Le cri ! Ce cri ! Strident, terrible. Pas crescendo, mais constant, une fréquence qui s'insinuait dans le crâne de Feuer. Ce cri qui emplissait l'air. Les yeux de la bête étaient hagards : la peur de la mort. " On se dépêche un peu, ces messieurs ", cria le boucher. Feuer aussi a intérêt à se dépêcher pour échapper au carnage qui s'abat sur les raffineries de sucre, les abattoirs, les magasins bi... >Voir plus