Chavirer

Un livre qui je trouve, nécessite une certaine concentration. J𠆚i eu des moments d’inattention en lisant et j𠆚i l’impression qu’à plusieurs reprise je suis passée à côté du livre. J𠆚i du relire plusieurs fois certain passages, il y a beaucoup de personnage, beaucoup de moment un peu long. de plus je n𠆚i personnellement pas bien compris la fin donc je suis un peu dégoûter d𠆚voir lu 300 pages et de m’être accrocher pour finalement ne pas vraiment comprendre.

Dans ce roman, nous suivons Cléo, 13 ans, qui se fait approcher par la Fondation Galatée, fondation ayant pour but de financer les rêves des jeunes filles...Elle finira par enrôler d'autres enfants à son tour.

La vie de Cléo m'a fait traverser diverses émotions. La révolte d'abord, quand elle tombe dans les griffes de la Fondation. Puis la compassion, quand elle tente de reprendre le cours de sa vie. La tristesse lorsqu'elle quitte son grand amour. Et enfin la fierté quand elle trouve la force de demander pardon.

Le roman est construit avec une alternance de narrateurs, et j'affectionne énormément ce procédé.

Néanmoins plusieurs points m'ont dérangés.
Tout d'abord, l'histoire est décousue. Les personnages sont introduits au fil du temps, mais jusqu'à la fin nous ne savons pas trop pourquoi ils se sont retrouvés sur son chemin. du coup l'arc narratif en devient un peu brouillon.

Ensuite, les destins de l'ensemble des personnages restent dans l'expectative. On en devine, on en espère, on en redoute. Mais on reste sur notre faim. J'imagine bien que c'est une réelle volonté de l'auteure, mais ça m'a gêné.

Et enfin, et c'est ce que je trouve le plus fâcheux, le thème central n'est pas assez exploité. On passe beaucoup plus de temps à découvrir la vie de danseuse de Cléo (ce qui est quand même très plaisant et extrêmement bien décrit), qu'à vivre les effets que la Fondation a eu sur elle. Même si le traumatisme est visiblement très présent, j'ai eu la sensation que le vrai sujet avait été survolé.
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Lu en 2021. Mon premier livre de l'auteure.
Un ressenti à la fois positif et mitigé, il m'avait autant touchée que déroutée, happée d'avantage par le fond que par la forme... Une narration parfois trop elliptique selon moi, avec un rythme qui s'essouffle dans les chapitres du milieu. Un ouvrage néanmoins nécessaire pour ce qu'il explique et dénonce.

« Chavirer » est un roman particulier dont j'ai beaucoup entendu parler sur Bookstagram, et qui m'attirait autant qu'il m'effrayait. Comme souvent dans ce genre de cas, j'ai préféré l'écouter sur Audible. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé la narratrice.

Quant à l'histoire, elle ne m'a certainement pas laissée indifférente. D'emblée, j'avoue avoir été gênée par le sujet principal du roman. On parle clairement de violences physiques et morales ainsi que d'emprise sur des enfants/adolescentes. Tout ce contexte nous met dans un certain niveau de tension au cours de ma lecture, ce qui a rendu les choses plutôt désagréables de mon côté.

Sans vraiment m'attacher au personnage de Cleo, j'ai également eu des difficultés à comprendre parfois où l'autrice souhaitait nous embarquer. Vers la fin, j'avoue même avoir clairement manqué d'attention.

Point positif, j'ai adoré la forme qu'adopte le récit. Si Lola Lafon nous livre d'abord le point de vue de Cléo, les chapitres suivants retracent l'histoire des différentes personnes qui ont gravité autour d'elle et de certaines des victimes. C'est une vision à 360 degrés qui nous est offerte, nous permettant de mieux comprendre l'ampleur et les conséquences de cette affaire sordide.

En conclusion, loin d'être un coup de coeur, ce roman ne m'a pas laissé indifférente néanmoins. Il s'agit, selon moi, d'un roman à lire qui permettra d'éveiller les consciences et peut être d'aider certaines victimes. En bref, « Chavirer » est un roman qui mérite d'être lu.

Mais comme j'avais envie de le lire ce roman, à force de le voir passer partout !!!
Et bien je suis totalement passée à côté !
Je l'ai dévoré certes, je ne voyais pas du tout où l'auteure voulait nous emmener ... et bien pour moi nul part
Je pense que c'est dû à la construction du roman. le début et la fin, j'ai adhéré, à partir du moment où les portraits arrivent, j'ai perdu le fil et ne suis pas arrivée à faire le lien. Il faudrait peut être que je le relise ... mais je ne pense pas que je le ferai ...
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L'histoire d'une jeune fille de 13 ans qui rêve de devenir danseuse. Et puis un jour, elle est remarquée par Cathy d’une pseudo Fondation, qui lui fait miroiter la possibilité d’obtenir une bourse, lui offre des cadeaux, l'invite aux musées, aux restaurants. Mais le piège d’un réseau de prédateurs se referme sur elle.
Cleo refuse d’être considérée comme une victime car elle a honte de s’être laissée faire, et de jouer le rôle de rabatteuse qui la rend complice de ses prédateurs. Elle ne se pardonnera pas d𠆚voir joué ce rôle.

On retrouve cleo de ces 13 ans à 48 ans, elle vit de sa danse, dans l’émission Champs Élysée chez Michel Drucker. Elle vivra sa sexualité au fil de ses rencontres.
Et puis à la fin, il y a une enquête pour retrouver toutes ces jeunes filles qui ont été abusées...

Jai bien aimé cette histoire forte en émotions.

Dans ce roman, nous suivons l'histoire de Cléo et d'autres femmes. Au collège elles avaient des rêves et certaines personnes en ont profité pour les manipuler en les faisant croire à une fondation qui pourrait les aider à réaliser leur rêves. Voici le début de l'histoire mais le livre aborde beaucoup d'autres thèmes qui, bien qu'intéressant en eux-mêmes cassent le rythme du récit, s'en éloignent et le font s'essouffler.

La première partie du roman est sous tension. On est plongé dans un univers malsain rempli de manipulation. Cependant, dès la deuxième partie cette tension disparaît et les longueurs commencent. J'ai l'impression qu'à partir de ce moment, on sort du thème originel du roman pour commencer une mini fresque de la société des années 1980 à 2000/2020. Plusieurs petites parties se succèdent alors avec des thèmes différents, intéressants comme je l'ai écrit avant, mais loin de l'histoire de base. de plus, le style d'écriture particulier qui colle bien à l'ambiance de la première partie, perd de son intérêt ensuite et ne permet pas au lecteur de réellement se plonger dans le roman.

Ce n'est qu'avec les toutes dernières pages que j'ai retrouvé les émotions du début de récit et ce côté ''impactant''.

Finalement, je trouve ce roman très inégal. Il vacille trop entre la description de plein de petits morceaux de la société et la dénonciation de manipulation et d'agression pour que son message reste durablement en tête après la lecture si ce n'est peut-être grâce à la dernière page.