Ce livre est moins prenant que les autres. Les personnages sont toutefois toujours aussi bien construits.
Ce tome n'apporte pas grand-chose à l'histoire directe, mais je n'ai pas encore lu la suite, donc peut-être que les tomes suivants me donneront tort.
Toutefois, je pense que son utilité se situe, dans le fait qu'il nous permet de familiariser le lecteur, en douceur avec l'univers des dream hunters, encore assez flou.
On passe quand même un bon moment en le lisant. Il accorde une pause à l'histoire qui est assez intense et qui promet de l'être davantage.
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Court, c'est le premier mot qui me vient. L'histoire est courte. Trop courte.
L'intrigue se pose à peine, les personnages sont très vite décrit et plutôt stéréotypés, le développement inexistant.
La fin par contre est longue, environ la moitié du livre et oui, c'est possible. Fin mal amené, qui vient comme un cheveu sur la soupe et à laquelle on ne croit pas.
Le revirement des personnages est juste niais ou au mieux improbable.
Par ailleurs, le coup de Perséphone ne pourra pas être utilisé à chaque fois.... en bref, ce tome reprend les grosses ficelles des précédents et ne sert à rien. Sauf peut-être à voir Zeus et son caractère de cochon.
Avis aux amateurs, passé votre chemin.
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Leta et Aidan sont deux personnages totalement inintéressant. J'ai pas aimée leurs histoire, elle est plate et sans aucun saveur. Je ne suis pas mécontente de l'avoir terminer.
J'aurais aimée plus de peps surtout avec Douleur qui est tout sauf adepte des câlins, mais non toute l'action reste en surface.
Dommage, mais pas vraiment surprenant, plus je lis cette saga, moins je suis surprise.
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— Vous suivez donc le dieu de la douleur en essayant de protéger ses cibles. Qu’êtes-vous donc ? La fée antidouleur ?
— Quelque chose comme ça.
Il émit un reniflement méprisant.
— Bon, je note pour le réveil : ne pas boire de bière à jeun. Ce rêve est encore plus tordu que celui avec l’âne et le tire-bouchon.
Leta fronça les sourcils.
— L’âne et le tire-bouchon ?
— Je ne vous connais pas suffisamment pour entrer dans les détails.
Si seulement elle avait su ! Il avait toutes les raisons d’être désabusé. On lui avait planté assez de poignards dans le dos pour rendre jaloux un porc-épic.
Ce n’est pas la douleur infligée par les autres qui nous détruit. C’est celle que nous laissons entrer dans nos cœurs.
Vidéo de Sherrilyn Kenyon