Quelle beauté, toujours contondante... Phosphophyllite se brise petit à petit pour faire avancer son entreprise risquée - c'est le sens du sacrifice, pour lui et Maître Varja, toujours aussi mystérieux mais qui nous inspirerait presque de la peine. le tout s'offre, majestueux, dans une entreprise de mort, avec des tons de nostalgie face aux être perdus. Pauvre Fantôme, et Padparadscha. C'est à pleurer. {19}
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Envoûtant et singulier L’Ère des cristaux continue de nous enchanter même si l’on se doute que son caractère particulièrement atypique pourra laisser de côté une partie du lectorat.
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