" Ma tante Makrig aurait voulu qu'on me mette à l'école des religieuses catholiques pour que j'apprenne le français. Ma grand-mère, elle, voulait qu'on nous mette toutes les deux, ma sœur et moi, à l'école Mesbourian, que fréquentaient les filles des opulentes et bonnes familles de Scutari. Quant à ma tante Yeranig, elle trouvait, elle, que tout cela n'avait aucun sens, [...] et elle proposait de mettre l'aînée en apprentissagechez une couturière et de garder provis...
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