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3,8

sur 2571 notes
Un des premiers romans du maître S.King mélangeant tension et horreur. Pour résumer, un gros chien à son pépère en l'occurrence un St Bernard se fait mordre par une vilaine chauve-souris qui lui transmet par la même occasion" la rage ". de ce fait, le gentil toutou devient une véritable machine à tuer canine qui dévore tout ce qu'il rencontre ayant une petite préférence tout de même pour les humains. Sans être mirobolant ce roman se lit bien car il est court et la tension est omniprésente comme quoi une trame simple ( c'est rare avec S.King ) peut suffire à notre bonheur. J'ai passé un bon moment à le lire en considérant que ce n'est pas un chef d'oeuvre mais un bon livre à suspens.
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Lorsqu'on tourne la dernière page de ce roman, on est surpris justement de l'avoir terminé !

Un Stephen King de qualité. L'histoire est fluide, le lecteur est cueilli dés les premières pages. L'auteur a cette capacité de nous faire apprécier malgré l'histoire ce chien dénommé Cujo. On sent la tension qui se diffuse page après page, lecteurs, nous sommes bien conscients que ce brave animal, l'ami de l'homme va malheureusement se transformer. Pour ma part, je n'ai pas eu peur, ou de la peur même envers le chien à la lecture de cette histoire. C'est ce fait qui est juste incroyable. Peut-être s'agit-il là aussi de notre propre perception et de notre lien avec le chien. Encore une fois, une histoire qui peut se lire avec des ressentis différents en fonction des vécus. Certainement.
J'ai été surprise par le dosage de « peur » dans ce roman...Et pourtant il s'agit bien là de la marque de fabrique de King : un subtil dosage...Pas dans l'épouvante absolue, une bonne dose de psychologie mais aussi ce petit côté inexplicable qui rend l'histoire bien particulière.
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Plus de vingt-cinq ans après, Cujo reste l'une des oeuvres majeures de Stephen King et un classique de l'épouvante.
Encore un livre qui marque à vie et amène à se poser beaucoup de questions. L'esprit de Frank Dodd possède-t-il vraiment le chien, ou bien n'est-ce que l'un des "dommages collatéraux" du virus de la rage qu'une chauve-souris aurait transmis à ce pauvre Saint-Bernard ? Ou bien encore s'agirait-il de ce monstre que Tad Trenton a cru voir dans le placard de sa chambre, et auquel il ne cesse de penser malgré les paroles rassurantes de ses parents. Bien entendu, les monstres n'existent pas, voyons, ce n'est qu'un cauchemar.
Mais nous, on sait bien que les monstres existent, on en croise tous les jours, et pas que dans nos placards. C'est juste qu'on ne sait pas que ce sont des monstres.
J'ai pleuré pour ce chien... comme dans tous les livres ou films, c'est toujours pour le chien que je pleure. Redoutable prédateur ou victime ?
À lire et à relire sans modération.
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Chaleur, oppression, terreur... J'ai refermé ce bouquin à bout de souffle malgré une mise en place de l'intrigue un tantinet trop longue .Mais bon... A chaque fois que je me présente devant le King c'est direct crochet du droit je finis à genoux à tenter de retrouver mon esprit rationnel. L'auteur fait se confondre réalité et fantastique, ou comment un chien enragé devient un monstre sanguinaire quasi sadique. Comme toujours les personnages sont à la hauteur et le King, sous couvert d'une histoire à priori simple, referme son piège et nous happe, oui nous pauvres lecteurs. le huis clos entre Donna et Cujo dans la fournaise de la cour d'un garage paumé constitue le point d'orgue épouvantable de cette histoire. On dit que le diable se cache dans les détails alors c'est cette accumulation de détails qui va mener Donna et son fils au porte de l'enfer. Un enfer ou le gardien Cujo règne en maître.
Terriblement efficace
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Enfin un King que j'apprécie !
Jusque là plutôt déçue par notamment Shining, ou même l'un des derniers Après, Cujo est une merveille.

On y suit principalement deux familles dans les années 80.
Les Trenton, Vic et Donna, avec leur fils de quatre ans, Taddy, un petit garçon faisant beaucoup de cauchemars et voyant des monstres dans son placard (on passe tous par cette période là non ?!).
Et les Camber, Joe et Charity, avec leur fils de dix ans Brett, ainsi que Cujo, bien sûr, leur chien, un gros Saint-Bernard de 100 kilos, adorable.
Jusqu'à ce qu'il se fasse mordre par une chauve-souris en chassant un lapin.
On suit la maladie envenimer son cerveau, avec tristesse, lui-même ne comprend pas ses réactions de plus en plus agressives, il veut rester le chien gentil et aimant qu'il est - était.
La rage, un véritable fléau.

C'est un roman d'horreur, évidemment, mais le fait de suivre chaque couple battant de l'aile, essayant malgré tout de trouver des solutions, avec leurs problèmes d'argent, on s'y retrouve un peu...
Ce n'est pas QUE un livre d'horreur.
Il est complet, très bien ficelé, j'ai adoré cette lecture.
Juste quelques passages parfois longuets quand il s'agit du métier de Vic, avec son associé Roger, leurs problèmes publicitaires...

La fin m'a choquée, vraiment, je ne m'y attendais pas, c'est dur !
Mon coeur de Maman a été mis à rude épreuve.
Au final, Stephen King nous fait prendre une direction avec Frank Dodd, qui n'est pas forcément la bonne, même si le doute fantomatique reste présent, un coup de maître !
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Cujo est un adorable bestiau de 100kg qui adore le monde et surtout les enfants. D'un tempérament joueur malgré sa masse, il court après un lapin qui va se cacher dans un trou donnant sur une grotte souterraine.
Le Saint Bernard fonce gueule la première dans le trou et aboie de frustration voyant le lapin lui échapper. le souci c'est que cette grotte abrite des chauves- souris porteuses de la rage, étant effrayées elles cherchent la sortie qu'elles ne trouvent pas et une d'elles, va mordre le museau du chien.
Les jours passent, la rage fait son oeuvre rendant Cujo fou et agressif.

Un film que j'ai vu dans les années 90 qui m'a laissé un bon souvenir. Malheureusement, si en règle générale on trouve les livres meilleurs que leurs adaptations Tv, là il en va du contraire.
Une bonne déception en ce qui me concerne.
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Cela faisait des années que j'avais abandonné la lecture des romans de Stephen King, trop horribles et anxiogènes pour moi. Je n'ai jamais pu oublier le visage terrifiant de Jack Nicholson dans l'adaptation cinématographique de The Shining.
Par un concours de circonstances, Cujo a atterri dans ma bibliothèque. Comme j'ai grandi depuis mes premières frayeurs et que cet opus-là est plutôt moins épais que les autres, j'ai décidé de tenter à nouveau l'expérience, tout en tenant le livre à bout de bras, des fois qu'un esprit maléfique s'avise d'en sortir et de m'agresser.
Maître de l'épouvante, on l'a dit et redit, Stephen King sait créer une atmosphère terrifiante. Cujo n'échappe pas à la règle, d'autant plus que les victimes potentielles sont un garçonnet de quatre ans, Tad Trenton, et sa mère, Donna.
Si ma mémoire est bonne, l'auteur aime mêler épouvante et paranormal. Cet opus suit donc cette recette.
Cujo est un gros (mais gentil) Saint-Bernard qui va se transformer en monstre, suite à une morsure de chauve-souris (précisons pour couronner le tout que je l'ai lu en temps de coronavirus!). L'atmosphère était déjà un peu tendue car ,depuis le début du roman, le jeune Tad était terrifié: en effet, il disait à ses parents qu'il y avait un monstre dans son placard (syndrome assez courant chez les jeunes enfants). Ceux-ci essayaient de le tranquilliser en affirmant que les monstres n'existaient pas. Ah!!! grossière erreur.... Je vous rassure, j'ai survécu à cette lecture..... de jour..... pas question pour moi de lire Cujo avant d'aller me coucher. Et vous, vous allez tenter l'expérience?
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Voici qui confirme mon appartenance au monde de SK.
En bonne fan de Stephen King, j'ai littéralement dévoré ce livre en quelques jours. Et si je n'avais pas été amenée à vivre une vie normale, j'aurais lu d'une traite ce livre terrifiant.
D'autant plus terrifiant que, pour une fois, les événements qui se déroulent dans cette histoire pourraient en réalité tous se produire. Exit le surnaturel bonjour la froide et impitoyable réalité.

Apparemment, Stephen King a écrit ce roman au plus fort de son alcoolisme, et ne se souvient même pas l'avoir réalisé. de mon côté, je n'ai pas déceler d'erreurs majeures si ce n'est l'absence d'irréel dans l'écrit. Peut-être noterons-nous qu'il n'y a pas de chapitres, pas de pauses, il n'y a même pas beaucoup de temps pour respirer lorsque vous êtes aspiré dans le paragraphe suivant. Un rythme très différent des autres oeuvres de King.

Cujo, en bref, parle d'un saint Bernard qui, à cause d'une rencontre avec une chauve souris porteuse de virus, devient enragé.
A cet événement, viennent se greffer des intrigues secondaires, incroyablement bien organisées jusqu'à la fin difficilement acceptable mais terriblement réelle .
Connaissant l'auteur, je m'attendais à du gore, mais en fait, c'est l'affect physiologique dont King est finalement le grand maître dans cette oeuvre.
Il vous fera passer de l'humain à l'animal, dans les comportements et dans les pensées sans que vous trouviez cela étrange ou dérangeant.
Seule la température décrite dans le livre pourrait vous mettre à mal, cela et la fin si peu convenue. Un gros twist inimaginable.

Une lecture qui m'a vraiment passionnée et n'a pourtant en rien affecté mon amour des chiens et surtout des gros chiens.
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Encore un chef d'oeuvre de Stephen King, Cujo. J'avais entendu dire que c'était en excellent livre et en effet.
Une histoire tellement originale, un chien gros calibre qui a la rage et qui tue tout sur son passage, il y a que Stephen King pour avoir de telles idées.
Le suspense à chaques tournée de pages, les détails sur les personnages, anecdotes qui ne sont pas essentielles pour l'histoire mais qui sont intéressantes à lire.
Ce livre est dans le top 5 des préférés de cet auteur.
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Une alternative aux rediffusions à la télévision des films Beethoven (le chien, pas le compositeur !), au moment des fêtes de fin d'année ? Relire le roman Cujo de Stephen King. Verdict : j'ai passé un très bon moment en redécouvrant ce livre.

Stephen King prend le temps de poser le décor. Castle Rock, charmante petite ville du Maine. Nous allons à la rencontre de ses habitants, plus précisément de la famille Camber et de la famille Trenton. Chez les Camber, il y a le père Joe, plutôt rustre, la mère Charity, le fils Brett, 10 ans et le chien Cujo, un énorme saint-bernard. La seconde famille est constituée de Vic, le père, Donna, la mère (qui a eu une liaison avec un autre homme) et de leur fils Tadd 5 ans. Joe tient un garage et Donna a des soucis avec sa voiture (détail important pour la suite de l'histoire). Un jour, alors que Cujo courrait après un lapin, le chien tombe dans un trou, se retrouve dans une grotte avec des chauves-souris, et il se fait mordre. Morsure, rage. Sous l'action du virus, Cujo se mue en véritable machine à tuer.

J'aime beaucoup ce roman pour plusieurs raisons. D'abord, la genèse de l'oeuvre. Une simple anecdote, Stephen se rend chez le garagiste qui a un chien, un saint-bernard. le chien (un peu trop affectueux ou joueur ?) bondit sur l'écrivain, et ensuite… Stephen écrit ce roman ! Je me suis beaucoup attachée à certains personnages, je pense aux enfants Brett et Tadd. Il y a aussi Cujo, c'est également une victime : au départ c'était un bon chien ; le virus le rend malade, le fait souffrir, et il devient dangereux. La tension monte graduellement, c'est assez calme au début de l'histoire .
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