Qu'ils soient ethnologues ou sociologues, les chercheurs africanistes ont trop souvent analysé les manières de boire en ne s'intéressant qu'à leurs effets - positifs ou négatifs - sur la cohésion du groupe. Cette vision manichéenne n'a pas épargné les buveurs dogon, présentés d'abord comme des sauvages sombrant dans la fureur d'une commune orgie, puis comme des philosophes s'enivrant pour apaiser les défunts. Ce livre réfute de tels stéréotypes. En pays dogon, au Ma...
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