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3,8

sur 2570 notes
encore un stephen king c'est parti.

oui je sais que Misery devait être la prochaine critique sur Stephen King mais que voulez vous, la boulimie des livres m'a fait acheté cujo avant

ce n'est pas un coup de coeur que je vais critiquer mais un sacré morceau que j'ai beaucoup aimé.

l'horreur est bien présente mêlant réel et fiction une des caractéristique savoureuses de King. La fin est prévisible mais le déroulement est intense , angoissant et fantastique.

les personnages sont très bien introduit et reste intéressants tout du long et on ne s'ennui jamais.

je le recommande vivement et je vais continuer a le découvrir avec grand plaisir

le prochain sur la liste ( normalement) misery
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D'abord je dois avouer que « je suis plus chat que chien », je préfère les câlins félins (même si je sais qu'il y a des griffes !) aux léchouilles baveuses d'un clébard. Ensuite je vous dirai que j'ai lu ce roman dans le cadre d'un challenge « Sortir de sa zone de confort ». Ordinairement je ne suis pas enclin à relever les défis de lecture, considérant celle-ci comme un plaisir, ou en tous les cas comme une activité agréable, et non comme une performance. Mais souvent dans l'idée du challenge il y a aussi l'esprit du jeu ... Et là c'est plus dur pour moi de résister ! Or donc je me suis lancé dans ce roman du « King » de l'horreur & du thriller. Je n'ai pas été déçu par l'écriture*, la description psychologique des personnages et de leurs vies - l'American way of life - ... Pas non plus déçu par la construction du scénario ; La montée crescendo de l'angoisse (relative), bien qu'il y ait des longueurs au début et que le roman soit sans chapitre, comme un bloc. le dernier tiers du bouquin est de bien meilleure facture*, mais j'ai peut-être été long à rentrer dans l'histoire. Paradoxalement, se sont les scènes horrifiques qui m'ont déçu, pas assez dynamiques, pas suffisamment « prenantes », trop prévisibles, bref je m'attendais à mieux sur cet aspect là ; un doberman enragé, ça, ça aurait eu de la gueule, au lieu de ce lourdaud de Saint-Bernard ! Finalement je n'ai pas eu d'effroi. Mes deux grandes questions étaient ; Pourquoi les amateurs du genre aiment tant se faire peur ? Et est-ce que j'arriverai à m'endormir tranquillement ? Pour la seconde, pas de problème, pour la première je n'ai toujours pas de réponse satisfaisante. Lirais-je d'autres titres de Stephen King ? Possible, mais pas tout de suite. Allez, salut.
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Encore une histoire où tout commence avec une chauve souris porteuse d'un virus! Ça ne vous rappelle pas quelque chose? Quel précurseur ce King! Ici la première victime est Cujo, cet adorable Saint Bernard de pas moins de 100 kg et le virus est connu, c'est la rage.

Je pensais d'abord que ce roman allait tourner autour de ce chien. Mais non, il n'a qu'une figure de personnage secondaire. Et pourtant sans lui, il n'y aurait pas d'histoire. Une fois le virus inoculé, l'histoire se redirige sur le quotidien des Trenton (père, mère et fiston Tad, un amour ce petit) et des Camber (idem, père, mère et Brett, fiston qui est plus âgé que Tad). Je ne vous en révélerais pas plus pour ne pas spoiler l'histoire. Juste que c'est une histoire publiée en 1981 qui n'a pas perdu de son peps. Je me suis juste dit qu'aujourd'hui une telle situation ne pourrait plus se reproduire sauf si on oublie son téléphone portable.

Les thèmes abordés là sont l'infidélité, le sauvetage d'une boîte de pub, l'alcoolisme (récurrent chez King me direz vous), les violences conjugales. J'y ai aussi senti ce qui fait l'oeuvre du King : le destin, le bien et le mal dans une moindre mesure et aussi cette pesanteur si particulière dans son écriture, une ombre qui guette.

Cela me rappelle ma lecture de Simetierre par rapport au parallèle chat/chien. En revanche, Simetierre m'avait beaucoup plus terrifié que Cujo. le chat me paraissait plus maléfique que ce chien qui finalement était une bonne pâte.

Pas ma meilleure lecture de Stephen mais je ne regrette pas de l'avoir lu car il est tout de même bon. Je suis toujours emballée par sa bibliographie et la bonne nouvelle est qu'il me reste encore beaucoup de ses livres dans ma PAL!
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Castle Rock - USA - un chien Saint-Bernard enragé - son nom : CUJO !
Décidément, Castle Rock est maintenant connu puisque quelques années plus tard un étrange magasin, un Bazaar, va ouvrir ses portes et une fois de plus, la petite ville Américaine va se retrouver en sang !
Concernant ce roman, Cujo, de Stephen King, j'ai un avis très mitigé et on va dire que je ne me suis pas régaler comme d'habitude avec le maître du suspense.
Je me suis prise d'affection pour ce pauvre chien, qui, délaissé, va tomber malade suite à une morsure d'une chauve souris. Et, je me suis mise dans la tête que si il avait eu des maîtres plus responsables, on aurait pu éviter la catastrophe ! Oui, je l'avoue j'ai une extrême sensibilité concernant les animaux ...
De même, l'histoire des personnages et surtout des familles ne m'ont pas interpellée et je ne me suis pas attachée ni à l'un, ni à l'autre ... sauf à Cujo !
Je suis finalement contente d'avoir terminé ce roman qui ne va pas me laisser un souvenir mémorable contrairement à d'autres oeuvres du Monsieur King.
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Cujo reste toujours une des oeuvres majeures de Stephen King, et un classique de l'épouvante, bien que Publié il y a vingt-cinq ans.

Durant les 3/4 du livre, il ne se passe rien. On assiste aux déboires sentimentaux et professionnels de deux petites familles dans le Maine.

Brett et ses parents, leur voisin Vic Trenton et sa femme Donna, Tad, leur petit garçon, en proie depuis des semaines à des terreurs nocturnes : tous vont être précipités dans un véritable typhon d'épouvante, un cauchemar nommé Cujo… ce saint-bernard de cent kilos, le meilleur ami de Brett Camber, qui a dix ans.
Un jour, Cujo chasse un lapin qui se réfugie dans une sorte de petite grotte souterraine habitée par des chauves-souris et là voilà l'histoire de Cujo…..

Mais comme toujours avec Stephen King, la tension monte crescendo avant le final grandiose.

Et si par un pur hasard un chien vous approche avec un regard mauvais et la bave aux babines, fuyez.

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Pour moi, Cujo, c'était juste un chien enragé qui attaquait une famille sur la route des vacances. Cujo, c'était le livre que Stephen King ne se souvenait même pas avoir écrit à cause des excès. Je m'attendais donc à quelque chose de plutôt moyen, voire médiocre. Mais c'est en entamant ma lecture que je me suis rendu compte que Cujo, c'est bien plus que ça. D'abord, l'état de Stephen King ne se ressant absolument pas ; les phrases sont de la même qualité que d'habitude et le scénario est très construit. Ensuite, Cujo est le chien le plus adorable de la Terre, on apprend à l'apprécier avant son changement de comportement dû à la rage. Cujo, c'est l'histoire de deux familles au bord de la rupture dont les destins s'entremêlent. C'est deux mères prêtes à tout pour leur enfant, c'est une entreprise à sauver, c'est énormément de choses et beaucoup de thèmes abordés. Bref Cujo, c'est un excellent Stephen King.
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C'est l'histoire de Tad Trenton, qui une nuit de mai a cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre...C'est aussi l'histoire de Cujo, la force tranquille, un saint-bernard de 100kg, qui un beau matin de juin de cette même année est mordu par une chauve-souris... Et là, ça par en cacahuètes.

J'avais déjà lu ce roman, il y a plus de 20 ans, j'étais au lycée, je me souvenais l'avoir adoré, je me souvenais de l'idée mais plus de l'histoire. Je l'ai redécouvert avec ma sensibilité de quadra( oui oui je suis fraîche mais j'ai 40 ans...) et le suspens était là. Comme la première fois.

Ce bouquin est addictif, l'ambiance monte crescendo
. Il débute tranquillement, comme d'habitude avec King et puis l'histoire décolle et c'est tout simplement dingue. Les personnages sont très bien présentés et on s'attache très vite a certains d'entre eux, j'ai adoré Donna. Une famille qui vit la violence, une autre pour qui c'est l'infidélité et Cujo, ce chien qui va tous remettre en question.

Ce livre nous glace le sang et la réputation de King n'est encore une fois plus a démontrer. C'est du génie !
COUP DE COEUR
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Sortir de vieux livres de sa pal a du bon, et j'espère marquer des points dans mon challenge avec cette vieillerie éditée en 1982. Car moi qui ai peur des gros chiens, je viens de faire connaissance avec Cujo, un gros Saint-Bernard de 100kg qui m'a vaccinée a jamais contre l'idée d'adopter un chien.

Et si le Saint-Bernard a la réputation de sauver le monde, entre les mains de Stephen King, il n'a sauvé ni le monde, ni personne. Car après s'être fait mordre le museau par une chauve souris porteuse de la rage, Il est devenu un monstre sanguinaire et un serial killer !

Tout se passe à Castel Rock, une petite bourgade où vient de s'installer une famille venue chercher le calme de la vie campagnarde. le couple est en crise et leur fils de 4 ans voit un monstre dans son placard. Et puis il y a la famille Camber, lui est mécano et alcoolique, elle femme au foyer sous l'emprise de son mari, et Brett leur fils de 10 ans a pour meilleur ami un chien qui s'appelle Cujo….

Stephen King nous fait pénétrer dans le quotidien et l'intimité de ses personnages pour nous les présenter.
Et si on rajoute une canicule d'enfer au climat anxiogène qui règne au sein de ces foyers, on commence à manquer d'air et à redouter ce qu'on va découvrir dans les pages suivantes, sans pour autant s'arrêter de les tourner…

D'après l'éditeur, Cujo est un roman culte dans la bibliographie du King. N'étant pas une adepte de ce genre littéraire, je comprends néanmoins pourquoi ses fans attendent la sortie de ses romans avec impatience. Tout est fait dans l'écriture pour attiser progressivement la peur, et ça va crescendo jusqu'à ce que notre palpitant s'emballe et qu'on manque cruellement d'air !

Mon conseil : à ne pas lire avant d'aller se coucher !
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Dans le cadre du challenge #piochedansmapal de juin 2022 #myriam3 m'as choisis ce livre - Également pour #lanuitduhasard pour le mois de Mars 2023 le numéro 5 as été tirée au sort et il correspondait à ce livre - Ravie de retrouver cet auteur que j'aime tant.
En fait, tout commença le matin du 16 juin, lorsque Cujo, un saint-bernard aussi impressionnant que débonnaire, se fit mordre par une chauve-souris. Mais au fond, cela avait peut-être commencé dès le mois de mai, lorsque Tad Trenton avait cru voir un monstre, dans le placard de sa chambre...
Ce que j'ai aimé, c'est d'abord le contraste, on fait connaissance avec un gros chien : Cujo plutôt gentil et peu à peu les pages se tournent, le bel animal se transforme en un monstre.
L'action monte crescendo et l'addiction est vraiment incroyable, j'étais complétement prise dans cette situation et dès ce moment, je n'ai pu lâcher ce livre.
Plusieurs histoires entremêlent, c'est aussi intéressant, une famille qui vit la violence, une autre qui vivent l'infidélité et au milieu de tout cela, un chien qui va tous remettre en question.
J'ai adoré ce livre, et pourtant au début cela commence tranquillement, mais ensuite, c'est réellement étonnant la force de cette histoire.
Comme d'habitude, les personnages sont bien travaillés et les ramifications sont très bien faites et on s'attache très vite aux protagonistes.
Il y a de l'horreur, mais c'est une situation qui pourrait arriver à chacun d'entre nous, cela m'a fait penser à ma fille qui toute petite et même adulte adorait aller caresser les gros chiens, cela m'a fait froid dans le dos.
Ce livre que peut vous glacer le sang, mais on aime éprouver ce genre d'émotions en lisant ce texte, moi, c'est ce que je recherche dans mes lectures.
Et là encore, cet auteur que je place à la première place me pousse à dire que c'est vraiment le maitre de l'horreur.
Merci beaucoup à Myriam de m'avoir choisi ce titre, je me suis régalée.
Lien : https://nathlivres.webnode.f..
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Qu'il est doué Stephen King lorsqu'il ne fait pas du…Stephen King !
Ce récit, dont l'horreur repose sur la créature la plus attachante qui soit pour l'homme – un brave chien ! –, est une leçon d'angoisse.
Ici, pas de débauche fantastique : juste une histoire avec des Monsieur et Madame Tout-le-Monde, qu'une morsure de chauve-souris va plonger dans une atmosphère de terreur pure.
La longue séquence où une mère et son fils se retrouvent prisonniers dans une voiture assaillie par l'animal enragé, sous une chaleur de plomb, est à ce point réussie qu'on se surprend à transpirer et avoir soif ! Idem pour la voix intérieure de l'animal qui sombre dans une paranoïa sans retour, le cerveau lentement grillé par le virus.
Autant de raisons qui font de Cujo non pas un livre à grand spectacle, mais un roman exceptionnellement étouffant.
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