Comme ce fut le cas pour le premier tome, j'ai de nouveau été très touchée par le contexte historique du roman, qui se déroule vers la fin des années 60.
Les USA sont marqués par de nombreux évènements dont les assassinats de
Martin Luther King et Kennedy, la guerre au Vietnam, de nombreuses et sanglantes émeutes… Toujours énormément de violence et de racisme qui m'ont mis les larmes aux yeux et la boule au ventre.
Jarod et Mady m'ont bouleversés. Ils ont touché du doigt leurs rêves avant de tout perdre, et cette seconde partie de leur histoire aborde la désillusion, le deuil d'une vie passée et la reconstruction.
Des scènes déchirantes, des mots forts, une haine mal dirigée… Et des amis loyaux, une famille de coeur plus forte que tout.
La danse prend une toute autre place ici, elle est thérapeutique, salvatrice, elle représente une renaissance. “La danse pour réparer les vivants”, une expression qui prend tout son sens.
Petit coup de ♥ pour le personnage de Ben, le frère de Jarod, déjà touchant dans le premier volet mais ici… Pfiou. Il mériterait sa propre histoire.
J'ai vraiment passé un bon moment et je clos cette duologie avec le sourire.
Lien :
https://www.instagram.com/p/..