Keynes est un charlatan qui a enrobé les sophismes de Silvio Gesell dans les mathématiques pour donner un air sérieux à sa présentation.
Keynes ne se faisait pas trop d'illusions sur le succès de son ouvrage, mais il ne se doutait pas à l'époque qu'il avait un marché prometteur : celui des hommes de l'Etat à qui il donnait un prétexte pour faire main basse sur l'économie.
En France, les thèses de Keynes ont été définitivement réfutées, par le conseiller économique d'Antoine Pinay, Jacques Rueff.
Ceci n'empêche pas le système scolaire français, depuis l'enseignement secondaire jusqu'au Supèrieur, de continuer à embrigader les élèves avec les théories de Keynes et des néo-keynésiens.
Les spéculateurs peuvent être aussi inoffensifs que des bulles d’air dans un courant régulier d’entreprise. Mais la situation devient sérieuse lorsque l’entreprise n’est plus qu’une bulle d’air dans un tourbillon spéculatif. Lorsque, dans un pays, le développement du capital devient le sous-produit de l’activité d’un casino, il risque de s’accomplir en des conditions défectueuses.
Bien que cette théorie montre qu’il est d’une importance vitale d’attribuer à des organes centraux certains pouvoirs de direction aujourd’hui confiés pour la plupart à l’initiative privée, elle n’en respecte pas moins un large domaine de l’activité économique. En ce qui concerne la propension à consommer, l’État sera conduit à exercer sur elle une action directrice par sa politique fiscale, par la détermination du taux de l’intérêt, et peut-être aussi par d’autres moyens.
Le problème politique de l’humanité consiste à combiner trois choses : l’efficacité économique, la justice sociale et la liberté politique.
TOUS CONNAISSENT LA TAPISSERIE DE BAYEUX, QUI EN EST LE HÉROS ?