« Nous débarquâmes sans vivres et sans armes, décidés à vivre de ce que nous pourrions réaliser de nos mains nues. Il n'y avait pas d'autres blancs sur l'île et nous ne connaissions pas la langue marquisienne. La baleinière retourna vers la goélette qui attendait au large, après que le capitaine nous eût promis de revenir dans un an. Nous étions abandonnés sur une plage de l'île sans radio ni autres moyens de communication avec le reste du monde. »