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3,6

sur 3949 notes
L'auteur ne change pas et ses écrits sont truculents.
Le thème du sexe reste très présent dans ce livre et peu lasser même si sous la plume de Houellebecq il amuse et reste volontiers provocateur.
Je le vois déjà répondre à cette critique par : "du sexe dans mes livres ?"...
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etonnant
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Un parallèle intéressant entre ces deux demis-frères et leur vie perdue à la comprendre et à chercher l'affection dont ils ont été privés enfants. On se retrouve tout de même dans un schéma trop téléphoné aux trois quarts du roman qui tombe alors franchement dans le pathos.
Dommage, l'inscription de ces deux personnages dans une lignée familiale décrite avec la précision d'un généalogiste a franchement son intérêt!
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Après avoir lu Darrieussecq en éprouvant un plaisir certain, je me suis dit : "pourquoi pas Houellebecq".
Eh bien, bof ! mais quand même... il y a un petit truc qui me visse, qui me taraude quelque part, mais je ne sais pas encore dire quoi. Peut-être l'e.c.q. - cette petite queue qui termine leur patronyme en tire bouchon : allez savoir où se nichent parfois les pulsions.
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Ça faisait un moment que j'enentendais parler, en bien, en mal, un génie, un facho… J'étais pas franchementpressé de m'y mettre. Pour une obscure raison, ça ne m'intéressait pas. Lebattage médiatique, sans aucun doute. Quand on parle trop de quelque chose,souvent ça me rebute. J'attends que ça se calme un peu avant de me faire uneidée. Et là, ce bouquin m'est tombé dessus, comme ça, par hasard. Et il tombaitbien parce que j'étais un peu à la dèche de bouquin et quand c'est comme ça, jem'enfile tout ce qui se lit : un magazine télé, le catalogue de Sexyavenue, le dictionnaire ou même les bouquins de Dan Brown, c'est dire !
Lien : http://marcanciel.over-blog...
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Ma première tentative avec Houellebecq...
Autant le dire tout de suite, je ne suis pas parvenu à aller au bout !

En décrochant, mais après m'être quand même accroché (!), une terrible question s'est imposée à moi : Suis-je trop bête, ai-je atteint mes limites ?

Cette lecture commence à dater, mais le souvenir que j'en conserve, c'est une incompréhension du propos, une écriture compliquée, et des personnages sans intérêt.



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La lecture de ce roman de Houellebecq m' a été très pénible. L'auteur dans ses intentions apparaît comme une sorte de Janus insaisissable. Il nous plonge d'une part dans un univers littéraire brillant , avec un montage romanesque soigné, un style ciselé comme le ferait un orfèvre des très belles lettres, bref un réel plaisir pour le lecteur qui se délecte de l'art certain du romancier.
L'autre face de ce Janus, est celle du fond du livre, de sa substance, de son objet.
Et là c'est la déception, presque le dégoût, en tous cas au fil des pages, un agacement certain.
L'argument repose sur la mise en parallèle des destinées de deux demi-frères censés représenter les deux aspects possibles et principaux de la dégénérescence de nos sociétés contemporaines. L'un est bien sur scientifique, rationnel, introverti, caricatural dans son image d'intello des sciences, l'autre est l'archétype de ce qu'on nomme aujourd'hui le bobo, version soixante huitarde.
La réunion de ces deux visions siamoises d'un univers occidental désenchanté se fait par le truchement d'un séjour en un camping pour enseignants, où par le biais, notamment de mises aux normes sexuelles, l'éventualité d'une sortie de ce nihilisme postmoderne apparaît comme possible. Evidemment le substrat de ces interrogations - réponses, est un discours très individualiste, très narcissique, très politisé qui encombre le propos jusqu'à la nausée. Pourquoi? Car sans doute Houellebecq ne se prive d'aucune liberté pour s'épancher et se complaire dans ces évocations parfois très niaises de l'univers bobo, ou déjantées de zones sociologiques où la bonne mesure est celle d'un individualisme exacerbé dissimulé derrière de pseudos tribus.
Il y a un côté "déclin de l'empire américain" dans les nombreuses évocations sexuelles de ce roman. le sexe est normé, forcé, amplifié comme métaphore absurde d'une émancipation qui ne se produit pas, et de bonheurs terrestres desquels le Moi vacillant doit se ressourcer.
Au final, un livre très bien écrit, mais sur un fond bien pâteux, alambiqué, caricatural par moments, forcé presque toujours.
Rendre les illusions et désillusions humaines par ce propos était un enjeu. Désolé, mais je préfère de loin la manière dont d'autres écrivains l'ont si bien fait depuis Balzac jusque Kundera.
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Evidemment, Houellebecq est si facile à critiquer : tout, chez cet auteur, rappelle la médiocrité de l'époque. le style est le plus plat possible, le récit est le plus glauque possible, l'esprit est le plus étriqué possible.
Même s'il s'avère que nous sommes capables de le lire au second degré, ou à d'autres niveaux de lecture d'ailleurs, il est préférable de se tourner vers les bons sociologues pour tenter de comprendre nos contemporains. Il n'est nul besoin de ce roman et de son abyssal médiocrité.
Le plus étrange dans toute cette histoire, si je puis dire, c'est d'ériger cet auteur en " plus grand écrivain français vivant"... C'est même ahurissant si l'on a pris la peine de s'infliger de lire la prose de ce pauvre Michel.
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Cynique, lubrique, pessimiste et dur.
Mais brillant.
J'ai adoré les particules élémentaires et la façon dont Houellebecq parvient à tenir la cohérence de son roman dans l'entremêlât des vies de ses protagonistes pour arriver à une fin splendide.
Mon second roman de cet auteur après « la carte et le territoire » je vais devoir faire une pose pour retrouver un peu de gaieté littéraire mais j'y reviendrai c'est certain !




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De nos jour, on qualifierait ce livre de "putaclic" ...
De l'art et de la manière de choquer pour mieux attirer, de décrire l'infâmie pour mieux s'en repaître, Houellebecq nous a confirmé depuis longtemps qu'il est passé maître.
Et bien sûr, ça paie !
Après avoir refermé ce torchon, je l'avais rebaptisé "les parties de cul alimentaires".
Les deux étoiles sont pour le style uniquement, car il faut reconnaître que l'auteur n'en manque pas.
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