AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,9

sur 2336 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
" Une voiture ordinaire pouvait-elle devenir le lieu de résidence d'un démon dangereux et puant ? Une maison hantée roulant sur Goodyear ? ""Quels sont les secrets de Christine; la Pylmouth Fury 1958 d'Arnie Cunningham, un ado souffre douleur de son lycée.

Christine, l'auto tueuse, est peut-être le monstre qui fait le plus froid dans le dos. A cause de l'acier, des vitres totalement noires et du gros pare chocs avant, du blanc et du rouge, et de ses ailerons ?

Elle a sa propre personnalité ( celle de l'ancien propriétaire Rollie LeBay ? ) et laisse libre cours à sa jalousie meurtrière. Christine ébranle le jeune mâle qui préfère sa 1ère voiture à la compagnie d'une jeune femme. Sous le capot, ce bolide peut abriter un moteur V8 de 290ch ou un autre de 305ch.

Christine ne veut pas qu'on touche à Arnie ( que ce soit la bande à Repperton ou Leigh..) Dennis, son meilleur ami et la jolie Leigh vont essayer d'aider Arnie...

Christine revient dans "Le fléau", il y a une Plymouth avec un porte-clefs avec les initiales AC: Arnie Cunningham . Dans "Ca", Blelch poursuit les héros, au volant d'une Plymouth Fury 1958 et dans "22/11/63", Christine ou sa jumelle refait son apparition.

Stephen faillit mourir renversé le 19/06/99, par une Dodge conduite par Brian Smith, un homme qui tabassait son chien...au volant! Il risquait l'amputation et ne pouvait plus rester assis, pour écrire...
Plymouth Fury et Dodge font partie du groupe Chrysler...
Commenter  J’apprécie          10819
J'avais gardé des deux ou trois romans lus, de Stephen King, une impression de suspens insoutenable, de cauchemards assurés, et j'avais toujours repoussé la lecture de Christine.
Soit j'ai changé, soit c'est soft par rapport à ce que j'ai pu lire depuis, mais je n'ai pas eu peur, juste une "fast and furious" envie de tourner les pages...
Lu en un après-midi.

J'avais lu que c'était l'histoire d'une voiture amoureuse de son jeune propriétaire, prête à tout pour éliminer quiconque lui fait du mal ( ou la concurrence ...).
Certes, mais c'est bien plus que ça...
Vous y croiserez des fantômes, un jeune homme "habité", et un passage SF ( avec aller dans le passé), mais aussi les années 70, et une bande-son qui ne parle que de bagnoles, de kms parcourus. Cette bande-son ouvre tous les chapitres avec des extraits de chansons (américaines, of course...)


Lorsque le jeune Arnie, souffre-douleur de lycée, croisa Christine, il en tomba raide dingue. Et pourtant, elle n'était pas belle à voir , son pare-brise était craquellé, sa peinture rouge sang était passée, ses siéges étaient en mauvais état. Qu'importe ! Arnie va la retaper, au péril du pécule qui doit lui servir à payer ses frais d'université. Et très vite, Christine resplendit, à tel point que certains se posent des questions, car ils savent bien qu''Arnie n'y a pas bossé tant que ça, ou qu'il n'avait pas l'argent pour tout changer aussi vite. Mais même Arnie semble changé. son acné a disparu, il semble davantage sûr de lui. Devant le temps consacré à Christine, ses parents s'inquiétent , son meilleur ami s'inquiéte, ils se méfient de Christine...
Le problème, c'est que Christine ne semble pas encadrer grand monde ...


Publié en 1983, ce roman était terriblement novateur et est devenu culte. Il a le goût de l"Amérique , comme dirait une célébre pub et en reprend tous les thèmes littéraires chers à l'adolescence pour mieux les distendre et les disloquer.
J'ai adoré cette histoire qui doit terriblement foutre la trouille au cinéma...


A l'heure où j'écris, j'ai une heure à tuer...
Il est presque 23h, et je dois bientôt ressortir dans la nuit noire, une histoire de fièvre un samedi soir...
J'en ai pour une heure de route environ. Des petites routes sans âmes qui vivent.
Ma voiture ne s'appelle pas Christine, elle n'a pas de prénom. Elle n'est pas rouge elle n'est pas sortie en 1958 des ateliers de Détroit.
Mes intentions sont bonnes et surtout... surtout : il y a quelqu'un au volant. Mais mon vrai nom n'est pas iris29 et j'ai une heure à tuer .
Et moi aussi, il m'arrive d'écouter le Boss , quand je roule la nuit ...
Même pas peur...



Commenter  J’apprécie          5210
"Christine" n'est sans doute pas le roman le plus apprécié de Stephen King. Mais en tout cas pour ma part ce roman m'a beaucoup parlé et j'ai franchement adoré.
Il est en compétition avec d'autres romans de King pour la troisième place de mes livres préférés du Maître.
Ce roman est très bien écrit. Chapitres assez courts, pas de longueurs particulières dans l'intrigue, il est bien rythmé, et il est agrémenté par quelques morceaux de Rock de l'époque en début de chaque chapitre.
Quant au personnage de Arnie, je me suis un peu d'une certaine manière identifié à lui au cours de ma lecture.

Christine n'est pas simplement une histoire écrite par Stephen King mettant en scène une simple voiture hantée. C'est un bouquin avec une histoire que j'ai vraiment beaucoup apprécié personnellement.
Commenter  J’apprécie          329
Ah… Christine, Christine, Christine !!!

Quand on lit ce livre, on sent tout de suite qu'il l'a écrit dans sa période la plus faste (c'est-à-dire années 1980, entouré d'oeuvres comme « Charlie », « Cujo » ou encore « Simetierre »).
On peut dire qu'il fait partie des « valeurs sûres » de Stephen King.

Christine est belle, racée… mais Christine est jalouse. Et c'est le moins que l'on puisse dire.
Elle est également hantée, on ne sait pas pourquoi, et c'est ça qui est génial.

Deux situations majeures du livre sont absolument fascinantes : l'évolution d'Arnie en fonction de Christine, et l'évolution de Christine en fonction d'Arnie.
C'est un couple absolument fusionnel, l'un ne peut pas vivre et avancer sans l'autre.
C'est le fil rouge de tout le bouquin qui nous tient tout le temps en haleine, pour une fin en apothéose. Une des meilleures fin que SK nous livre.

Christine ne supporte pas d'être touchée par une autre personne qu'Arnie, et ne supporte pas non plus que l'on touche à Arnie (que ce soit méchamment avec la bande à Repperton ou bien le plus gentiment du monde avec Leigh). Elle veut Arnie pour elle toute seule.

Les passages dans lesquels sont décrits les meurtres commis par Christine sont tout bonnement hallucinants et j'ai été happé par ces passages de telle sorte que j'avais un mal fou à fermer le livre jusqu'au soir, ou jusqu'au lendemain.

C'est vraiment un excellent King qui vaut la peine d'être lu et relu, et re-relu.
J'ai vraiment adoré, et il fera sûrement partie de mes relectures kingiennes.
Commenter  J’apprécie          287
C'est déjà mon 6ème Stephen KING, alors que cela fait à peine plus d'un an que j'ai découvert le maitre du suspense.
Et c'est mon deuxième coup de coeur, après Cujo.
Même si Christine est dans le registre du fantastique, au contraire de Cujo, je dois reconnaître que le maître m'a facilement entraîné dans cet univers, qui n'est pas mon genre de prédilection.
Et contrairement à d'autres de ses romans, je dois admettre qu'il n'y avait ici aucune longueur et que j'ai dévoré le récit en un temps record, comme ce fut le cas pour Cujo.
Commenter  J’apprécie          260
Quand Arnie Cunningham voit Christine pour la première fois, il sait qu'elle sera à lui. Christine, c'est une Plymouth Fury de 1958 dans un état désastreux, à peine bonne pour être vendue en pièces détachées. « Cette voiture, c'était un gag, un mauvais gag, et je ne comprendrai jamais ce qu'Arnie put lui trouver, ce jour-là. » (p. 15) Mais Arnie tient tête à ses parents et retape la voiture qui retrouve peu à peu son éclat d'antan. Et le jeune homme gagne en assurance, perd ses vilains boutons d'acné et trouve une petite amie en la personne de la jolie Leigh. Mais il y a quelque chose qui ne va pas. Dennis, le meilleur et unique ami d'Arnie le sent bien : cette voiture a une mauvaise influence sur son copain. « Acheter une vieille bagnole et quoi ? Elle vous changera la tête, votre façon de penser, et changera ainsi votre métabolisme ? Libérera votre vrai moi ? » (p. 113) Arnie change, mais pas en bien : il devient plus brusque, comme s'il était constamment en colère, exactement comme l'ancien propriétaire de Christine, Rollie LeBay qui, bien que mort, semble traîner dans les parages. Comment expliquer que les jeunes brutes qui ont démoli la voiture meurent dans des accidents étranges et atroces ? Comment expliquer l'infecte odeur qui émane de la voiture pourtant retapée à neuf ? Comment expliquer, justement, que Christine semble aussi neuve qu'au jour de sa fabrication alors qu'Arnie n'a pas vraiment les moyens d'acheter toutes les pièces de rechange ? Dennis est bien décidé à sauver son vieux copain et la petite amie de celui-ci, mais il sait bien que Christine ne se laissera pas envoyer à la casse sans se défendre.

Voilà un très bon roman de Stephen King. Dans le style bagnole maléfique, j'avais déjà beaucoup apprécié Roadmaster, voiture qui ouvrait un portail sur une dimension pas franchement rassurante. Ici, Christine est un véhicule possédé par l'esprit de son vieux propriétaire et animé par une soif de mort et de sang tout à fait glaçante. Attention, ne vous mettez pas entre elle et Arnie ! Christine est pire qu'une femme jalouse et exclusive. « Une voiture ordinaire pouvait-elle devenir le lieu de résidence d'un démon dangereux et puant ? Une maison hantée roulant sur Goodyear ? » (p. 318) La réponse est évidemment affirmative quand il s'agit d'un roman de Stephen King, et c'est délicieusement terrifiant !
Commenter  J’apprécie          240
Vroum, vroum... Montez à bord de cette vieille Plymouth Fury 1958 avec moi... À vos risques et périls !

Arnie et Dennis rentrent du boulot et croisent la route de Christine qui est affichée à vendre malgré son état lamentable. Il a suffit d'un seul regard pour qu'Arnie en tombe follement amoureux et pour que Dennis la déteste au plus haut point. Complètement obsédé par cette bagnole, Arnie décide de l'acheter envers et contre tous, il veut absolument cette voiture, la posséder... mais ne serait-ce pas plutôt Christine qui veut posséder Arnie? Rien n'est moins sûr.... Préparez-vous à une balade d'enfer ! What a ride !

Ce n'est pas qu'une histoire de voiture, je vous rassure. Ici, on testera la puissance de l'amitié. Dennis prend son rôle de meilleur ami très à coeur et il assiste presque impuissant à l'obsession tortueuse et malsaine d'Arnie envers sa bagnole. Il sera prêt à tout au nom de l'amitié pour sauver son meilleur pote des griffes métalliques de la Fury rouge cerise. Un ami c'est quelqu'un qui reste dans ta vie malgré la distance, les années, une nouvelle voiture...

Ce n'est absolument pas l'histoire la plus terrifiante née sous la plume de King mais elle reste quand même démente et macabre, un délice effrayant à consommer sans modération. L'idée d'inclure des chansons rock'n'roll populaires des années 50 est absolument géniale, l'immersion se veut encore plus totale et bim, des titres en plus sur ma playlist Spotify !

Nous sommes loin des clichés de voitures hantées et j'en suis la première étonnée. Je ne suis pas fan de bagnoles et j'avais peur de tomber dans un truc surfait, vu et revu mais non, King a toujours des surprises dans sa poche. Malgré l'année de publication, l'histoire reste intemporelle et aux goûts du jour. Je ne dis pas pour les adaptations cinématographiques mais la plume de King reste et restera à jamais l'une des plus surprenantes et puissantes lue dans ma courte vie.

Je ne suis pas une ''fan girl'' incontestable de King puisqu'il m'en reste beaucoup à découvrir et il y a plusieurs titres que je n'ai pas aimé du tout... mais Christine se glisse très haut dans mon palmarès Kingesque personnel.
Lien : https://www.facebook.com/wan..
Commenter  J’apprécie          219
Après Shining, je poursuis ma découverte des Stephen King plus ancien. Et c'est encore une fois énorme ! Elle m'a fait bien peur cette ... voiture (oui, j'ai du mal à la restreindre à une voiture). L'histoire démarre lentement, le temps est bien pris de tout poser. Parfois un peu trop lentement, car je me suis demandé quand cela allait vraiment décoller. Mais c'est pour mieux nous surprendre ! Un peu somnolent, la méfiance endormie, l'enchaînement des événements nous saisit et nous glace. Et une fois qu'elle a commencée, Christine ne nous laisse plus respirer, ou du moins reprendre notre souffle. J'étais en halène jusqu'au bout, pas rassurée par les voitures qui m'entouraient au cours de ma lecture !
Et tout cela avec une qualité de livre audio qui n'était pas la meilleure que j'ai connu! C'est dire ! Pas que le lecteur soit mauvais, non. Je parle vraiment de la qualité de l'enregistrement : on entendait parfois le lecteur reprendre on souffle ou tourner la page. Ce n'était pas très souvent, mais suffisamment agaçant tout de même.
Commenter  J’apprécie          180
Après avoir chroniqué Roadmaster et sa voiture de l'espace, Mile 81 (Le bazar des mauvais rêves) et sa bagnole mangeuse d'hommes, on continue le circuit automobile de Stephen King avec Christine.
En voiture, Simone !


Ah, Stephen King, ce grand obsédé des voitures… Avec moi qui m'en cogne comme de l'an 40, ça fait une moyenne.
Dans ses textes du XXIe siècle, la chose s'explique par son accident de 1999. Mais bien avant, il y a eu Christine en 1983. On peut même remonter un peu plus haut à Cujo et à la cascade automobile de John Smith au début de Dead Zone. Les bagnoles suivent le bonhomme depuis le début de sa carrière, pour le meilleur et pour le pire.
Si tu veux t'aventurer dans les tréfonds du pire, je te conseille Maximum Overdrive, film écrit et réalisé par l'ami Stephen lui-même, une catastrophe nanarde s'il en est. Pour le meilleur, monte à bord de la Plymouth Fury 58 rouge vif, la voiture dont on ne doit pas prononcer le nom.


Bon, le meilleur, tout le monde n'est pas d'accord là-dessus.
Faut reconnaître au roman UN gros défaut : sa construction hyper classique.
Arnie Cunningham s'enamourache de Christine, une bagnole maudite qui va petit à petit le posséder. Christine dézingue un paquet de gens avant de se faire pulvériser à son tour pour de bon… ou pas (un peu comme le méchant mort et enterré, dont la main se dresse hors de la tombe juste avant le générique de fin).
Trame pas révolutionnaire pour un sou. Galerie de personnages avec plein d'ados dedans. Univers d'épouvante classique où l'espérance est cinq fois moindre qu'IRL (parce que les ados meurent beaucoup dans les récits d'horreur…).
On roule en terrain connu, ce qui rend le déroulement de l'histoire prévisible.


Le salut, comme dans Roadmaster, vient en majeure partie du talent de conteur du père King. le gars sait raconter une histoire et parvient à te garder dans ses filets narratifs même quand tu vois où il t'emmène. Sur ce plan, je renvoie à ma chronique de Roadmaster, ça m'évitera de me répéter, ça m'évitera de me répéter, ça m'évitera de me répéter.
Second point fort : Christine, le meilleur personnage du roman. Les autres protagonistes sont des gens tout ce qu'il y a de plus normaux, souvent stéréotypés (bonne ou mauvaise chose, ça dépend, j'y reviendrai). Une voiture avec un nom, une personnalité, une histoire, des motivations… Bref, la définition canonique d'un personnage. Dans son cas, King frappe aussi fort qu'un semi-remorque lancé à fond sur une mobylette. Des années après ma première lecture, je me souvenais un peu d'Arnie, plus du tout des autres (Dennis et Leigh) mais très bien de la tuture diabolique !


Enfin, les thèmes. Et c'est là que les personnages prennent tout leur sens, qu'ils soient humains ou montés sur roue.
Christine raconte le passage à l'âge adulte : première voiture et premières amours consommées, et surtout rivalités et confrontation avec la mort (c'est pas comme si, dans la plupart des cultures depuis que le monde est monde, tu deviens adulte quand tu atteins l'âge de porter les armes).
Vu que tout le monde y passe à quelques irréductibles Peter Pan près, le choix de lycéens lambda fait sens. Comme le John Smith de Dead Zone, au nom plus neutre que la Suisse. On se retrouve tous dans Arnie, Dennis et Leigh (moi, c'était surtout Arnie, ça n'étonnera personne…).


Fin de l'enfance et de l'adolescence, fin des Trente Glorieuses aussi. Les chocs pétroliers de 1973 et 1979 ont annoncé que la routourne venait de tourner, comme dirait Ribéry (né l'année de sortie du roman, faut-il y voir un signe ?).
Christine aurait pu être une carabine, une maison bâtie sur un cimetière indien ou n'importe quel autre objet si cher au coeur des Américains. Non, il s'agit d'une voiture.
Gouffre à carburant – ce que d'aucuns appelleraient une “recrue d'essence” – mais pas que. L'histoire de Christine, on l'apprend en cours de roman, commence sur une chaîne de montage.
Et si tu mets tout ça bout à bout, tu obtiens le portrait d'une société de consommation inféodée à ses possessions.
Si le thème de “l'objet que tu possèdes finira par te posséder” n'a rien de nouveau (l'Anneau unique chez Tolkien, l'épée Stormbringer, l'or du Rhin…), il prend une autre dimension après la Seconde Guerre mondiale. Production à la chaîne en quantité infinie, consommation de masse, credo “on est ce que l'on a” vanté comme le top de la réussite… Fini le temps des héros isolés dans la fiction ou la mythologie, la malédiction s'étend à l'ensemble de la planète et des individus.
Et c'est là que réside l'horreur de l'histoire : pas dans les scènes d'épouvante du bouquin mais dans la réalité de notre monde.
Lien : https://unkapart.fr/christin..
Commenter  J’apprécie          160
C'est pour le challenge Solidaire 2022 que j'ai enfin lu un premier roman du maître du suspense et de l'horreur Stephen King.

Christine : c'est le drôle de nom qu'a donné le vieux Roland D. LeBay à son vieux tacot, une Plymouth Fury 58 rouge et blanche.
Une ruine qui va pourtant taper dans l'oeil du jeune Arnie, et qui ne sera du goût de personne d'autre : ni de ses parents, ni de son copain Dennis (narrateur de l'histoire), et encore moins de sa petite-amie Leigh.
Arnie va changer en même temps que sa voiture est retapée.
A un point inimaginable.

Dennis nous raconte l'histoire de son copain et la sienne par la même occasion, avec Christine, personnage à part entière de ce thriller effréné et haletant, dont les pages se tournent aussi vite que les kilomètres parcourus par l'objet-femme.
Le roman m'a donné envie d'en voir l'adaptation cinématographique.
Commenter  J’apprécie          144




Lecteurs (6159) Voir plus



Quiz Voir plus

Christine - Stephen KING

Christine, c'est...

une jeune fille
une mobylette
une voiture
une bicyclette

20 questions
132 lecteurs ont répondu
Thème : Christine de Stephen KingCréer un quiz sur ce livre

{* *}