Dans ce roman, nous sommes à mi-chemin entre L'odyssée de Pi et le film d'animation Madagascar.
C'était drôle tout-de-même par moment, il faut le reconnaître, mais pas assez pour rattraper tous les défauts de ce livre à mon sens :
- il y a trop de personnages différents. Cela m'a fait penser à une histoire que je pourrais inventer en enchaînant les idées sans vraiment y avoir réfléchi avant. Ou comme lorsqu'on raconte une histoire à plusieurs, que chacun reprend à la suite de l'autre. Ou alors ça ressemblait à un rêve. Tout ça pour dire que cela n'avait pas vraiment de sens en terme de déroulé.
- j'ai trouvé assez mal amenée la partie écologie. Comme si, puisque c'est dans l'air du temps, ça faisait bien d'en glisser un peu.
- si, je le redis, ça m'a fait rire un peu, j'ai finalement pas mal soupiré. La goutte d'eau étant la panthère qui se mettait du rouge à lèvres.
Pour conclure donc, une lecture décevante voire agaçante !
PS : niveau présentation du texte, il était très perturbant à la lecture d'avoir cet immense titre (14 mots!) en haut de chaque page. Qu'est-ce qui leur a pris à Oskar éditeur ?
~ Challenge 50 objets-2 : drapeau
~ Challenge multidéfis 20 : BABELIO peut être formé avec les lettres du titre
~ Plumes fém. 2020 : livre au choix
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Roman complètement loufoque et délirant sur le naufrage d'un cargo zoo sur une île quasi déserte.
Au début, seule la hyène a survécu et très vite elle retrouve Koulkoulle le kangourou qui a toujours une solution à tout et surtout qui semble connaître si bien le monde et son fonctionnement.
Face aux dangers ils vont s'entraider, embarquant avec eux d'autres rescapés retrouvés : un manchot et une girafe.
Roman qui traite de l'immigration et de la pollution des mers notamment et plus généralement d'écologie.
La couverture est magnifique, le texte amusera sans doute les petits lecteurs mais moi j'avoue que je n'ai pas du tout été embarquée.
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Si tu veux mourir, faut le dire, ajouta Bellatrix. Pas de soucis pour moi. Je suis une pro. Sans douleur, tu passes d'un monde à l'autre ! Couic.
Sur leur gauche, la mer à l'infini. Sur leur droite, la mer à l'infini. Devant eux, la mer à l'infini et derrière. Bon on a compris.
"Jao le caméléon" de Florence Jenner-Metz, version kamishibai