Premier tome d'une trilogie, L'armure mandalorienne pose beaucoup de questions, mais n'apporte aucun réponse, et le lecteur en reste sur sa faim: je connais des romans à suivre qui offrent au moins une forme de fin qui permet de patienter avant de passer à la suite.
Pour un chasseur de primes ultra-doué que tout le monde craint, Boba Fett ne m'a pas spécialement impressionnée. Son plus gros coup dans le livre est plus du au hasard (ou alors est ce qu'il a ce genre de colis surprises piégés dans toute la galaxie?)
C'est tout de même suffisamment prenant pour que j'attaque la suite!
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Le Hutt avait eu tort sur la durée de la dissolution et de la torture. Quelques secondes avaient suffi pour que la nouvelle signification de la douleur devienne claire. L’acide s’était infiltré à travers son uniforme, faisant naître sur sa peau un brasier semblable à celui de mille soleils. Et les secondes, les minutes ou les heures qui avaient suivi avaient semblé s’étirer jusqu’à l’éternité
Les yeux à pupilles verticales de Bossk s'écarquillèrent quand il vit le regard de Fett et vit le blaster pointé sur son abdomen. Le pouce du chasseur de primes reposait sur la gâchette de l'arme.