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3,75

sur 261 notes
1864, Lizzie Martin vit toujours à Londres chez Mrs Parish, la veuve de son parrain, qui préfère l'éloigner.
Elle l'envoie près de Southampton chez les demoiselles Roche comme demoiselle de compagnie de Lucy Craven, leur jeune nièce de 17 ans qui vient d'avoir un enfant mort-né.
Lizzie voyage en train avec le docteur Lefebre un aliéniste, ami de Charles Roche à qui tout appartient.
Lucy semble très troublée et prétend que son bébé lui a été volé.
Une des deux demoiselles appelle Jed Brennan, le chasseur de rats pour arriver à chasser le rongeur qui s'est introduit dans la maison.
Jed Brennan est retrouvé mort dans le jardin.
Un tel meurtre demande l'intervention de Scotland Yard et nous voyons arriver Benjamin Ross, le bon ami de Lizzie.
Tout cela semble rocambolesque mais tous les évènements sont bien liés entre eux. Les détails historiques sont bien intéressants comme la description des premiers pas en matière de médecine légale dans le tout nouvel hôpital de Southampton.
Je dois avouer que je n'avais pas deviné la fin.
Les faits s'accélèrent beaucoup dans la dernière partie du livre.
Au début, j'ai déploré quelques lenteurs atténuées par la belle écriture, l'ambiance du livre et la sympathie de nos deux héros, Lizzie et Benjamin.
Le suspense était entretenu par l'intérêt que je témoignais envers la jeune Lucy et son mari parti en Orient.
Une belle histoire dont je tenais absolument à respecter la chronologie car j'avais lu le tome 1.
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J'ai enchaîné avec le deuxième tome de Lizzie Martin pour savoir si j'allais poursuivre ou pas la saga. J'avais bien aimé Un intérêt particulier pour les morts mais l'enquête ne m'avait pas non plus transcendée, surtout à cause de longueurs dans le récit et des caractères de nos deux héros. J'avoue qu'ici, avec La curiosité est un péché mortel, j'ai retrouvé les mêmes défauts, mais l'enquête était beaucoup plus prenante et intéressante si bien que je ne me suis toujours pas décidée. le troisième tome sera peut-être décisif.

La curiosité est un péché mortel nous ramène à la campagne où Lizzie part pour une mission de plusieurs mois afin de tenir compagnie à une jeune lady. Cette dernière vient de perdre son enfant, et son oncle qui est son tuteur, s'inquiète de son état de santé. Lizzie doit donc essayer de sortir la jeune femme de sa dépression et surtout lui donner un environnement moins austère. Mais notre héroïne a décidément le chic pour se trouver là où des meurtres ont lieu, et elle fait appel à Ben pour élucider ce crime.

Nous restons dans un environnement aristocratique où les apparences sont pour certains primordiales tout comme « l'honneur ». Autant vous dire que les cachoteries, les magouilles et tout le tintouin sont présents, et cela ne va pas rendre l'enquête des plus facile, mais Ben et Lizzie ont l'oeil et ils n'ont pas dit leur dernier mot. Et j'avoue que même si je n'adhère pas à la mentalité aristocratique de l'époque, l'ambiance est idéalement propice pour ce mystère à résoudre. le fait que La curiosité est un péché mortel se déroule également à la campagne donne encore plus l'impression d'être entouré de secrets. Dans les petites villages tout le monde sait tout sur tout, et les ragots vont bon train. Mais où est la vérité ?

Et ici, il y a plein de non-dits, de secrets à cacher, ce qui fait que tout le monde finit par être suspect. de l'aristo guindée à la femme de chambre, en passant par le premier vagabond que l'on croise ou bien ce voisin un peu trop prévenant. L'auteur s'amuse aussi à nous montrer combien cette société puritaine est loin d'incarner la grandeur qu'elle projette. Et j'apprécie beaucoup ce côté réaliste et un peu dur. Il n'y a pas de chichi, et tout le monde en prend pour son grade. L'enquête n'en devient pas plus sinistre, par ailleurs, même si ici, le coupable vise le haut du panier question crimes.

Et j'avoue que j'ai été surprise de voir qui était le coupable. J'arrive toujours plus ou moins à avoir une idée, mais encore une fois l'auteur parvient à me surprendre. Et ici, j'ai trouvé la résolution du crime moins bancal, même si elle arrive très vite. Donc un bon poing.

On retrouve par contre toujours ces longueurs avec notamment des souvenirs de plusieurs pages qui n'apportent rien, et des descriptions à n'en plus finir. Je ne suis pas fan… Lizzie est un peu moins froide mais elle qui est censée être ouverte d'esprit, elle s'offusque souvent pour pas grand-chose. L'époque me direz-vous… oui… mais cela ne correspond pas au personnage. Ben finit par être aussi parfois assommant avec son besoin de protéger Lizzie… L'effet homme de Cro-Magnon n'est pas vraiment une qualité, et j'aimerai aussi le voir prendre plus part aux résolutions des enquêtes que Lizzie finit toujours par résoudre seule. le duo n'est pas équilibré alors que les deux personnages se partagent pourtant la narration.

La curiosité est un péché mortel aura su plus me convaincre, mais il y a encore des défauts qui sont assez négatifs pour moi. Je vais tenter le troisième tome comme je le disais au début de ma chronique mais si l'engouement n'est pas là… Je passerai mon tour.
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Quel plaisir de retrouver Lizzie Martin dans ce deuxième épisode traduit en français! Notre futée enquêtrice malgré elle, quitte cette fois Londres et son amoureux transi, mais surbooké, pour tenir compagnie à une toute jeune fille qui vient de perdre son bébé. La vie dans le Hampshire serait-elle plus simple que dans la capitale? Que nenni, les situations trop limpides éveillent en Lizzie un irrépressible besoin d'aller au delà des apparences et d'exercer ses talents d'observatrice. D'autant que peu de temps après son arrivée un meurtre est commis dans le parc de la propriété. L'affaire dépasse les compétences de la police locale : et qui va venir en renfort pour élucider l'énigme? L'inspecteur Ben Ross bien sûr, bien content de prévenir les imprudences de sa bien-aimée, mais prêt aussi à apprécier sa perspicacité.

L'Angleterre victorienne est à nouveau subtilement évoquée en toile de fond pour cette intrigue bien ficelée, animée par des personnages bien typés dont le décryptage aboutit à bien des surprises, pour le bonheur du lecteur.

Au-delà de l'agrément que procure l'ambiance générale de l'histoire , tout se met en place pour que les héros récurrents fidélisent le lecteur, à la fois par leur qualité humaine et par l'envie de savoir comment leur potentielle histoire commune va évoluer.

C'est donc avec impatience que j'attendrai la traduction des épisodes suivants. Et tant mieux pour ma pratique de la langue de Shakespeare s'ils tardent trop à mon goût…

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Je pensais que cela ne faisait que quelques mois que j'avais découvert le premier tome de la série de Ann Granger mettant en scène Lizzie Martin et Ben Ross, deux personnages évoluant dans l'Angleterre victorienne.
En relisant ma critique, j'ai découvert que cela faisait quasiment un an que j'avais lu « Un intérêt particulier pour les morts », alors qu'à l'époque je m'étais juré de lire assez rapidement cette série qui compte actuellement sept tomes. Bref, ma tendance à me disperser dans mes lectures est toujours bien présente dans mes habitudes livresques…
Bon, j'avoue que je me réjouissais de me replonger dans cette période que j'aime beaucoup , je le reconnais… Si j'espérais retrouver l'ambiance londonienne si typique de cette période, j'en ai été pour mes frais puisque cette histoire se déroule à la campagne et plus précédemment dans le Hampshire près de Southampton… En effet, notre héroïne, à la recherche d'une nouvelle situation de dame de compagnie, va se voir proposer une mission un peu particulière. Tenir compagnie à une jeune femme qui a perdu son bébé à la naissance… Maintenant, nous parlerions de dépression post-partum, et ce n'est pas l'aliéniste dépêché sur place, le docteur Lefebre qui me contredira… D'autant plus que dès le lendemain de l'arrivée de Lizzie, un meurtre va être commis et la suspecte principale est Mrs Craven, la jeune femme dont elle est sensée s'occuper….
Evidemment ce meurtre va nécessiter la présence de la police et plus précisément celle de Scotland Yard, en la présence de l'inspecteur Ben Ross…
J'aime bien cette série et ses personnages sont attachants. Cependant, je ne peux m'empêcher à chaque lecture de faire le lien avec les héros de Ann Perry et j'avoue avoir une petite préférence pour eux….Ce qui ne m'empêchera évidemment pas de continuer à lire les aventures de Lizzie et Ben….

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Lizzie Martin doit quitter son logement et sur recommandation de Tante Parry, la femme de son défunt parrain, elle accepte de partir dans le Derbyshire pour tenir compagnie à la jeune Lucy Craven - dix huit ans - dont le bébé est mort juste après l'accouchement, elle tient des propos délirants, persuadée que son bébé est vivant, prostrée dans un déni qui inquiète ses proches. Lizzie y fait la connaissance des deux soeurs qui habitent le domaine dont l'aîné Christina se révèle être une femme de tête, désagréable, cassante et dominatrice. Lizzie y retrouve le docteur Lefèbre avec qui elle a sympathisé dans le train, rencontré par hasard. L'ambiance qui règne au domaine est loin d'être légère - Julia sur la défensive craignant la surveillance de Lizzie qu'elle considère comme espionne, se méfiant du médecin dont elle craint qu'il la diagnostique folle - et elle s'alourdit quand un tueur de rats est retrouvé mort, poignardé dans le jardin du manoir des soeurs Roche. La police locale n'étant pas vraiment apte à résoudre ce meurtre, le docteur Lefèbre suggère de confier l'affaire à Scotland Yard ...et à l'inspecteur Ross, un nom soufflé à son oreille par la pétulante Lizzie.

Une deuxième enquête où l'on retrouve Lizzie, partie jouée les dames de compagnie auprès d'une jeune femme fragile, dans le déni de la mort de son nouveau né et dont le mari, en poste en Chine, ne peut la soutenir. Dès son arrivée Lizzie sent bien qu'une chape de plomb enserre cette fratrie, les deux soeurs et également le frère Charles...Se pourrait-il que l'on fasse passer la jeune femme pour folle pour capter son héritage, le bébé a t-il été échangé, ce médecin envoyé par Charles est-il chargé de diagnostiquer la jeune femme. Dès la découverte du meurtre du chasseur de rats, l'inspecteur Ben Ross va prendre les choses en main, aidé de Lizzie et de ses connaissances en anatomie héritées de son père médecin.
Une deuxième enquête qui confirme les talents de conteuse d'Ann Granger qui livre une enquête qui tient en haleine et qui permet de visiter la campagne anglaise et la demeure quelque peu surannée, entretenue par deux soeurs dont l'une est particulièrement retorse.
C'est aussi la confirmation de la belle complicité des deux héros dont on sent bien l'attirance mutuelle, faite d'esprit, de challenges et de compréhension partagée.
A suivre...
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Ann Granger me séduit de plus en plus avec ses deux protagonistes, Lizzie Martin et Ben Ross.
Dans l'époque victorienne, le couple tombe inlassablement sur des crimes. le policier s'attelle à les élucider, non sans l'entremise d'une de ses amies d'enfance pour qui il éprouve des sentiments. Dame de compagnie de son état, Lizzie est envoyé à la campagne pour "surveiller" une jeune fille, mère depuis peu, ayant perdu son enfant et croyant coûte que coûte que l'enfant lui a été ravie. Les crises d'hystéries n'aidant pas, la jeune fille est perçue comme folle mais ce n'est pas forcément ce que croit Lizzie, persuadée qu'une histoire louche concerne cette famille.

La plume est fluide, le décor est vivace. La haute société respectable qui cache ses vilains péchés, les bas quartiers mal famés avec une pauvreté extrême, tout est dépeint avec force détail, rendant possible une immersion complète dans cette époque. Un aspect particulier est traité : le sors des enfants abandonnés, laissés à l'hospice. Situation navrante qui n'a que trop existé.

Je ferme ce tome 2 conquise. La série a fait mouche, je lirai la suite sans difficulté!

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Deuxième enquête mettant en scène Lizzie Martin, une jeune femme plutôt futée qui travaille comme dame de compagnie, suite à la mort de son père.
L'histoire se passe en Angleterre, à l'époque victorienne.
Dans ce volume, elle va devoir s'occuper d'une très jeune épouse qui fait une grosse dépression suite au décès de son bébé à la naissance.
Mais celle-ci s'obstine à dire que son bébé n'est pas mort, qu'il lui a été enlevé.
Lizzie étant curieuse de nature, elle va se pencher sur ce mystère, a t 'on en effet affaire à une femme en plein déni ou à une affreuse machination ?

Je me suis ennuyée comme rarement avec cette enquête qui m'a semblé longue, mollassonne, barbante, prévisible, sans grande saveur ni humour.
J'avais pourtant aimé le premier tome et j'étais contente de retrouver les personnages principaux.
Peut-être est-ce simplement moi qui avait envie d'un peu plus de piquant et qui suis très fatiguée... en tout cas, j'ai lu sans enthousiasme les 100 premières pages et pour le reste, je l'ai terminé en diagonale, histoire de confirmer ce que je pressentais depuis le début.
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Ma 1111ème critique...

Ayant apprécié la première enquête du duo formé par Lizzie Martin et de l'inspecteur de Scotland Yard, Ben Ross, j'avais acheté les tomes suivants, sans jamais avoir le temps de les lire, ma PAL gigantesque étant la principale responsable.

Pourtant, en une journée, ce livre était terminé. L'avantage d'être en vacances et dans les jours consacrés à la farniente dans des endroits bucoliques, charmants et calmes.

Cette plongée dans l'Angleterre victorienne des années 1860 est toujours un plaisir et retrouver nos deux héros qui se tournent autour (ils voudraient bien mais Lizzie veut point pour le moment) pour une nouvelle enquête aussi.

Allez hop, on quitte le smog de Londres et direction New Forest, un coin paumé où pour y arriver, il faut prendre un bateau.

Pourquoi quitte-t-on Londres ? Parce que la tante de Lizzie l'a envoyé comme dame de compagnie chez des connaissances, afin de s'occuper de Lucy qui a perdu son bébé mais ne veut pas admettre sa mort. Pour le moment, Lucy vit là-bas avec ses deux tantes.

Son cher et tendre l'inspecteur Ben Ross n'aime pas ça, pour lui, ça sent les problèmes à plein nez ! Et il aura raison !

Pas évident ce poste de dame de compagnie pour notre Lizzie qui n'a pas toujours sa langue en poche et qui vient de débarquer chez des vieilles filles plus catholique que le pape, enfin, je voulais dire "plus protestantes que l'archevêque de Canterbury" !

Chez elles, tout n'est que respectabilité et bigoterie. "Admirez le portrait de nos ancêtres huguenot qui quitta la France lorsque l'on commença à massacrer les protestants !"

Sobriété, respectabilité, un homme pieux, l'ancêtre, d'après les dires de la Christina Roche, la vieille carne qui mène la maison d'une main de maître. Celle-là, on aimerait qu'elle figure au menu du prochain meurtre et on serait bien coupable nous-même !

"Tout n'est que respectabilité chez les Roche", qu'elle nous le répète un peu trop souvent, la vioque. On apprendra ensuite, avec joie, que le bougre d'ancêtre appliquait à la lettre un des enseignement de Jésus "Aimez-vous les uns (SUR) les autres" vu qu'il eut une chiée de bâtards.

Comment Lizzie l'apprendra-t-elle ? Parce que l'estimé frère aîné des deux vioques, le Charles Roche, a tous les carnets intimes de l'ancêtre ainsi qu'une collection de croquis anatomique du sexe faible… L'ancêtre du magazine Play-Boy, en quelque sorte.

J'adore quand on découvre les squelettes dans les placards des gens qui se disent "respectable" et "pieu" et qu'on se doute que le tonton joue à la veuve poignet dans l'intimité de son bureau.

Ici, la respectabilité risque de prendre l'eau lorsque un homme est retrouvé poignardé dans le jardin et que c'est Lucy qui le découvre.

Allez Lizzie, faut trouver le coupable et faire en sorte que la respectable famille Roche ne soudoie les flics locaux pour qu'on ne jase pas sur leur passage.

Sinon, il faut envoyer un message à son chéri et le faire rappliquer dans ce trou paumé où un élégant médecin aliéniste lui fait un peu de l'oeil, à notre Lizzie !

L'aînée des soeurs Roche va en faire un caca nerveux de savoir que le Yard va enquêter, faudra lui passer la pommade, ce que nos amis feront avec habilité. Je jubilais littéralement, là.

La lecture fut agréable, divertissante, plaisante, un régal pour ceux et celles qui aiment cette époque, mais si vous voulez du rythme trépidant, allez voir ailleurs, bien que j'ai trouvé que ce deuxième tome avait plus de rythme que le premier où l'auteur devait mettre en place ses personnages.

Niveau personnages, je regrette un peu qu'ils soient si « conventionnels » et que hormis le Docteur Lefebre qui est plus ambigu, les autres soient si bien définis comme "charogne", "dominée", "gentil " et qu'ils ne soient pas plus nuancés.

On sent assez vite qui aurait pu tuer le docteur Lenoir dans le jardin avec le poignard, le colonel Moutarde n'était pas loin, même si on ne discerne pas tout à fait le mobile au départ. Puisqu'on nous parle sur le 4ème de couverture "qu'on croirait voir une partie de Cluedo se jouer à Downton Abbey"…

De plus, notre Lizzie ne fait pas vraiment preuve de ses dons d'enquêtrice puisque la vérité lui arrive un peu par hasard, sans qu'elle ait vraiment eu besoin d'enquêter ou de relever des indices.

Certes, une fois que le début du fil est trouvé, toute la pelote se défait et elle comprend tout, mais j'aurais aimé qu'elle fouine un peu plus, qu'elle joue à Sherlock et cherche l'origine de l'incendie dans la lande.

Anybref… J'ai apprécié cette lecture et l'esquisse faite des horribles workhouse, des institutions « charitables » qui recueillait les orphelins, enfants abandonnés, ou les confiaient à des femmes qui s'en occupaient durant leurs premières années de vie.

Horrible, c'est le mot, atroce, inhumain, dégradant, honteux… Mais c'était ainsi et c'était tout ce qui existait.

Bien qu'assez conventionnel comme roman policier, j'ai passé un excellent moment de lecture et je continuerai de suivre les enquêtes de notre duo qui, je l'espère, ne tardera pas trop à convoler et à s'envoyer en l'air.

Le tout ne sera pas facile avec le métier de Ben et ces satanés voleurs, criminels qu ne prennent jamais de vacances !

(3,5/5)
Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'ai beaucoup aimé ce deuxième opus des aventures de Lizzie et Ben et d'ailleurs beaucoup plus que le premier tome qui m'avait semblé long à démarrer. Dans ce livre, l'histoire démarre rapidement et on suit nos deux héros dans le sud de l'Angleterre dans un manoir à la campagne où il se passe de drôles de choses. L'intrigue n'est pas très complexe mais j'ai été tenue en haleine tout du long. J'ai bien aimé les récits alternés des deux personnages. A poursuivre avec le troisième opus.
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Un excellent deuxième tome... tellement que, dans la foulée, j'ai commandé la série complète à mon libraire !!! J'ai pris un très grand plaisir à retrouver Lizzie et Ben. Cette fois, l'action ne se déroule pas à Londres, mais sur le littoral. Lizzie est envoyée comme dame de compagnie auprès d'une jeune femme de 17 ans, qui vient de perdre son enfant et dont le mari a été envoyé en Chine, pour affaires. Mais voilà, la jeune femme crie à tous vents que son bébé n'est pas mort, mais qu'on lui aurait plutôt enlevé. Et le choses se compliquent lorsqu'un exterminateur de rat du coin est retrouvé poignardé... N'écoutant que son courage, et avec l'aide de Ben, Lizzie mènera l'enquête afin d'éclaircir le mystère.... J'ai passé un excellent moment de lecture, et mon affection pour les personnages principaux s'est accentuée. Vivement le prochain !!
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