Le Livre d'or de la science-fiction : Mickaël Moorcock

14 nouvelles choisies par Maxim JAKUBOWSKI (qui a exclu tout ce qui relevait de la fantasy..dommage.Les choix sont très discutable à mon goût ) ,plus présentation, mini bio et bibliographie détaillée. Critique : Barrington John BAYLEY & Michael MOORCOCK, « Paix sur la terre » ( 1959),Anecdotique 1ère nouvelle « Lee Seward contre M-A 19 » (1964) Nouvelle un peu confuse :le monde y devient fou ( rien de très neuf).Tout tourne autour d'une drogue ce qui donne un ton dickien sans en atteindre la maîtrise « L'homme, qui habitait le temps ( 1964)Une de ces fins du monde qu'affectionne l'auteur ; Sur une Terre exténuée on manipule le temps. « Fuite de nuit »( 1965) Même sinistre paysage que le précédent ,un Lunien fasciné par le passé vient visiter la planète décadente « La Montagne » (1965)Très belle nouvelle contemplative.Encore une fin du monde . « le Jardin d'agrément de Felipe Sagittarius » (1965) Un monde alternatif où Hitler , Einstein, Bismark. ..assument des rôles surprenants dans les ruines de Berlin. « Voici l'homme » Iconoclaste ,provocatrice, brillante. (1969) « L'Histoire du monde » ( 1981) « A Prague en 68 » (1969) « Nature de la catastrophe » (1970) « Roses pâles » (1974) .« La Femme troubadour » ( 1977) «La Péninsule de Cassandre » (1976) Nouvelles du cycle Cornelius .Fausses audaces stylistiques, surréalisme de bazar. Je n'aime pas « Un chanteur mort » (1974) Fantastique et musique autour de Hendrix ressuscité