempli concernant le placement de produit cacao! Pas mal.
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critiques presse (1)
Sceneario
25 février 2021
Un très bon album qui se déguste comme du très bon chocolat. Un triptyque que je ne peux que vous recommander.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Les pralinés, ce n'est pas compliqué ! Après avoir fait fondre du chocolat à 45°, on laisse retomber la température à 32° et on verse le chocolat dans un moule en polycarbonate. On gratte le surplus sur les bords pour ne rien perdre. Ensuite on tapote le moule sur le plan de travail pour chasser les bulles d'air. On retourne le moule pour évacuer le trop-plein de chocolat afin de ne laisser qu'une fine couche qui tapisse le fond de chaque alvéole. Bien racler à nouveau et placer le moule au frigo pendant une demi-heure. Pendant que ça refroidit, on caramélise des fruits secs – pistaches, noix, noisettes, amandes, suivant le parfum choisi – que l'on a préalablement broyés au mixer. La crème obtenue est placée dans une poche que l'on utilise pour remplir chaque coque. On peut éventuellement ajouter quelques petits morceaux de noisettes ou d'amandes. On replace le moule au frigo, et quand le praliné est bien figé, on referme chaque coque avec du chocolat noir. Après un dernier passage au frigo, il n'y a plus qu'à démouler les petits carrés. Pour finir, on peut ajouter une pincée de baies roses, de gingembre ou une autre épice de son choix.
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Sur les hauts plateaux, dans le nord du pays, il existe de vastes plantations linéaires. Les producteurs achètent des petits plans et des greffons. Mais, ici, dans le delta du Mékong, les gens font pousser des cacaoyers dans leur verger et creusent des tranchées dans le sol pour maintenir une bonne irrigation en saison sèche. Ces tranchées sont alimentées naturellement par les nombreux bras du delta. Les cacaoyers poussent anarchiquement, à l'ombre de leurs grands frères, les palmiers et les bananiers qui sont beaucoup plus hauts. Ils ont besoin de beaucoup d'eau et d'ombre, mais pas trop de soleil. Quant à cette apparente anarchie, elle se révèle plutôt bénéfique car le mélange des espèces augmente la biodiversité.de la graine au bébé cacaoyer, il faut compter à peu près trois ans. Puis cinq à huit autres années pour obtenir de belles cabosses capables d'aller jusqu'à maturité. Sur un cacaoyer, chaque fleur est potentiellement une cabosse et par sélection naturelle, elle grandira ou non en fonction de la pollinisation.
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Les grands noms du chocolat ne travaillent pas à partir de couvertures toutes prêtes mais à partir de fèves qu'ils choisissent comme un viticulteur ses cépages… soigneusement sélectionnés, les sacs venus du monde entier ne renferment-ils pas pour eux, tous les trésors du monde ? - Le livre du chocolat, éditions Flammarion
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Comment dire ? Tu m'as menti. Tu m'as trahi. Tu as abusé de ma bonne volonté et de mon savoir-faire. Tu m'as manipulé comme un pantin. Tu as mis ma vie en danger, ainsi que celle de Manon.
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Le chocolat, c’est le goût, pas la forme !
Le goût, il n’y a que ça pour se différencier des autres… Uniquement le goût !
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