Roy Grace, tome 2 : La mort leur va si bien

J'aime bien Roy Grace, ses états d'âme, ses réparties. J'aime bien Brighton, ces ouvrages donnent l'envie d'aller y passer un week end. Ce livre m'a paru déséquilibré. La fin y est précipitée, j'aurais préféré que ce dénouement soit moins rapide, qu'il y ait un retour sur les faits, un genre de débriefing. Comment Tom et Kellie se sortent ils de ce cauchemar, par exemple.

Autant j'avais adoré son premier livre "comme une tombe" autant j'ai trouvé celui la long, trop de descriptions inutiles j'ai du survoler certains paragraphes d'ailleurs, je m'attendais a beacoup mieux
vraiment déçu ☹
j'ai néanmoins d'autre livre de cet auteur qui j'espère seront aussi bon que son premier du nom je garde espoir 🤗♦

Deuxième opus de la série des enquêtes de Roy Grace.
Je ne me souvenais plus de celui-ci, et aux premières pages, j'ai nullement regretté de reprendre la lecture de cette série qui a désormais plus de quinze ans.
Deja en 2008, les crimes atroces en direct suscitaient l'intérêt de votre voisin si tranquille.
Demembrage en direct, meurtre à l'acide, double assassinat filmé. le plaisir du Snuff movies détaillé dans ce thriller au goût de scarabée bousier.
Un peu de Douglas Kennedy me fera le plus grand bien avant d'attaquer le volume 3.

L'obèse qui beuglait dans son téléphone, oublie un CD en quittant le train, Tom Bryce le ramasse mais il n'y a rien d'écrit dessus. Rentré chez lui il insère le CD dans son ordinateur, on lui demande si l'adresse de son MAC est correcte, puis apparaît à l'écran le signe Scarab Productions et il assiste à un snuff movie. le lendemain il a perdu toutes ses données. L'ordinateur réparé il reçoit un message d'avertissement qui l'informe que s'il parle à la police de ce qu'il a vu sa femme et ses enfants auront le même sort que son ordinateur.
Le commissaire Roy Grace est appelé sur une scène de crime où l'on ne retrouve que des parties d'un corps de femme.
Informé par la presse du meurtre, Tom Bryce avertit la police, la vie de sa famille va basculer.

Après une quatrième de couverture très attirante, l'on s'attendait à être rapidement plongé dans l'enquête mais la mise en contexte est très longue, l'auteur s'attardant un peu trop longuement sur les personnages et leurs vies. On a droit à de nombreux détails inintéressants pour l'enquête et il faut attendre la moitié du récit pour que l'enquête commence à présenter de l'intérêt.

Les personnages sont bien décrits, peut être même un peu trop !

Le roman aurait gagné en intérêt à être plus court et plus rythmé. Un policier qui reste tout de même intéressant malgré ses nombreux défauts.
Lien : http://imaginaire-chronique...

J'ai un peu hésité en voyant que c'était un tome 2, heureusement ça ne s'est pas ressenti à la lecture. Peut-être que j'aurais eu plus de mal avec le tome 18 ^^

L'enquête est intéressante, on suit différents protagonistes sans se perdre dans les points de vue. La psychologie de chacun est bien abordée, certains traînent de lourdes casseroles, d'autres moins.
L'écriture est fluide mais il y a beaucoup d'informations à traiter - parfois trop.
Bien qu'ils ne soient pas si nombreux, j'ai eu l'impression que les passages sur la vie privée du commissaire Roy Grace prenaient beaucoup de place. Peut-être parce qu'ils sont très chargés émotionnellement mais ce n'est qu'une supposition.

Une lecture agréable dans l'ensemble.

Second livre de la série ayant pour héros Roy Grace, l'un des personnages principaux de thrillers que je préfère avec Thomas Linley, mais bon, ce n'est pas le même auteur et je parlerai de Linley une autre fois. Concernant Roy Grace, il est terriblement humain et je me suis très vite attachée à lui. de plus, il tape la balle chaque fin de journée avec une bande de gamins défavorisés... En gros, le flic qu'on aime aimer. Mais pas que lui, tous ceux qui l'entourent ont des particularités qui nous attirent également. C'est ce qui m'a accrochée direct chez Peter James, sa façon de nous amener à nous intéresser à ses personnages comme s'ils faisaient partie de la famille.

L'histoire maintenant, Tom Bryce trouve un CD-ROM oublié dans le train en rentrant du boulot. Pour retrouver son propriétaire, il le lance sur son ordi et tombe sur un snuff movie. Horrifié par ce qu'il voit, il coupe l'ordinateur, mais quand il veut le revoir pour creuser cette affaire qui le préoccupe, il ne peut plus accéder aux images mais reçoit un message menaçant, le visant lui et son entourage.

Et bien entendu, le commissaire Roy Grace est justement mis sur une affaire de meurtre... toujours bien entendu, celui de la femme que Tom a vu se perpétrer en direct sur le CD. La police va enquêter, à l'aide de la médecin légiste, pour mettre l'assassin hors d'état de nuire avant qu'il ne commette d'autres horreurs, et notre Tom continue d'être persécuté par il ne sait qui. Il n'aurait jamais dû avoir ce CD entre les mains et il n'aurait jamais dû le regarder. Les malfaiteurs, vous l'aurez deviné, sont amateurs de ce genre de films faisant l'objet d'un trafic très secret, et ne le lâchent pas, s'en prenant à son entreprise, faisant sombrer sa femme dans le désespoir.

Je l'ai déjà dit, mais je le répète, les personnages sont tous très bien décrits sans exception, on s'identifie parfaitement à chacun d'entre eux. La plume de l'auteur, qu'en dire que personne ne sache déjà ? Non, ne me dites pas que quelqu'un ne connaît pas encore Peter James. Tous ses livres ou presque sont de petits bijoux, que ce soit en thrillers orientés polars, en thrillers médicaux où il égale quasiment Robin Cook, pour les amateurs du genre, ou bien encore quand il nous plonge dans l'horreur.

Pour rassurer les gens qui se lanceraient dans la série des Roy Grace sans commencer par le premier, je dirai qu'il n'est pas obligatoire de les lire dans l'ordre. Il est bien fait référence aux volumes antérieurs, vu que la vie des principaux protagonistes est assez détaillée, mais ça ne gâche en rien la lecture.

Nouvel auteur pour ma part. Je voyais son nom partout, cela m'a donc intrigué, mais un peu déçue de ma lecture.

Nous suivons là l'inspecteur Grace, qui a un nouvel homicide à élucider : un corps de femme démembré dont on ne retrouve pas la tête. Aucun indice, aucune piste. A côté de cela, Tom Bright, individu lambda, chef d'entreprise en mal de clients et d'argent, rentre chez lui en train et trouve un CD laissé par un type imbuvable sur lequel il n'arrive plus à mettre la main. Il prend alors la mauvaise décision : lire le CD pour savoir s'il peut trouver des informations sur son propriétaire. Après cela les événements s'enchaînent. A noter aussi que madame Tom Bright, mère de deux jeunes enfants, file un mauvais coton, dépense plus que de raison et noie son chagrin dans la vodka.

Je n'en dirais pas plus. Ce qui m'a le moins plu dans ce roman c'est le temps que l'histoire prenne en intensité. Il aura fallu la moitié du bouquin avant qu'il ne se passe quelque chose. Et il y a aussi pas mal d'incohérences : Grace qui a perdu sa femme Sandy, on n'entendait que son nom à la suite : Sandy Sandy Sandy, a bien vite tourné sa veste à la fin du roman. Tellement que nous n'en entendons plus parler. Ou encore une personne protégée par la police qui circule tranquillement dans le train alors qu'il vit caché. Bref, encore une lecture qui ne m'a malheureusement pas emballé... Ah là là j'espère que la roue tourne pour les prochaines lectures. J'ai encore deux romans de l'auteur dans ma bibliothèque. J'espère qu'il va s'améliorer avec l'expérience de l'écriture!

Le commissaire Roy Grace et son équipe enquêtent sur le meurtre d'une jeune femme dont le cadavre a été retrouvé démembré et sans tête.
Dans le même temps, Tom Bryce trouve un DVD oublié dans le train qu'il emprunte chaque jour en rentrant du travail. Ce qu'il y découvre le remplit d'effroi et va mettre sa vie et celle de sa famille en danger.
Mon avis :
Le quatrième de couverture étant très prometteur, je m'attendais à une rapide entrée en matière. Au lieu de cela, c'est long, trèèès long, beaucoup trop long (en version numérique le livre fait tout de même 975 pages !). J'ai mis un temps infini pour en venir à bout. Il faut attendre la fin du premier tiers de l'histoire pour que cela devienne intéressant et environ la moitié du livre pour que cela soit enfin passionnant. le tout en sautant allégrement des lignes à cause de détails inintéressants qui n'apportent rien à l'histoire. Honnêtement je me moque de savoir ce qu'a mangé le fils de l'oncle de la cousine (c'est une métaphore évidemment).
Plus court et plus rythmé dès le début ce livre aurait été une pépite.

Peter James, qui fêtera son 73ème anniversaire dans 4 jours, sujet britanique, fils de Cornelia James, gantière de la reine Élisabeth II (eh oui !) - source Wikipedia - nous sert (encore !) une très belle intrigue.

On retrouve le commissaire Roy Grace (toujours, mais de moins en moins, à la recherche de sa femme disparue mystérieusement il y a quelques années), son acolyte Glenn Branson à la recherche d'un tueur qui veut, entre autre, s'en prendre à un malheureux quidam (et à sa famille !) qui a eu la mauvaise idée de lire un CD trouvé dans un train. Bien-sûr il y a découvert des choses qu'il n'aurait pas dû voir et c'est bien là le problème !

J'avoue nourrir une petite passion pour cet auteur dont j'avais lu en premier « Comme une tombe » C'était mon 8ème James et même si je n'ai plus rien de lui dans ma PAL à ce jour, je vais continuer à le lire. Je pars en quête d'un autre roman dès que j'aurai clôturer cet avis. :o)

Toujours le même reproche à formuler : pourquoi les personnages ont-ils toujours aussi soif ?!! Quelle descente, que ce soit homme ou femme !

Un roman qui passionne du début à la fin sans longueur, sans temps mort. Je le recommande

Si on considère que l'auteur maitrise à merveille (et pour cause, il écrit des thrillers depuis 30 ans) toutes les ficelles du genre, il est indéniable que ce roman qui navigue entre polar et thriller est très bon.
Oui, mais voilà. Si on élude les ficelles stéréotypées, il reste le talent de l'auteur et une histoire basique, voire banale.
Néanmoins, ce roman remplit parfaitement sa mission : captiver le lecteur, même s'il ne laissera pas un souvenir impérissable, et si une fin plutôt "amorale" et non "politiquement correcte" ne le concluait.