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sur 1111 notes
John Green c'est encore une fois dépassé (j'ai lu tous ses livres), entendre le combat que mène Aza contre sa maladie (qui la fait devenir folle) est boulversant.
Ces trois adolescents vont faire plus amples connaissances durant une enquête qui va leur faire faire des découvertes éprouvantes, d'autres sombres et d'autres indispensables à la vie de jeunes adultes...
Cet ouvrage fait parti de ceux où j'ai été triste lorsque, pour la dernière fois, j'ai fermé le livre.
Magnifiquement beau, à lire :)
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Un milliardaire en fuite, une récompense de 100 000 dollars à la clé. La question que tout le monde se pose: où est passé Russel Picket? Aza et Daisy lisent un article sur la récompense, puis Aza se demande comment va son ami d'enfance, Davis Picket, . C'est comme ça qu'Aza se retrouve avec sa meilleure amie Daisy à minuit sur la White River dans un vieux canoë, puis à accoster au domaine Pickett. C'est le début d'une aventure, lorsque celui-ci lui donne 100 000 dollar en liquide, pour être sûr qu'elle soit sincère avec lui et ne veuille pas uniquement la récompense promise par la police. A côté de cela, Aza voit une psychologue depuis des années et sa maladie ne va pas en s'arrangeant. le quotidien plutôt "banal" d'une jeune fille en dernière année de lycée en somme.


Un roman émouvant, qui donne une nouvelle image des maladies mentales, ou plutôt un film, comme un millier de métaphores pour les décrire. L'écriture de John Green, toujours aussi efficace, nous donne un doux mélange de sérieux et d'humour, avec des personnage qui déjouent tous les clichés.
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J'ai adoré
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Quel livre ! Je l'ai adoré, il m'a complètement bouleversée . Il porte sur des thèmes que j'aime, des ados, des troubles psychiques mais je ne m'attendais pas à un livre si fort, si prenant et si juste.

Aza est une jeune fille atteinte de troubles psychiques, d'angoisses insurmontables et de spirales de pensées dont elle n'arrive pas à se sortir. Malgré tout elle essaie de mener une vie normale de lycéenne. Elle peut compter sur sa meilleure amie Daisy, toujours à ses côtés. Les deux jeunes filles vont se rapprocher de Davis, qu'Aza a connu quelques années auparavant : le père de Davis, milliardaire accusé de corruption est recherché par la police alors qu'il a disparu juste avant son interpellation. Attirées par la récompense promise, elles décident d'enquêter.

J'ai compris aux remerciements que John Green était atteint aussi de troubles psychiques et on comprend alors comment il arrive tant à en parler avec justesse, réalisme et émotion. J'ai adoré le personnage d'Aza, qui est la narratrice, on est dans sa tête, dans ses raisonnements, dans sa souffrance et c'est très bien fait. J'ai aussi adoré le personnage de Daisy, qui est très rigolote, ainsi que la relation qui s'installe entre Aza et Davis. Bien des thèmes sont abordés, notamment celui du deuil car Aza et Davis sont tous deux orphelins d'un parent, et Davis et son frère Noah se retrouvent seuls après la fuite de leur père. Les thèmes de l'amitié et l'amour aussi, je dirai même comme John Green la force du premier amour et du premier chagrin d'amour chez les adolescents, mais aussi beaucoup de réflexions sur l'univers, la poésie... bref oui j'ai adoré, un coup de coeur !
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Malheureusement je n'ai pas fini de lire Tortue à l'infini car j'aimais beaucoup ce livre mais je n'arrivais pas à avancer je mettais une semaine pour lire 2 chapitres, J'y mettais de la volonté mais j'ai laissé tomber le livre pour peut être m'y remettre plus tard. En tout qu'à c'est quand même un très bon livre
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Généralement, lorsqu'un nouveau roman de John Green passe le seuil de la porte, il ne passe même pas par la case « PAL » et finit immédiatement sur le bureau à la place destinée à ma lecture en cours … Mais celui-ci a patienté deux longues années sur les étagères avant que je n'ai le courage de le commencer … et je pense honnêtement que sans le challenge « Livra'deux pour pal'Addict », il y serait resté encore un certain temps. Non par peur d'être déçue : John Green ne m'a jamais déçue, je savais donc que je n'allais pas l'être. Mais je savais également qu'après cette lecture, il ne me sera plus possible de faire l'autruche : les « jolies » étiquettes métaphoriquement collées sur mon front par divers psychiatres et autres thérapeutes n'ont pas atterri là par hasard … Mon intuition me soufflait que la rencontre avec Aza allait réduire à néant les oeillères que je m'efforçais de maintenir en place, et je n'étais pas certaine d'être prête à cela. Finalement, je suis heureuse d'avoir franchi le cap : oui, ce fut dur, douloureux même, mais je pense que cette prise de conscience ne peut que m'aider par la suite, alors c'est plutôt positif.

Lorsque Daisy, sa Meilleure et Plus Intrépide Amie, entend parler de la disparition du richissime Russell Pickett et de la récompense de cent mille dollars promise à qui participerait à sa localisation, le petit quotidien bien rodé et pourtant incroyablement angoissant d'Aza bascule. Engluée dans la spirale infernale de ses pensées invasives, incapable de résister aux injections obsessionnelles de son cerveau que tout effraye, la jeune fille se retrouve embarquée bien malgré elle dans cette folle enquête qui va la conduire à renouer avec Davis Pickett, ami d'enfance – si tant est qu'on puisse parler d'amitié dans le fait d'avoir passé deux étés dans la même colonie de vacances pour enfants ayant perdu un parent … Mais est-ce bien Russell Pickett qu'Aza cherche ? Ne serait-ce pas, plutôt, le sens de la vie et sa propre place dans le monde ?

Comme toujours chez John Green, la grande force de ce roman, ce sont ses personnages. L'enquête autour de la disparition de Russell Pickett n'est qu'un prétexte pour nous présenter Aza, Daisy et Davis, trois adolescents incroyablement attachants à la personnalité riche et profonde. Aza est notre narratrice, et le lecteur n'a d'autre choix que de la suivre dans ses terribles spirales de pensées engendrées par son trouble anxieux généralisé et par ses troubles obsessionnels compulsifs. Aza a littéralement peur de tout : « la vie est inquiétante », nous dit-elle. Je ne peux pas la contredire, la phrase que je répète au moins une fois par jour étant « la vie est effrayante ». Mais la plus grande crainte d'Aza, c'est de mourir d'une infection par la bactérie clostridium difficile. Et sa plus grande question, c'est de savoir si la notion de « moi » existe sachant que la moitié des cellules composant notre corps viennent de l'extérieur ? Il suffit d'un rien pour faire basculer ses pensées « du mauvais côté », et à partir de cet instant, plus rien n'existe en dehors de ces pensées, qui tournent et retournent sans lui laisser le moindre répit, sans jamais se tarir, devenant toujours plus obsédantes et toujours plus affolantes au fur et à mesure que la spirale se resserre autour d'elle …

Et cela, John Green l'a merveilleusement bien écrit, au point que j'envisage de forcer mon père à lire ce roman pour qu'il cesse de me hurler « mais cesse donc d'être anxieuse ! », s'imaginant sans doute que je contrôle tout cela et que je choisis volontairement de me lever à quatre heures du matin pour vérifier compulsivement qu'aucun insecte bibliophage ne se cache dans mes bibliothèques remplies à ras bord … Et ce qui est extraordinaire avec John Green, c'est qu'il ne se contente pas de décrire avec brio l'interminable tsunami de pensées qui assaille Aza, mais également l'incroyable souffrance qui accompagne tout trouble psychique. La douleur d'être un fardeau, une inquiétude perpétuelle pour son entourage. La douleur d'être incompris par le monde entier, y compris par les soi-disant « spécialistes » qui ne font que sortir des expressions toutes faites du style « ce n'est pas rare ». La douleur de ne pas être aux commandes de son propre corps, de son propre cerveau, et d'en avoir conscience. Et puis, il y a le regard d'autrui, de l'inconnu et de l'ami, regard tantôt compréhensif et bienveillant, tantôt agacé et méprisant. Il y a les envies et les rêves qui finissent tôt ou tard par être rattrapés par la réalité de la maladie, par les peurs et les angoisses. Il y a les moments de désespoir, les instants de détresse que l'on cache à tout le monde, même à soi-même parfois.

Mais John Green ne s'arrête pas à cette souffrance, il ne veut pas faire pleurer dans les chaumières. Aza est bien plus qu'une jeune fille atteinte de troubles psychiques : elle est elle, avant tout. Et c'est justement ce qu'elle va découvrir au cours de cette improbable enquête qui se transforme en véritable quête d'identité. Et cette révélation, elle va naitre d'une rencontre avec un tuatara héritier d'une incommensurable richesse, de la visite d'une exposition sous-terraine, de l'observation des étoiles cachées derrière les nuages … Elle va naitre d'une magnifique histoire d'amour et d'une formidable histoire d'amitié. Ce livre n'est pas déprimant, bien au contraire, il est incroyablement drôle. John Green a un humour bien à lui, qu'il distille dans la narration comme dans les dialogues et qui marche à tous les coups avec moi : je ressors toujours de ses romans avec un grand sourire et les joues endolories d'avoir tant ri ! Il a un don pour transformer une histoire finalement atrocement banale, simple tranche de vie de personnages tout aussi banals, en quelque chose d'incroyablement captivant et palpitant. Il métamorphose la vie en quelque chose d'incroyable, et il nous adresse alors un formidable message d'espoir et de joie.

En bref, vous l'aurez bien compris, avec ce livre, John Green m'a émue aux larmes et m'a fait éclater de rire. Il évoque avec justesse, tendresse et délicatesse la thématique fort difficile des maladies psychiques, invisibles mais parfois si handicapantes, en nous plongeant au coeur même de l'esprit torturé d'une adolescente contrôlée par ses peurs irrationnelles. Mais il aborde également avec brio la question du sens de la vie, de la quête de « moi », du deuil et des responsabilités. Et tout cela sans jamais sombrer dans le pathétique ou le cliché : c'est émouvant, oui, mais c'est drôle aussi. On ne s'apitoie pas sur le sort d'Aza, mais on se réjouit avec elle des petites victoires et des petits bonheurs du quotidien. Avec humour et poésie, comme il le fait si bien, John Green nous raconte une histoire sans prétention, une histoire si simple mais si profonde, à la fois bouleversante et réjouissante. Il nous livre une petite partie de lui-même, et cela rend ce livre d'autant plus poignant … A lire absolument !
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Il fait toujours bon se plonger dans un roman de John Green ! C'est un peu se glisser sous la couette avec son moi adolescent, tout en restant ancré dans la vraie vie. Dans Tortues à l'infini, nous suivons le quotidien d'Aza, jeune adolescente souffrant de troubles psychiques. Entourée par sa mère, sa meilleure amie Daisy et le craquant Davis, elle fait face à une peur obsessionnelle des microbes, qui envahit le moindre de ses gestes. D'où vient cette psychose, comment la combattre - et vivre sa vie de jeune fille ? Sur fond d'intrigue et de romance, John Greene aborde avec une infinie bienveillance la maladie mentale. Son sens du récit, son amour des personnages et des situations cocasses (les fan-fictions qu'écrit Daisy autour de Star Wars sont savoureuses) donnent au roman une vitalité et une profondeur rares. L'adolescence est un passage, mais il s'y inscrit déjà notre vie future, qui ne cessera d'être traversée par les plus infimes comme les plus grands questionnements.
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John Green est un auteur mystérieux à mes yeux. Autant je peux adorer ses livres (Nos étoiles contraires, Qui es-tu Alaska ?), autant ses romans peuvent me laisser impassible, voire m'ennuyer (Will & Will, La face cachée de Margot). Je ne sais jamais à quoi m'attendre en me plongeant dans l'un de ses romans. Malheureusement, son dernier roman fait plutôt partie de la seconde catégorie. L'histoire ne m'a pas transportée et je n'ai pas réussi à m'attacher à Aza, l'héroïne du livre.

Tortues à l'infini, c'est la découverte d'Aza, une adolescente de 16 ans, qui souffre au quotidien de pathologies psychiques. Elle passe son temps sur Internet à analyser ses symptômes et à s'imaginer être atteinte de plein de maladies. Aza analyse tout, compte tout. Ses TOCS lui pourrissent la vie et rendent ses relations avec les autres compliquées. Heureusement, elle peut compter sur Daisy, sa seule et véritable amie, qui essaye tant bien que mal de la faire sourire. C'est d'ailleurs dans l'une de ses idées farfelues qu'elle entraîne Aza dans l'enquête sur la disparition du milliardaire du coin. Aza se laisse prendre au jeu et les deux amies vont renouer avec Davis, le fils du fameux milliardaire, un ancien ami d'Aza. Ces retrouvailles inattendues vont complètement bouleverser Aza…

Aza est une jeune fille qui m'a beaucoup troublée. La voir si mal dans sa peau m'a vraiment fait de la peine. Mais au-delà de ça, je ne me suis pas attachée à l'adolescente. J'avais du mal à la comprendre et à me mettre à sa place ; ce qui finalement, est assez compliqué lorsqu'on ne souffre pas des mêmes maux qu'elle. de plus, je l'ai trouvée très égoïste : tout tourne autour d'elle. Je l'ai trouvée souvent méchante avec Daisy, et même avec Davis. Au bout d'un moment, j'ai fini par être vraiment agacée par les passages où elle se persuade d'être malade, ou encore ceux avec son éternel pansement. Je les lisais en diagonale pour vite passer à autre chose. Heureusement, sa meilleure amie Daisy m'a plu, son éternelle joie de vivre apportait un peu de fraîcheur dans le triste quotidien d'Aza. Daisy est une adolescente qui a souffert dans la vie et j'ai trouvé dommage que l'auteur ne s'intéresse que si peu à elle car toute l'attention est concentrée sur Aza. Enfin, Davis est un personnage que j'ai bien aimé. Mais, pareil, son caractère n'est pas assez creusé. J'aurais voulu en savoir plus sur lui, sur sa passion pour les étoiles, sur son blog, sur sa douleur de vivre sans mère… le potentiel des personnages secondaires n'a pas été assez exploité selon moi car John Green ne s'est occupé que d'Aza. Dommage !

Par ailleurs, l'intrigue ne m'a pas vraiment convaincue. L'enquête sur la disparition de Russell Pickett est finalement secondaire. On en parle un peu au début puis à la fin. Au milieu, l'histoire est seulement centrée sur Aza et ses problèmes. J'ai donc trouvé le roman très long, avec beaucoup de passages lents, sans grand intérêt. Mais de toute façon, l'idée d'enquête par deux jeunes filles était un peu farfelue pour moi, ce n'était pas réaliste. Enfin, la relation entre Aza et Davis n'a pas vraiment pas été assez creusée alors que pour moi, elle est décisive pour l'avenir d'Aza.

L'écriture de John Green est plaisante dans ce roman, mais sans plus. Je n'ai pas été bouleversée par ses mots, par sa poésie et par le pouvoir des messages qu'il véhicule dans ses romans. Néanmoins, la portée autobiographique du roman m'a intéressée. C'est pourquoi je suis d'autant plus triste de ne pas l'avoir apprécié. J'aurais voulu moins d'Aza et plus des autres, plus d'intrigue, plus de sentiments. Je lirai les prochains livres de John Green mais c'est vrai que cette nouvelle déception avec Tortues à l'infini remet en question l'attachement que je portais pour cet auteur avec Nos étoiles contraires et Qui es-tu Alaska ?...
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Il faut tout d'abord savoir que je suis une véritable groupie de John Green. Comme beaucoup de gens, je suis son travail depuis Nos étoiles contraires et même si certaines de ses oeuvres m'ont moins touchée, aucune ne m'a encore déçue ! J'aime ses histoires, j'aime ses personnages et j'aime son écriture. Il fait d'ailleurs partie de ces auteurs que je ne veux lire qu'en anglais tellement je raffole de leur plume. Vous aurez donc compris que j'avais extrêmement hâte de mettre la main sur Tortues à l'infini, d'autant plus que, cette fois-ci, le sujet du livre ne pouvait que me parler tout personnellement. Je souffre, en effet, moi-même de troubles obsessionnels compulsifs même si, avec le temps et l'expérience, j'ai appris à les contrôler et qu'ils n'ont jamais été trop handicapants comme ils le sont pour Aza. J'étais très curieuse de voir comment John Green allait traiter ce sujet.

Comme à son habitude, il nous livre ici une histoire plus vraie que nature avec des personnages très travaillés et réalistes. Pour ceux qui ne le savent pas, John Green échange énormément avec les jeunes, notamment via ses deux chaînes YouTube. Je pense que cela l'aide énormément à capturer l'essence de l'adolescence et la retranscrire ainsi dans ses livres. On croit à ses personnages, on y croit à chaque fois et ça, peu importe à quel point ils peuvent être perturbés et bizarres.

Cette fois-ci, on y croit encore plus, car John Green s'est servi de sa propre expérience pour créer le personnage d'Aza. En effet, les troubles dont celle-ci souffre, il en souffre également. Il se met, en quelque sorte, un peu à nu avec ce personnage. Grâce à un travail d'écriture, encore plus magnifique que d'habitude, il nous montre comment des pensées incongrues arrivent à s'infiltrer dans l'esprit de la jeune fille et parviennent à l'entraîner dans une spirale étouffante dont elle n'arrivera à sortir que si elle exécute certaines actions. Aza a beau savoir, dans son for intérieur, que ces pensées ne riment à rien, une fois qu'elles sont là, c'est trop tard. le récit étant raconté à la première personne, nous sommes, comme elle, prisonniers de ces pensées une fois que celles-ci débarquent, interrompant ainsi l'action du livre. On est au beau milieu d'une conversation des plus anodines avec un personnage et puis, tout à coup, on est pris dans ce cercle vicieux de pensées qui viennent, qui viennent et qui viennent. C'est étouffant, c'est frustrant, c'est extrêmement réaliste.

Souffrant moi-même de ce genre de pensées intrusives, je me suis plus que retrouvée dans les pages de Tortues à l'infini. John Green a réussi à mettre les mots sur ces instants où je me retrouve totalement bloquée parce que je commence à penser à quelque chose qui pourrait se passer et que je dois absolument trouver un moyen de contenir ces pensées.
En conclusion, avec cette histoire qui résonne autant en moi, ce personnage dans lequel je me retrouve autant, Tortues à l'infini est devenu mon livre préféré de cet auteur. J'ai trouvé pendant des années que La face cachée de Margo était son chef-d'oeuvre, mais il vient de se faire détrôner et très largement. Et pour ceux qui ne souffrent pas de tocs, rassurez-vous, vous adorerez quand même cette lecture que vous soyez un fan de John Green ou non. D'ailleurs, si vous ne l'avez jamais lu, je pense que Tortues à l'infini peut être un très bon choix pour commencer.
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J'avais adoré Qui es-tu Alaska et me réjouissais de lire un autre roman de John Green. Peut-être en attendais-je trop, toujours est-il que j'ai été légèrement déçue par Tortues à l'infini. L'intrigue est plutôt simple voire quasi-absente, les personnages sonnent parfois creux. Mais la plume de John Green reste agréable à lire.
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