Blade et Baker tournent en rond, brassent de l'air, joue à la baballe avec une ridicule créature endémique, tuent le temps, et les pages se remplissent de vide. Enfin, après un premier tiers inutile et d'une affligeante niaiserie, le roman décolle pour de bon. le peuple primitif pourrait ne pas l'être tant que ça et le danger à la fois plus proche et plus réel qu'il n'y paraît. Alors l'intrigue se met en place et l'action démarre. Il était temps ! le roman déroule alors un scénario classique, sans surprise, mais efficace.
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