Les chevaliers du Zodiaque - St Seiya, tome 4

Tome 4 : totally spoil (enfin presque ^^)
Pour régler leurs comtes et savoir qui sera le plus fort, c'est-à-dire le détenteur de l'armure d'or, Ikki et ses chevaliers noirs ont donné rendez-vous aux chevaliers de bronze sur la face sombre et mystérieuse du Mont Fuji… Et nos héros se munissent chacun d'une clochette pour se reconnaître les uns les autres par rapports à leurs alter egos maléfiques. Par une série d'ellipses dont l'auteur a le secret, Seiya affronte la mort noire, Hyoga le blizzard noir puis le big boss Ikki en personne, Shun les chaînes serpents de son vis-à-vis et Shiryu le miraculé, qui finalement a survécu aux épreuves de Jamir, le terrible secret du Dragon Noir…
Les lecteurs ayant développé leur cosmoénergie auront remarqué que l'adaptation est très fidèle au manga. Sauf sur quelques points :
- le manga est encore plus violent que l'anime dont c'est pourtant peut-être l'arc le plus sanglant
Ainsi le Cygne Noir s'arrache un oeil plutôt que l'ornementation du casque pour informer son maître des techniques secrètes de Hyoga
- il n'y a pas 1 mais 2 chevaliers du Dragon Noir, le jumeau aveugle portant assistance à son frère bien portant (est-ce annonciateur des malheurs à venir pour le Chevalier du Dragon? ^^)
On versera une larme avec ce qui annonce le revirement d'Ikki et qui va devenir le leitmotiv de la série :
- Pourquoi m'avoir sauve la vie ?
- Je crois que j'ai eu envie de croire à cette amitié dont tu m'as parlé…
Ce tome s'achève sur un droit de quota de flashbacks, Ikki étant victime de son propre Poing de l'illusion démoniaque (rappelez-vous : une même attaque ne marche pas deux fois sur le même chevalier ^^). Va-t-on apprendre pourquoi Ikki a rejoint sur la cause du Mal Maléfique ??? To be continued !


Oui cela vaudrait 2 étoiles, mais j'ai passé tellement de bons moments avec cette saga que j'ai lâché une 3e étoile… Car ce shonen classique est entré dans la légende grâce à son adaptation en anime très fidèle et magnifiée par deux génies :
- Shingo Araki, l'un des meilleurs charadesigner de l'histoire de l'animation japonaise
- Seiji Yokoyama, l'un des meilleurs compositeurs de l'histoire de l'animation japonaise

PS : j'ai lu ce manga en version normal et en version deluxe… Mais est-ce qu'un manga aussi basique et daté graphiquement méritait une version de luxe ?

Saint Seiya ou les chevaliers du zodiaque version française. La série de Masami Kurumada a bercé mon enfance tout comme Sailor Moon et Dragon Ball.
Je n'ai lu qu'assez tardivement les mangas mais j'y ai retrouvé tout ce qui a fait le succès des chevaliers du zodiaque.
Seul hic, les dessins ont plutôt mal vieilli, je trouve. Ce n'est pas très fluide, on sent que ce ne sont pas des dessins récents comme on peut le voir aujourd'hui.
Cependant, j'y ai retrouvé tout ce que j'aimais.
28 volumes pleins d'action et de mythologie. Je suis toujours aussi fan.

On se retrouve donc au Mont Fuji où nos héros sont à la poursuites des chevaliers noirs. Moi aussi je veux aller au Mont Fuji, pas forcément pour me battre mais au moins visiter ! Faut vraiment que je réalise ce petit rêve d'enfance d'aller un jour au Japon !

En attendant et comme toujours encore, nos chevaliers de bronze écrasent tout sur leurs passages ! C'est Hyoga qui a l'honneur d'affronter en premier Ikki en personne. Tout à sa suffisance, il sait qu'il va gagner contre le chevalier noir et n'a peur de rien. On s'attarde un peu plus sur sa vie et notamment le naufrage de sa mère puis lui qu'il lui offre des fleurs au fin fond de l'océan glacé. Une scène classique. J'ai aussi appris un truc de ouf : le père de Hyoga était Japonais ! J'savais pas que c'était un tismé ! Au fond, c'était pas si surprenant étant donné sa proximité avec la culture japonaise mais j'pensais pas que l'auteur avait apporté une logique à ce point.

Parce que, le niveau bon sens, logique et réalisme n'est pas vraiment le point fort ni même le point attendu dans Saint Seiya. Cette page est comique :

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cool