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3,49

sur 976 notes
Le meilleur cru de cette année 2001 pour Stephen King qui nous livre avec Dreamcatcher (l'attrape-rêves) un roman noir véritablement fantastique. L'histoire de ces quatre jeunes totalement délirante fantastique nous tient en haleine de bout en bout.
Adapté au grand écran, qui même à grand renforts d'effets spéciaux a rencontré peu de succès par Lawrence Kasdan sous le titre "Dreamcatcher, l'attrape-rêves"
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Beaver, Jonesy, Pete et Henry sont amis depuis leur enfance à Derry, Maine.
Maintenant adultes ils ont maintenu la tradition de se rendre tous les automnes dans un chalet perdu pour chasser. Cet automne là sera en tous points différents !
Entre plongée dans leur passé et rencontres improbables ils vont vivre la plus dingue des parties de chasse!!
J'ai eu du mal à rentrer dans ce pavé... l'histoire est longue a se mettre en place avec de nombreux flashbacks, où voulait-il en venir et en quoi ces banales histoires enfantines étaient en rapport avec le présent ??? Puis tout s'imbrique, la course est lancée et les pages se tournent toutes seules !!!
Un excellent King ! Et rien que ça ça fait plaisir vu que bcp m'ont déçus ces dernières années ! de quoi lui redonner une autre chance bientôt mais avec un vieux encore une fois !

Vous l'avez lu ? Aimé ??Beaver, Jonesy, Pete et Henry sont amis depuis leur enfance à Derry, Maine.
Maintenant adultes ils ont maintenu la tradition de se rendre tous les automnes dans un chalet perdu pour chasser. Cet automne là sera en tous points différents !
Entre plongée dans leur passé et rencontres improbables ils vont vivre la plus dingue des parties de chasse!!
J'ai eu du mal à rentrer dans ce pavé... l'histoire est longue a se mettre en place avec de nombreux flashbacks, où voulait-il en venir et en quoi ces banales histoires enfantines étaient en rapport avec le présent ??? Puis tout s'imbrique, la course est lancée et les pages se tournent toutes seules !!!
Un excellent King ! Et rien que ça ça fait plaisir vu que bcp m'ont déçus ces dernières années ! de quoi lui redonner une autre chance bientôt mais avec un vieux encore une fois !

Vous l'avez lu ? Aimé ??
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J'Ai trouvé l'histoire très originale, j'ai vu le film également, les deux très bien (Pouce levé) Stephen King est un maître du Fantastique et de l'horreur. Dreamcatcher (L'attrape-rêve) est écrit avec une note d'humour et de cash, ce qui rend la lecture agréable, même pour le côté fiction horrifique de cette histoire.
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Ce n'est pas sans mal que je suis arrivé au bout de ce roman, mais j'incriminerai le lecteur plutôt que le livre lui-même. King a ses habitués (dans mon genre), qui parfois ont contracté de mauvaises habitudes de facilité et de paresse en fréquentant ses narrations traditionnellement construites. "Dreamcatcher" nous prend à rebrousse-poil, car c'est le roman le plus travaillé, le plus abouti, le mieux composé, avec le plus de complexité, que je connaisse de cet auteur. Passé et présent s'interpénètrent, dans la conscience non pas d'un, mais de cinq personnages formant un héros collectif sans perdre leur savoureuse individualité. D'autre part, l'argument, celui d'une invasion extraterrestre, peut lancer l'habitué sur une fausse piste, s'il a pratiqué et aimé les Tommyknockers : on trouvera des réminiscences de ce beau roman dans "Dreamcatcher", mais il conviendra de bien mesurer le chemin parcouru et les profondes différences entre les deux récits, même si dans les deux cas, les extraterrestres sont profondément maléfiques, et si les calamiteuses forces de l'ordre, "la police de Dallas" comme dit un des personnages, ne sont qu'une menace dans les Tommyknockers et une présence réelle et perturbatrice dans "Dreamcatcher". Ce roman labyrinthique, qui par moments se souvient de certains thèmes de Philip K. Dick, est un des plus originaux que je connaisse de la plume de Stephen King.
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Plus aucun besoin de présenter Stephen King, n°1 de la littérature d'horreur et de science-fiction et personnellement mon auteur préféré. Un style inimitable, une oeuvre dont la prolificité n'a d'égal que son imagination, dont les limites ne sont pas encore connues tant elles sont vastes et repoussées à chaque tout de force de l'auteur. Horreur et psychologie, anxiété et captation du lecteur, suspens et mysticisme, King fait preuve d'un véritable travail d'alchimiste dans l'écriture de toute sa bibliographie, très rarement décevant.

Dreamcatcher... le capteur de rêves... Un objet ojibwé, censé éloigner les mauvais rêves de l'esprit de son détenteur, conservant les belles images de son sommeil et en chasser les plus mauvaises, néfastes...
Ainsi, par la tradition King, le maître de l'horreur parvient, à partir d'un objet si banal, à construire une histoire effrayante, glauque, malsaine et déroutante. Autour des histoires de pets bruyants et odorants, de rots l'étant tout autant, des fouines sortant du colon de leurs hôtes... On sort des deux premiers chapitres nauséeux et tant effarés que l'on rechigne à ouvrir le livre pour le continuer (histoire vraie concernant votre humble chroniqueur) ; le reste du livre se lit plus ou moins normalement, sans autre malaise de lecture, avec les aventures d'un personnages livrant une lutte contre son propre subconscient, face à une intelligence extraterrestre s'étant emparée de son corps, et de la poursuite par un colonel Kurtz à la limite de la psychopathie de son bras-droit, désobéissant, en quête d'héroïsme.
L'enfance et ses turpitudes, la violence, l'alcoolisme, la critique de l'Amérique, la pauvreté... Tant de thèmes de prédilection de Stephen King, que Dreamcatcher retranscrit à merveille tout au long de ses pages captivantes. Un vrai bonheur, au-delà de l'effroi que ce roman nous inspire.
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Une déception, la lecture de ce livre a été une torture vu que je m'efforce toujours de terminer un livre que je commence mais là ... L'adaptation ciné est du même niveau, une erreur de parcours pour King que je lui pardonne bien sûr ! Ce qui est étrange avec l'écriture de King, c'est que je garde encore encore en mémoire quelques passages particulièrement oppressants du livre.
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Dreamcatcher est l'un des romans de Stephen King les moins aimés des lecteurs, de ce que j'ai vu dans les avis, de même pour le film qui a un côté plus action (avec un hélicoptère).

Personnellement, j'ai bien aimé. Ce n'est pas un coup de coeur, mais j'ai apprécié.

J'avais d'abord découvert le film et je voulais savoir ce que ça donnait en livre. On y retrouve les thèmes chers à l'auteur : l'amitié, l'enfance, un don particulier et un combat mental. Cette fois, on ne se retrouve pas dans l'ambiance estivale de Ça, embrumée de Brume (sans blague), mais enneigée du Maine hivernal. le roman a moins d'action, mais je l'ai trouvé moins ridicule dans la présentation de l'antagoniste (pareil pour les Tommyknockers qui n'auraient pas dû être montrés à l'écran vu l'aspect qui leur a été donné).

Le roman ne m'a donc pas paru si horrible que les avis le disent, il y a même une grosse référence que j'ai adoré lire. Par contre, je suis d'accord sur un point : les longueurs. Il y a une course-poursuite qui dure 200 pages, si mes souvenirs sont bons, en tout cas, sur le moment, ça m'a paru long, mais looooooong ! Ça étirait trop l'intrigue, et j'avais hâte que ça se termine même si je comprends que le but était de présenter le point de vue de chaque personnage, mais quand même...

Je ne sais pas si je dois recommander le roman vu sa réputation, et surtout après avoir parlé de la course-poursuite qui pourrait faire un tome à elle toute seule, mais personnellement je n'ai pas eu le même ressenti que tous les fans déçus, donc je m'estime chanceuse.
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Comme d'habitude avec le King, au début on nous met dans le bain, dans une bonne ambiance montagneuse et neigeuse et progressivement, l'histoire se développe. Mais le roman est vraiment trop long, même si on ne s'ennuie pas puisqu'il se passe des choses.
Lien : https://mellecupofteabouquin..
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pfffffff.....et les martiens s'invitèrent dans l'homme.....quel meilleur moyen qu'un peu de scatologie pour faire plus profondément connaissance, n'est-ce pas?
définitivement, NON!
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Pete, Henry, Jonesy et Beaver font des prouts dans une cabane au fond des bois. Ces quatre garçons dans le vent vont se trouver confrontés à une menace extraterrestre…
Bienvenue dans Dreamcatcher, une histoire qui prend aux tripes. À sa façon particulière…


Après un grave accident qui a failli l'envoyer ad patres, l'increvable Stephen King passe sa convalescence à pondre Dreamcatcher. Pas une bonne idée, il aurait mieux fait de se reposer – ce qui est le but d'une convalescence, dommage d'avoir perdu ce détail de vue. La douleur (dont King parle dans ses remerciements en fin d'ouvrage) et les antidouleurs (dont il ne dit pas un mot) ont pesé de façon perceptible sur l'écriture de ce roman. Certains passages hors sol, où les personnages rêvent pour ne pas dire qu'ils délirent à plein tube, sentent bon les opioïdes. Alors, Stevie, je lui jette pas la pierre, parce que je sais ce que c'est, étant moi-même sujet à des douleurs lombaires chroniques assez aiguës pour devoir taper dans le haut de la pharmacopée, bien au-dessus du gentil paracétamol. Par contre, son erreur, c'est d'avoir voulu aller contre la douleur et les médocs, sans avoir l'humilité de reconnaître que quand on est défoncé, on peut pas bosser, en tout cas pas bien.
Voilà ce qui arrive quand on pèche par orgueil, on accouche de Dreamcatcher. Et Dreamcatcher, il est tout pourri comme livre. Et le film aussi d'ailleurs.


Près de 900 pages en poche, dont une grosse moitié pourrait dégager sans qu'on y perde quoi que ce soit.
Le démarrage est long, au-delà de toute mesure, d'autant plus qu'il ne sert à rien. Une info, dans un roman, doit être utile. Elle doit nourrir le texte, apporter quelque chose à l'intrigue, aux personnages, à l'univers et/ou à l'ambiance. Sinon elle n'a pas lieu d'être. Aussi simple que ça.
Or, ici, King tire à la ligne. Il met en scène une bande de quatre potes d'enfance lors de leur partie de chasse annuelle. le premier tiers du roman va consister pour l'essentiel à nous déballer leur biographie dont la plupart des éléments n'ont aucune utilité. Ça ne sert à rien de pondre des chapitres entiers de détails censés construire les personnages et leurs relations si en contrepartie tu perds l'intérêt du lecteur, assommé par la quantité d'informations, surtout quand ces dernières relèvent en majorité du hors-sujet. Prendre son temps pour installer ses protagonistes, créer une attente chez le lecteur en différant le moment où tu entres dans ton sujet, ces procédés ne fonctionnent que jusqu'au moment où le lecteur se demande : “quand est-ce que ça va démarrer ?” et là, ça doit démarrer, dès le mot suivant. Pas cent cinquante pages plus tard.
Tout ce blabla introductif interminable a d'autant moins de raison d'être que King nous ressort une tambouille qu'on connaît : la bande de copains, le rapport à l'enfance, le secret qui les lie et qu'ils traînent depuis des années, les forêts du Maine, les allusions aux autres oeuvres de l'univers étendu de Stevie… du déjà vu délayé et étiré à l'envi.


Les deux tiers suivants souffriront du même travers logorrhéique. Les personnages rêvent beaucoup, souvent, ils passent aussi beaucoup de temps enfermés dans leur propre tête. Avec pour résultat des envolées oniriques sous acide, des passages à la fois imbitables, ennuyeux, inintéressants, inutiles… On sent bien l'influence des médocs sur l'écriture. Et encore, c'est presque pas la faute de King. La vraie question est surtout : pourquoi son éditeur n'a réalisé aucune direction littéraire sur le texte ? Ouais bon, il aurait fallu retravailler la totalité du manuscrit, mais ça n'empêche, c'est son boulot d'éditeur. Après, c'est sûr, pourquoi se casser la tête quand on sait que le bouquin se vendra sur le seul nom de l'auteur, peu importe qu'il soit bon ou mauvais ?
Sauf que c'est pas avec ce genre de raisonnement que tu gagnes des nouveaux lecteurs et tu risques même d'en perdre d'anciens à force de te laisser pousser un poil dans la main à faire pâlir Raiponce de jalousie. Perso, les King, avant les années 2000, je les achetais et lisais tous. Passé quelques déceptions (Dreamcatcher, justement, Cellulaire, Peur bleue…), j'ai arrêté les frais. Sur l'ensemble de ses titres publiés ces vingt dernières années, la moitié, je les ai pas, et la moitié que j'ai, c'est pour l'essentiel des bouquins qu'on m'a offerts (et sur lesquels je ne me suis pas précipité pour les lire). Ite missa est.


À part raconter la vie de ses protagonistes, Dreamcatcher essaye (et loupe le coche) de t'embarquer dans une histoire d'invasion extraterrestre. Après le fleuve des Tommyknockers, est-ce que King avait encore besoin d'écrire sur le sujet, pas sûr.
Ces aliens présentent une particularité, censée constituer le sel du roman pour se borner à n'en être que les selles. Plutôt qu'une infection à base de morsure, piqûre, ingestion ou fécondation, ils se glissent dans ton cul. Cette infestation comme on n'en croise pas tous les jours donne lieu à d'incroyables et pléthoriques séances de pets. On n'avait pas vu ça depuis La soupe aux choux. Et ça ne manquait à personne.
Dreamcatcher relèverait de la comédie ou de la parodie, on se dirait pourquoi pas. On sait les Américains friands d'humour pétomane et scatologique, omniprésent dans les teen movies (American Pie, Sex Acadmy, American Party…). Moi, la scatologie, je suis bon client. Pour peu que ce soit bien fait (i.e. certains passages de Voyage au bout de la nuit et Mort à crédit). Là, on a juste droit à des gros prouts qui sentent très, très fort. À tous les niveaux, ce roman pue du cul. C'est même marqué dedans.
Ce détail mis à part, les extraterrestres de Dreamcatcher n'ont rien de spécial. D'énièmes vilains aliens lancés dans une énième invasion de la Terre.
Leur méthode peu commune pour prendre leurs quartiers chez leur hôte pourrait être exploitée au-delà du pipi-caca-prout. Elle ne le sera pas, ne restant qu'au stade de l'anecdotique et du pittoresque. Pourtant, avec quatre bonshommes, entre mecs, à la chasse, soit un contexte plein de testostérone, un creusement thématique pouvait être développé autour de la virilité et du rapport des hommes à leur trou du cul, ce sacro-saint sanctuaire impénétrable sous peine d'y laisser son identité masculine. Y avait de quoi dire sur l'angoisse masculine de la pénétration anale qui te ravalerait au rang de sous-homme, héritée d'une éducation de genre qui n'a aucun sens, une pure construction culturelle foireuse. Alors non, à la place on aura des concours de pets. Des hommes, des vrais. Un auteur, un bon. Ou pas…


Pas grand-chose à sauver de cette histoire d'alien qui abonde en scènes téléphonées. La version rectale D E.T. veut infester la zone à grande échelle en se répandant dans un réservoir d'eau. La méthode se tient, même si pas originale. À partir de là, course poursuite pour savoir si les méchants atteindront leur but, si les gentils parviendront à les arrêter. Enjeux vus et revus… Y arrivera, y arrivera pas ? Suspens qui n'en est pas un, on se doute bien que la Terre sera sauvée in extremis, comme à chaque fois. Là-dessus, habituelle course contre la montre pour savoir si l'hôte survivra assez longtemps pour que son locataire atteigne l'objectif. Tout aussi habituelle, la lutte mentale entre l'infecté et son parasite qui se bagarrent pour la possession du territoire. Un corps pour deux, sûr qu'ils doivent se sentir à l'étroit.
Encore une petite couche de cliché par-dessus avec les éternels militaires qui sont là parce que c'est écrit dans le scénario. Caricaturaux au possible avec leur credo “tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens”, la palme revenant au colonel Kurtz. Oui, mêmes nom et grade que celui d'Apocalypse Now, film inspiré d'Au coeur des ténèbres de Joseph Conrad. Seul change le prénom, Abraham, à la symbolique évidente (très biblique, Sodome et Gomorrhe, sacrifice d'Isaac, tout ça, tout ça). Sauf qu'il est bien difficile pour King de se réclamer d'un héritage aussi prestigieux après le festival pétomane dont il nous a gratifiés à travers sa chevauchée gastrique des valkyries, quelque part entre Au cul des ténèbres et Analpocalypse Now. Tu peux pas placer la barre aussi haut quand tu as le cul bas, dirait Fidel Castro.


Dreamcatcher essaye d'être un peu tout à la fois : Alien, Rencontres du troisième type, X-Files, The Hidden, Stargate (pour les symbiotes Goa'uld), The Thing (pour la parano du qui est qui) ou encore L'invasion des profanateurs (moins la dimension politique, donc une coquille vide). À force de vouloir être partout, le roman ne va nulle part. Il pioche ici et là des idées, des références, qu'il se contente d'aligner. Tout est déjà vu, rien n'est creusé. On sort de ces 900 pages avec une question : mais ça parlait de quoi au fait ?
On aura beau chercher, jamais on ne trouvera dans ce texte le moindre semblant de début d'amorce d'embryon de fond qui rattraperait le récit pas bien folichon. Pas de thématique, pas de questionnement, pas de réflexion, Dreamcatcher est creux comme un trou de balle.


Quant au film adapté du roman, il a pour seule qualité d'être fidèle à son matériau d'origine en lui restant très proche. Il est donc tout aussi nase. Un chouïa pire, quand même, en faisant de Duddits, le pote trisomique du quatuor pétomane, un extraterrestre. Comme pour dire qu'un handicapé, au fond, c'est pas un vrai être humain. Avec en prime la petite touche homophobe, qui était absente du livre, consistant à modifier le surnom de Mister Gray du vilain E.T. en Mister Gay – et aussi bien la prononciation, l'intonation et le contexte de certains emplois (i.e. “Mister Gay, go away” lors de l'affrontement final, tout un programme…) ne laissent planer aucun doute sur la connotation d'insulte.


Sur papier comme à l'écran, l'attrape-rêves de King aura capté ce qui se fait de pire en matière de cauchemar. Bavard mais vide, brouillon, grossier dans tous les sens du terme, vulgaire, chiant comme pas permis, il mériterait, plutôt que figurer dans une bibliothèque, de rejoindre les missiles Stinger de Rambo III. le colonel Trautman vous dira où ils sont cachés...
Lien : https://unkapart.fr/dreamcat..
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