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3500 ans se sont écoulés depuis que l'empereur Leto II a commencé sa mutation en ver géant. Afin d'imposer une paix éternelle il s'est transformé en tyran qui contrôle aussi bien la Guilde spatiale, le Bene Gesserit ou le Bene Tleilax. Ses dons de prescience et une mémoire génétique infinie lui permette de maîtriser toutes les composantes nécessaires à la vie sur Arrakis et d'anticiper toutes les actions qui pourraient être menées contre lui.
Un tome basé sur l'introspection de l'Empereur- Dieu, lui qui agit pour amener l'humanité sur le chemin du Sentier d'Or souffre d'une extrême solitude, il s'est bien commandé des gholas copies conformes de Duncan Idaho mais tous finissent par essayer de l'éliminer. Même l'amour charnel lui est désormais interdit car il n'est déjà plus un homme et pas encore tout à fait un ver. L'homme qui exerce le pouvoir est-il forcément appelé à être seul, en tout cas c'est le parti pris par @Herbert, celui qu'il développe dans son roman.
Les réflexions sur la démocratie et l'immaturité des Hommes à mériter celle-ci sont très intéressantes même si je ne les partage pas, loin de là.
Un roman assez cérébral donc mais au combien passionnant. La capacité d'@Herbert à prendre des virages à 90° tout en gardant le fil de l'histoire m'impressionne et me donne très envie de continuer l'aventure avec @les hérétiques de Dune.

Challenge pavé
Challenge Multi-Défis
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Au final, je suis assez déçu : ce tome est pas assez "galactique", l'histoire est coincé sur la planète Arrakis et on peut se fourrer les doigts dans l'oeil pour trouver de l'action. Y a beaucoup trop de bla bla, ça bouge pas... Je me demande des fois si y aurait pas des problèmes de traduction, parce que les phrases sont souvent pas claires, on arrive pas à en extraire des explications convaincantes. La fin est pourrie car trop rapide, et surtout elle apporte pas vraiment de réponse, notament sur le sentier d'or ou les non-espaces. Bref, je sature un peu. J'ai remarqué que le tome 5 se passait 1500 ans après la fin du tome 4, soit déjà 5000 ans après le tome 1, et comment dire... l'attrait initial s'est plutôt estompé. Bon, j'enchaîne quand même, j'ai acheté la série complète, et je me suis pas tapé 4 tomes sur 6 pour arrêter là.
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Décidemment, la série est en dent de scie.
Après le superbe tome Cycle de Dune, Tome 3 : Les enfants de Dune, cet épisode présente un intérêt moindre.

On a fait un saut de 3.500 ans dans le futur. Léto, n'est plus humain, quasi invulnérable et omniscient.
Duncan, qu'on avait connu comme homme fort, est devenu pour beaucoup de ses gholas, faible, (puisque ses descendants ont évolué et que Léto désire un Ghola conforme à l'original).
Le bene gesserit est à genoux, faible devant l'omnipotence de l'empereur-dieu.

Et Léto lui-même, en fin de règne, malgré ses faiblesses d'âme, est assez antipathique finalement.

Beaucoup d'introspection, de reflexion, allez disons le carément de Parlottte et trop peu d'action.

Avec Cycle de Dune, Tome 2 : le messie de Dune, le tome le moins intéressant de la série.
On se rattrapera avec l'épisode suivant : Cycle de Dune, Tome 5 : Les hérétiques de Dune
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J'avance tranquillement mais surement dans la saga Dune avec ce 4ème tome qui signe un tournant dans l'univers de Frank Herbert.

Mis dans ma PAL d'avril pour le lire dans le cadre d'avril autour de la SF organisé par Céline, j'ai pris un plaisir énorme à me replonger dans cette série littéraire archi connue et surtout reconnue par les amateurs du genre.

Ce 4ème tome divise les avis, considéré par certains comme le meilleur, par d'autres comme trop long et trop verbeux. de mon côté, j'ai adoré! Je ne peux pas dire si ce tome est le meilleur de la saga ou pas, car pour moi il est dans un style à part des 3 premiers. Il commence un nouveau cycle, l'histoire se déroule des millénaires après le début du cycle. Paul, Jessica, Shani and co sont depuis longtemps disparu et nous nous retrouvons dans la tête de Leto II, fils de Paul Atréides devenu alors une espèce de créature mi-ver des sables, mi-humain, plutôt très ver des sables et plus très humain... ou pas. L'intéret de toute l'histoire réside justement dans le fait d' apprendre à plongée en profondeur dans l'esprit de celui-ci et de comprendre tout ce qui fait que Dune est devenue Arrakis et qu'elle n'a plus rien à voir avec la planète que l'on connaissait.

L'eau est revenue, les Fremen ne sont plus (ou alors si ils sont toujours mais leur nouveau nom Fremen de musée dit tout de leur statut), le Bene Gesserit, les Tleilax, les Ixiens essayent tant bien que mal de tirer leur épingle du jeu mais les grandes maisons ont quasiment tout disparue. Dans ce grand chamboulement, et devant la tyrannie de Leto, seul Idaho, des milliers d'années plus tard reste, et surtout reste le même.

Bref pour ma part je n'irai pas jusqu'au coup de coeur mais clairement ma lecture était tellement excellente que j'ai filé dès ce matin acheté le tome 5 "Les hérétiques de Dune" pour continuer cette cultissime saga.
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Avec cette saisissante couverture signé Aurélien Police, nous retrouvons donc Leto II, fils de Paul dans cette suite se déroulant des millénaires plus tard. Si le tome précédent avait été un gros coup de coeur et mon préféré jusqu'à présent, le soufflet est quelque peu retombé ici.


Qu'on ne se mente pas, cela reste de la SF diablement prenante à lire, très bien écrite et où la plume de l'auteur devient vraiment de mieux en mieux. le hic ? C'est que malgré cela, j'ai clairement l'impression que le fond devient de plus en plus classique et répétitif. Ce n'est donc plus la claque des débuts.

Pourtant, on ne peut être que fasciné avec un héros comme Leto, cet homme qui s'est laissé transformé en ver des sables géants pour le bien de tous. J'adore tous les passages décrivant celui-ci, son corps mais aussi son état d'esprit et ses sentiments. Il me fascine, certes d'une manière un peu glauque et frissonnante, mais quand même. Je trouve l'idée du saut dans le temps pour le retrouver une fois la transformation bien avancée et son projet politico-écologique également, très bien vue. On se retrouve ainsi face à un nouvel univers, un nouveau paysage et de nouveaux personnages. le hic à nouveau, c'est que l'ensemble reste assez superficiel. L'auteur répète sans cesse les mêmes phrases et l'intrigue tiendrait sur bien moins de pages s'il divaguait moins... J'aurais vraiment aimé plus de force et d'audace.

On se retrouve à la place avec un récit centré à la fois sur le projet de Leto, celui des Ixiens avec sa fiancée Hwi mais aussi des forces de l'Empire qui sont encore pas loin malgré le sommeil qu'on leur impose. Nous découvrons tout cela à travers les Mémoires volées de Leto qui accompagnent chaque chapitre en incipit mais également l'histoire à travers le personnage de Siona, la fille de Moneo, sur laquelle Leto compte beaucoup pour la suite de son mystérieux projet. Et avec eux, nous avons également la société des Truitesses, nouvelle armée d'élite des Atréïdes et les Freemen de musée, qui portent bien leur nom, et ont totalement dépéri. Tout cela donne une ambiance qui se veut assez morose, celle d'un monde sur le déclin, c'est du moins l'apparence qu'il veut donner mais au fond tout bouillonne et c'est là que ça devient passionnant.

Malgré une narration un peu mollassonne et répétitive qui manque de nerf, on ne peut que suivre, fascinée, le plan que Leto tente de mettre en branle à la fois autour du ver qu'il devient et des implications de ceci sur la nouvelle transformation d'Arakis, et également autour de Siona et du nouveau ghola de Duncan pour créer de nouveaux Atréïdes qui échapperaient aux plans des autres instances de pouvoir de l'Empire. Excellent ! Tout se met en place assez lentement et de nombreux coups de théâtre viennent émailler cela, ralentissant et faisant diverger les projets parfois, montrant que même le meilleur plan a des failles.

Ce mélange de politique, d'écologie, de génétique et d'introspection qui se fait ici a de quoi surprendre. On prend une toute autre direction que celle des débuts, je trouve. L'auteur remet à nouveau en question la figure du héros qu'il avait monté avec Paul. Il en donne un nouvel écho déformé qui interroge avec cet Empereur-Dieu martyr qui se sacrifie pour le bonheur du plus grand nombre, du moins selon son idée, mais se comporte en tyran en attendant, donnant une vision assez sombre et sans concession du pouvoir sur la masse populaire. J'aime énormément ces noires nuances.

En revanche, je suis bien plus partagée une fois de plus quant à la question des femmes dans cette oeuvre. L'auteur me met souvent mal à l'aide avec l'utilisation qu'il fait d'elle. Tantôt, il semble créer des personnages d'une grande finesse et/ou force qui m'émeuvent comme Hwi et Siona. Tantôt, il propose une instrumentalisation de celles-ci et de leur sexualité qui me dérange profondément, mais je crois que c'est justement son but et il y réussit donc parfaitement.

La nouvelle proposition de l'auteur pour qu'un "messie" échappe à son destin m'a donc autant fascinée que perturbée. J'ai adoré le personnage de Leto, probablement celui qui m'a le plus fascinée dans la saga avec Alia. Mais j'ai trouvé la narration vraiment bancale dans ce nouveau tome et j'aurais aimé une intrigue moins en huis clos, plus sensationnelle et en écho avec la qualification d' "oeuvre-monde" qu'on donne souvent à la saga. Là, je me suis sentie un peu enfermée, à l'étroit, dans une histoire de famille qui finalement se répète un peu avec ces héros cherchant à protéger leur descendance en échappant à leur destin. Émouvant, remuant et foncièrement intrigant, Dune reste un indispensable dans ma culture SF mais un indispensable non moins dépourvu de failles.
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Encore une pure merveille que ce quatrième volume de Dune.
J'avais peur en démarrant cette lecture. On m'avait prévenu : Herbert à trop pris d'épice pour écrire ce tome. Et si c'est en effet celui que j'ai trouvé le plus difficile à lire, je ne me suis pas ennuyé une seule page. Cependant, je comprends les déçus, il y a entre les débuts de Dune et ce volume un décalage total tant dans la manière d'écrire, de narrer, que dans le type d'histoire.
Herbert assume totalement un ouvrage de réflexion. C'est presque un essai sous forme de roman. L'action évolue lentement et semble secondaire par rapport à la fascination qu'exerce Leto II. Il le dit, nul ne peut le comprendre, et pourtant on passera le livre à essayer, à partager avec lui la souffrance du sentier d'or, à comprendre ses ennemis et à les plaindre, et enfin à pleurer pour le plus grand tyran de la littérature.
Je me demande parfois comment la tête d'un auteur peut être si remplie de richesses pour produire des livres pareils, comment on peut en arriver à tant de complexité, et en livrer une synthèse en un tout cohérent.
Autant dire que j'attaquerai la suite avec avidité.
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Que ce fut long ... Seules les 100 premières pages et les 30 dernières sur les 600 valent le coup. J'ai adoré le 1er Tome et chef d'oeuvre " Dune " et j'ai continué par la suite le cycle mais il est vrai que je commence à faiblir tant le Messie de Dune et l'Empereur Dieu ont été une vraie galère à lire ( " Les enfants de Dune " était encore pas trop mal... ). Pourquoi, tout simplement parce qu'il ne se passe pratiquement rien à part un bla bla soit disant" philosophique "continuel devenant à la longue vraiment gonflant. Pour résumer ce tome, Leto II est devenu une sorte de Dieu vermifore antipathique englobant en lui tous les souvenirs de ces ancêtres. Il est toujours à la recherche de son " Sentier d'or " et j'ai eu l'impression tout du long qu'il "s'emmerde " et du coup, il arrive parfaitement à nous retransmettre son ennui. En effet, il est au courant de tout ce qui va se passer grâce à sa prescience mais ne fait strictement rien pour arrêter sa chute. Et malheureusement même la fin est expéditive et très attendue... Je me suis dit : Tout ça pour ça !
Je vais quand même continuer par " Les Hérétiques de Dune " qui apparemment et d'après les critiques que j'ai lues sonne une sorte de renouveau dans le cycle avec beaucoup plus d'actions ( ça ne pourra pas être pire ). À suivre...
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Les Mémoires Volées
Ce cinquième volume est celui qui je préfères. Il est construit comme une tragédie. Leto est devenu un Empereur implacable dans son exercice du pouvoir. En développant pleinement ses capacités il est devenu l'égal d'un dieu, mi-homme, mi-ver, exerçant une sagesse tyrannique, il a maîtrise sur des milliards d'individus ; il dirige son propre programme de sélection génétique au détriment du Bene Gesserit. En filigrane on peut lire les Mémoires Volés (toujours grâce aux exergues qui ouvrent les chapitres), ce qui est un complément parfait aux réflexions que Leto II professe généreusement à son entourage, souvent paternaliste et parfois menaçant. L'ensemble forme une réflexion personnelle sur sa vie - il a en lui l'expérience de l'ensemble de ses ancêtres - et offre, par ailleurs, une analyse philosophique et politique de l'exercice du pouvoir, en même temps qu'une histoire sociologique de l'humanité. Sa force est de connaître en détail sa destinée, mais il sait que c'est le prix à payer pour préparer l'humanité à se confronter à son éventuelle disparition. Sa faiblesse tient à son attachement pour un ghola (un humain reconstitué
génétiquement, plus parfaitement qu'un simple clone) : Duncan Idaho, l'éternel compagnon de la Maison Atréides, ainsi que l'amour qu'il semble avoir pour une femme.
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A quoi peut penser un être ni humain ni divin mais omniscient ?

Nous sommes avec Leto Atréïde, encore une fois, qui a dû sacrifier son humanité pour sauver Dune et préserver la paix universelle. Mais n'étant plus humain, il s'est transformé en une chose terrible à l'apparence d'un ver des sables géant, et il traverse le temps depuis 3000 ans environs. Certains pensent qu'il est un dieu car il est omniscient. Mais est-il parfait comme un dieu alors qu'il nous apparaît comme le mythe du Léviathan : sorte de monstre à qui les humains échangent leur liberté contre leur sécurité?

Leto se transforme en tyran et la seule chose qui rend son impérialisme acceptable est la foi que l'on a qu'il agit pour notre bien. Mais est-ce le bien ? Est-ce bien d'éviter aux hommes de maîtriser leur destiné ? Ne faut il pas laisser du hasard dans le future de la race humaine, quelle soit bonne ou mauvaise ? A-t-on le droit de priver un peuple du choix de ses actes ?

Ce qui détruit Leto est son humanité

En effet, peut on s'intéresser encore au présent lorsqu'on a 3000 ans d'existence, avec en soit la conscience de millions d'ancêtres ? Surtout quand vos ennemis vous envoient sans relâche la même personne, une personne qui a été votre ami et dont on sait qu'elle va inlassablement vous trahir, vous laissant l'image d'une histoire qui se répète ?

L'auteur nous donnera ici une redite de Pandore. Vous savez, cette humaine pourvue du don de tous les Dieux. Ici, elle s'appellera Hwi et elle correspond à tout ce qui plaît à Leto. Ainsi, on pourra lui dire qu'il échappe à tout ce qui rend humain : l'amour. C'est cela que Hwi ouvrira chez Leto : cette boîte de l'amour qui amènera une série d'évènements. Et nous passerons tout le roman à se demander quelle part d'humanité est restée chez Leto et surtoutsi cette histoire gardera un espoir pour Dune
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« L'Empereur-Dieu de Dune » poursuit l'épique saga de Dune de Frank Herbert avec une profondeur et une complexité encore accrues, parfois un peu trop à mon goût, il faut bien l'avouer. Cependant, ce quatrième tome reste une plongée encore plus profonde dans l'univers richement élaboré de Dune.

L'histoire se déroule quelques milliers d'années après les événements du précédent tome, avec le Dieu-Empereur Leto II, le fils de Paul Muad'Dib, au centre de l'intrigue. Leto II est devenu un être hybride, une fusion de l'homme et du ver des sables, dans le but de guider l'humanité vers un avenir qu'il estime nécessaire pour sa survie. Son règne est caractérisé par une rigidité impitoyable, où il exerce un contrôle absolu sur tous les aspects de la vie dans l'Empire. Mais est-ce un despote éclairé ou un despote tout court ? À la fermeture du livre, je me pose encore cette question.

Ce livre approfondit davantage les thèmes de la politique, de la religion, de l'écologie et de la nature humaine, qui sont au coeur de la série Dune. Il explore également les conséquences de la quête de pouvoir de Paul Muad'Dib et les choix radicaux de Leto II pour maintenir la stabilité dans un monde en constante évolution. Les Fremens ne sont plus que parodie d'eux-mêmes, et on se demande où mènera finalement le fameux Sentier d'Or.

Malgré tout, les personnages sont, comme toujours, remarquablement bien développés. Leto II est un protagoniste complexe et fascinant, avec ses motivations et ses actions qui suscitent à la fois l'admiration et le questionnement moral. Les autres personnages, tels que Duncan Idaho, largement exploité dans ce tome, et Siona, ajoutent des couches d'intrigue et d'émotion à l'histoire.

La prose de Herbert est dense et exigeante, ce qui peut rendre la lecture ardue par moments. Cependant, cette complexité est ce qui rend la série Dune si profonde et si gratifiante pour ceux qui sont prêts à s'investir à fond dans l'univers imaginé par l'auteur.

« L'Empereur-Dieu de Dune » continue de repousser les limites de la science-fiction en explorant des idées philosophiques profondes et en créant un monde extraordinaire rempli de cultures, de religions et de technologies uniques. C'est une oeuvre incontournable pour les amateurs de science-fiction et pour ceux qui apprécient une réflexion profonde sur les dilemmes moraux et les enjeux de l'humanité. Cependant, en raison de sa complexité, il peut ne pas convenir à tous les lecteurs. J'espère que les tomes suivants seront un peu moins philosophiques et contiendront plus « d'actions », les voyages internes de Leto pouvaient me sembler, par certains moments, traîner un peu en longueur.
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