Jacqueline Jencquel s'était fixée de mourir le 20 juillet 2020 avec l'aide au suicide permise en Suisse mais interdite en France. L'auteure élabore un témoignage que je qualifierai d'un ensemble de considérations sur le monde d'aujourd'hui et sur sa propre vie se déroulant dans plusieurs pays. Elle fait un bilan de ses expériences et de l'aboutissement de ses actes autour de ses mariages, de l'éducation de ses enfants, des dernières années de sa vie assez mouvementées et égoïstes.
Si la vieillesse est un naufrage, selon le Général de Gaulle, pourquoi attendre et ne pas quitter le bateau de son plein gré passé un certain âge, dit-elle. Elle milite donc pour un droit à la mort non seulement à cause d'une maladie mais aussi à cause des polypathologies invalidantes dues à la longue vieillesse. le texte, mal structuré et chargé de beaucoup de répétitions est un peu laborieux. le message est clair mais pour l'instant, l'instinct de survie a repoussé pour une énième fois l'échéance... MG