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sur 456 notes
J'ai vu la semaine passée la pièce "LES VAISSEAUX DU COEUR" , une adaptation du best-seller de la célèbre romancière Benoîte Groult et se joue depuis le mardi 4 février 2014 au Théâtre du Petit Montparnasse avec Josiane Pinson et l'excelllent Serge Riaboukine .

Voici une excellente adaptation de ce best-seller de la célèbre romancière Benoîte Groult que l'actrice, Josiane Pinson, a adapté au bout d'une lutte de plus de deux ans pour faire aboutir le projet...

on ne peut que saluer le texte audacieux, publié en 1988, et qui avait pas mal fait parler de lui à l'époque, et qui parle de désir, de sexualité, mais aussi d'une histoire d'amour peu banale entre un marin breton et une intellectuelle parisienne. Une histoire d'amour impossible qui rassemble deux êtres trop différents et pourtant fait l'un pour l'autre..Une histoire qui nous ballade.entre émotion, rire, sourire et tendresse...
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Un beau roman d'amour, surtout très bien écrit, avec le style en prime.
Benoîte Groult appelle un chat un chat. Son récit ne s'arrête pas au-dessus de la ceinture : elle parle d'amour, de plaisir, de sexe et elle en parle bien. Elle fait partie de ces romancières pionnières en littérature qui ont libéré la parole des femmes, qui se sont autorisées à parler de sexualité.
Beau roman, émouvant, sans vernis ni à l'eau de rose. L'histoire d'un amour improbable entre une femme de lettres et un marin pêcheur, amour irrépressible et décousu qui se poursuivra à travers les décennies jusqu'à ce que la mort les sépare.
Cette histoire subversive peut choquer la bien-pensance. L'amour n'est pas une chose simple!
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L'amour dure toute la vie ? George nous prouve que "oui" par son amour indéfectible pour Gauvin qu'elle a dans la peau à toutes les périodes de sa vie. Il peuvent ne pas se voir pendant 10 ans, vivre leurs vies chacun de leur côté et tout repart comme au 1 er jour, sensuellement, sexuellement aussi. Une intellectuelle parisienne et un marin breton. Une superbe histoire d'amour.
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Un livre qui m'a énormément touchée quand je l'ai lu, il y a bien longtemps.
A relire pour savoir si l'un de nous deux a plus vieilli que l'autre ou si nous sommes toujours à l'unisson.
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Chère lectrice, cher lecteur,

Depuis plusieurs années, je me pose des questions par rapport à mes choix de romans préférés. Qu'est-ce qui fait en sorte qu'un roman me plait plus qu'un autre? Pourquoi l'histoire présentée dans Les Vaisseaux du coeur de Benoîte Groulx me bouleverse-t-elle? Je crois que tout simplement, la narratrice, dans ce récit, a réussi à parler avec intelligence à mon coeur, d'amour, de sensualité, d'affirmation de soi, de complicité. Mais encore, pour réussir à dialoguer avec un coeur, qu'est-ce que l'écrivain ou l'écrivaine doit faire? le processus de lecture est un acte assez complexe. Lors de mes études au cycle supérieur, j'ai analysé l'effet-personnage adolescent à partir de la théorie présentée par Vincent Jouve dans son essai L'effet-personnage dans le roman. En passant, je n'aurais jamais pensé que j'allais à nouveau consulter cet ouvrage ou encore que j'allais le citer. Ce dernier mentionne dans sa partie concernant «le personnage comme prétexte» :


“Pour cette dernière instance, le personnage n'est ni une marionnette, ni une personne, mais un support permettant de vivre imaginairement les désirs barrés par la vie sociale. Si le personnage peut ainsi apparaître comme médiateur entre l'imaginaire et l'auteur et les attentes du lecteur, c'est qu'il existe des invariants fantasmatiques préexistants à l'acte de lecture. Il est légitime de penser que les mécanismes psychiques à l'oeuvre dans la création ne sont pas sensiblement différents de ceux qui déterminent la réception : créée pour combler le désir de l'artiste, l'oeuvre comble également notre propre désir. (p. 150)”

Dans ce roman, je peux, grâce au personnage de George «vivre imaginairement les désirs barrés par la vie sociale». Je crois également que je m'associe beaucoup à elle car c'est une passionnée, elle possède une force de caractère, elle apparaît indépendante, elle est intelligente, elle a une bonne culture et elle a fait des choix en fonction de sa carrière. En plus, ce récit est autobiographique; il impose donc un rapport privilégié entre l'auteur/le narrateur/ le lecteur. Ainsi, il comble un besoin entre les parties. Besoin pour l'écrivaine d'immortaliser une passion hors du commun et besoin pour le lecteur de vivre par procuration cette dernière afin de combler, peut-être, un vide émotionnel. D'ailleurs, Gauvain demandera à George d'écrire leur histoire. Mais encore, au début du récit, la narratrice me fait participer à ce dernier en m'octroyant le rôle de témoin. À la première phrase, elle pose la question suivante et me rend complice de son adultère et de son histoire : « D'abord, comment vais-je l'appeler pour que sa femme ne sache jamais?» et de poursuivre :


“Il serait flatteur et plus facile pour expliquer cet amour d'évoquer une complicité d'idées ou de cultures, une amitié d'enfance, un talent rare chez l'un d'eux, une émouvante infirmité…, mais il faut bien reconnaître la vérité toute nue : ces deux-là étaient faits pour s'ignorer, voire se mépriser, et seul le langage inarticulé de l'amour leur a permis de communiquer […]. (p.14).”

En ce sens, la narratrice, George, intellectuelle parisienne, et Gauvain, marin breton, vont vivre une histoire marquée par le sceau de la chair, mais qui, au fil du temps, va se transformer en amour. Ces deux êtres que tout oppose (classes sociales, études, intérêts) vont s'aimer durant plus de trente ans loin l'un de l'autre, en volant des jours ici et là à la vie. Ils vont réussir à se retrouver un peu partout aux quatre coins de la planète pour donner libre cours à leurs sentiments, à leur passion. Par ailleurs, ma pulsion de voyeurisme est doublement sollicitée. Ainsi, l'objet de voyeurisme se retrouve dans les scènes érotiques décrites par la narratrice dans des chambres et par le fait que cette relation semble interdite (convention, état matrimonial, etc.). le premier chapitre débute ainsi :


“J'avais dix-huit ans quand Gauvain m'est entré dans le coeur pour la vie, sans que nous ne le sachions, ni lui, ni moi. Oui, cela a commencé par le coeur ou ce que je prenais pour le coeur à cette époque et qui n'était encore que la peau. (p. 19).”

Dans ce voyage de la vie, les deux protagonistes empruntent différents chemins, pour en arriver à l'amour. La narratrice, dès le premier chapitre, présente sa relation avec Gauvain comme étant mythique :


“Quels mots d'ailleurs auraient pu rendre compte du sentiment qui nous envahissait et qui était, à l'évidence, totalement incongru et absurde? le sentiment que nos corps et que nos âmes- car ce n'était pas nos cerveaux- aspiraient à se joindre, sans souci de tout ce qui pouvait nous séparer en ce bas monde. (p. 27).”

Elle fait référence bien sûr à Platon et au concept de l'âme soeur. Comment ne pas être séduite? Deux âmes soeurs si différentes… qui se retrouvent, qui se perdent…Car Gauvain propose au tout début de l'histoire le mariage à George et il lui dit qu'il est prêt à suivre des cours, à rompre ses fiançailles et à l'épouser. Cette dernière refuse car elle a trop de préjugés et elle ne souhaite pas qu'il fasse partie de son cercle social. Elle ne se voit pas vivre à ses côtés. Elle dira :


“Je ressentis un frisson de délaissement et maudis notre incapacité à vivre selon nos coeurs, la mienne sûrement, celle de Gauvain, qu'il aurait découverte plus tard. (p. 59)”

George choisit alors d'écouter sa raison. Ensuite, les deux vont se marier à d'autres et avoir des enfants. Toutefois, George divorcera de son époux. Ils se revoient treize ans plus tard, par hasard, à Dakar. Ils retrouvent le langage du corps et du coeur. Ils passeront par la suite un séjour aux Seychelles :


“Il était une fois dans un archipel de l'océan Indien, par le plus grand des hasards- ou était-ce la plus impérieuse des nécessités?- un marin et une historienne que rien ne prédisposait à se retrouver ensemble, l'un et l'autre habités par un désir si physique qu'ils n'osaient le nommer amour; l'un et l'autre incrédules devant cette attirance et s'attendant chaque matin à retrouver raison; l'un et l'autre enfin s'interrogeant sur ce qui leur advenait, comme vous ou moi, comme tous ceux qui ont buté un jour sur ce mystère lancinant dont seuls les poètes ont su sonder les profondeurs, sans pour autant supprimer la question. (p. 85)”

Comme vous le remarquerez, dans cet extrait, le lecteur, par conséquent moi, est directement interpellé par l'emploi du vous. Aussi, ils ont dix jours à eux et George lui avoue qu'elle aime son intelligence amoureuse. Ils repartiront après avoir donné libre cours à toute la frénésie sexuelle dont ils sont capables afin de se rassasier l'un de l'autre. Par la suite, ils se donnent des nouvelles par le biais d'appels téléphoniques, de lettres. Ainsi, Gauvain écrit à George à la fin d'une missive de lui garder une place dans son coeur. Gauvain et George se verront en Floride, en France, au Québec. Ils se retrouvent à Montréal, ils ont cinquante ans. Gauvain dira à celle qu'il appelle malgré tout sa femme :


“-C'est pas ma vie qui compte pour moi, c'est toi dans ma vie. Tu le sais. Sans toi, je me fous de ce qui peut arriver. (p. 254)”

George tant qu'à elle lui répondra :


“Tu es vraiment sinoque! Tu crois qu'on reste trente ans à aimer un ‘'type-pas-pour-soi''? (p. 254).”

Cette histoire me touche depuis deux décennies. Je peux comprendre le fait que Benoîte Groulx ait voulu l'immortaliser. Son écriture s'avère poétique, parfois ironique. Elle écrit bien et grâce à ce récit, elle nous fait vivre par procuration des émotions qui brisent les tabous au nom de l'amour. Les classes sociales sont renversées et la dualité entre le coeur et la raison s'avère une thématique qui vient me chercher… car, j'ai eu à transiger constamment avec cette dernière.

Le titre évoque à lui seul ce voyage à travers les vaisseaux pour aboutir au pays du coeur. À cet égard, c'est en naviguant à travers différents vaisseaux que nos deux protagonistes finiront par réaliser ce que c'est que d'aimer. Mais, en même temps, George perd à tout jamais Gauvain à cause d'un problème cardiaque. Quel paradoxe! Que dire de plus sur ce roman que j'aime tant? Que j'aurais aimé vivre une telle histoire?

Je vous laisse sur ce poème qu'offre George adolescente à Gauvain après avoir passé une soirée avec lui :


“Très purs devant l'océan
Tous deux nous nous sommes assis
Tu étais timide comme un homme-enfant
Qui n'aurait pas lu Gide.
La nuit était douce comme la nuit
Mais moi froide comme la première femme.

Nous sommes restés au bord du temps
Au bord du désir et de la femme en moi
Toi homme et moi jeune fille
Raide et calme
Comme on sait parfois l'être à vingt ans.

Je reviens souvent à Raguenès
Moi qui ai lu Gide
Pour retrouver tes yeux fuyants
Et ta bouche sauvage et tremblante.
Je suis douce aujourd'hui comme la première femme
Mais les nuits sont froides comme la nuit.

Je t'embrasserais si bien ce soir pourtant
Dans le goût du sel sur nos peaux
Toi qui navigues en mer d'Irlande
Dans la violente étreinte des vagues
Bien loin de mes vingt ans
Et de la douce plage où tu me conduisis
Pour pêcher la bête fabuleuse
Qui ne s'est pas montrée.

Et toi?
Viens-tu au rendez-vous parfois
Regretter ce baiser qu'on ne s'est pas donné? (p. 31)”

J'espère avoir réussi à vous faire comprendre mon intérêt pour ce récit. Pour ce faire, j'ai abordé le fait que je peux vivre par procuration une histoire d'amour qui brise les tabous sociaux, j'ai soulevé que ma pulsion de voyeurisme était sollicitée et j'ai mentionné que je suis touchée par la thématique coeur-raison.

Si vous avez envie de plonger dans une mer de sensualité, de briser avec ces deux êtres toutes les conventions et de partir vous aussi à bord de ces vaisseaux du coeur, n'hésitez pas à lire cette histoire où la liberté d'aimer transcende toutes les pages.

Bien à vous,

Madame lit

Références :

GROULX, Benoîte. Les Vaisseaux du coeur, Paris, Bernard Grasset, 1988, 261 p.

JOUVE, Vincent. L'effet-personnage dans le roman, Paris, PUF, 1992, 271 p.

Lien : https://madamelit.wordpress...
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George et Gauvain se connaissent depuis l'enfance mais tout les sépare : le milieu social, la culture, les projets de vie. Ils seront pourtant des amants passionnés durant trente ans.
Difficile de raconter une passion physique sans tomber dans le ridicule....et Benoîte GROULT y parvient, chapeau !
Beaucoup de sentiments, énormément d'humour, des descriptions précises de scènes de sexe, une analyse juste des différences sociales et culturelles, les Vaisseaux du coeur sont tout cela.
La relation entre les deux amants qui est purement charnelle au départ évolue doucement au travers du livre, jusqu'à la fin poignante.
La romancière a su trouver les mots justes pour parler de l'amour
Une belle lecture
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Il y a très longtemps que j'ai lu ce livre. Je m'en suis rappelée au hasard d'une phrase – mais l'avais-je jamais vraiment oublié, tant j'avais été marquée par sa puissance sensuelle, la force de cette passion amoureuse entre un homme et une femme qui n'auront droit qu'à quelques semaines d'amour sur une vie entière – en désirent-ils davantage d'ailleurs, et n'est-ce pas là toute la magie de cette relation exceptionnelle et indissoluble ?
Il se trouve que j'ai lu ce livre en allemand. Il avait connu en son temps un grand succès en Allemagne, et je l'avais acheté dans une librairie de Berlin, où il figurait en tête des ventes. Or le titre allemand est « Salz auf unserer Haut » - du sel sur notre peau. Un capitaine de navire, le goût des embruns sur la peau, le cri des cormorans. Mais surtout l'idée de ces incessants départs et retours, de ce renouvellement qui est la condition de cet accomplissement amoureux, de ce rythme des vagues comme un ébat.
Je finirai par un mot sur le film trop peu connu d'Andrew Birkin, avec Greta Sacchi et Vincent de Onofrio magnifiques en George et Gauvain … « Salt on our skin », débordant de sensualité, qui comme le livre donne envie de vivre une histoire d'amour de même intensité.
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L'idée de lire une histoire d'amour entre une intellectuelle parisienne et un marin Breton ne m'enchantait guère et j'avais tort. L'histoire de George et de "Gauvain" est à la fois simple et belle, banale et unique. C'est la plume de Benoîte Groult qui la rend telle ! Clairvoyance et délicatesse se rejoignent dans cette peinture de deux êtres dont l'amour traverse le temps et dont les corps toujours se rejoignent.
Une belle surprise.
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Un roman qui se lit bien et qui a plutôt bien vieilli. L'histoire est prenante, les personnages sont touchants et attachants, même s'ils peuvent paraître un peu caricaturaux par moments.
Mais globalement on passe un bon moment, c'est poétique, cru mais jamais vulgaire. Une belle histoire d'amour a priori improbable entre deux personnes qui viennent de milieux sociaux très différents.
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Dans Les Vaisseaux du coeur, nous faisons la connaissance de George et Gauvain, deux êtres que tout oppose. George et sa famille, qui vivent à Paris, vont chaque année en vacances à Raguenès, en Bretagne. Elle grandit tout près de Gauvain, fils de paysans pauvres. Mais leurs différences les font se côtoyer dans un perpétuel affrontement. Jusqu'à un fameux bal, en 1948, où George et Gauvain vont succomber l'un à l'autre, et à partir de ce jour, vivre une passion charnelle qui durera toujours....

Je n'ai pas vraiment adhéré à ce roman.. En cause, l'histoire elle-même (car Benoite Groult sait écrire, il ne s'agit donc pas du style). Cette sorte de rencontre à la Roméo et Juliette, ces différences exaltées au rang de l'impossible qui n'empêchent finalement pas l'amour, j'ai trouvé ça assez tarte... L'historienne parisienne et le marin breton, elle qui côtoie des gens cultivés, élégants, quand lui est un pur produit de la "France profonde", c'est assez manichéen. De plus, entre eux deux il s'agit et il s'agira toujours d'un amour contrarié puisque nos héros vont faire leur vie séparément. Gauvain se mariera, aura quatre enfants; et George connaîtra trois longues relations, dont deux qui aboutiront à un mariage, et aura aussi un fils.

Malgré les années qui passent, leurs retrouvailles seront perpétuelles, de 18 à 50 ans, aux quatre coins du monde. Assez peu probable, et surtout assez alambiqué. Toute la narration de leurs rapports sexuels aussi, ça ne m'a en aucun cas choquée (elle appelle un chat un chat, et alors?!) mais je n'ai pas été exaltée plus que cela par ses descriptions. Ne s'agit-il pas plus ou moins toujours de la même chose? Je me suis donc un peu ennuyée, ayant l'impression de relire sans cesse la même scène, la seule différence étant l'âge des protagonistes et le lieu. Par contre, j'ai reconnu des émotions que j'ai pu ressentir, que tout être humain ayant connu le désir charnel a déjà ressenti. Et j'ai été émue, en tant que femme, et en tant qu'amoureuse, parce que bien sûr, c'est merveilleux de faire l'amour avec un homme, avec son homme. De le regarder avec les yeux du désir au début, puis de l'amour ensuite, et de connaitre parfaitement son corps. Mais fallait-il une histoire aussi bancale pour transmettre ces émotions au lecteur?

Donc oui, si certains passages ne m'ont pas laissée indifférente, j'ai trouvé globalement que la façon de raconter cette histoire était datée, avait mal vieillie (le roman a été publié en 1988). Peut-être sommes-nous trop exposés aux images pornographiques, à la vulgarité, pour apprécier un livre comme celui-ci, en 2012? Ou est-ce simplement moi qui ai du mal avec les histoires d'amour compliquées? Je n'exclue aucune de ces deux idées...

http://manouselivre.com/les-vaisseaux-du-coeur/
Lien : http://manouselivre.com
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