En effectuant des recherches sur le net sur la fantasy je suis tombée sur le début d'un article intitulé "Adieu fantasy" de
Philippe Curval. Bien entendu il fallait être abonné pour avoir accès à l'article entier. J'ai donc déniché le numéro en question sur ebay.
Voici l'accroche :
"Je ne cesse de m'interroger sur l'intérêt d'écrire et de publier ce que l'on nomme fantasy. (...) Puisqu'il n'est réservé chez les éditeurs qu'aux production de masse attestant que nous vivons aujourd'hui sous la férule des dieux, des mages, des fées, des dragons, des grands anciens. Une surproduction qui submerge les étals des librairies sous un déluge de foutaises à 90%. Parfois bien ficelées, rédigées avec talent, ce qui les rend plus subversives. "
Une fois que tu as l'article sous les yeux tu constates qu'il ne va pas plus loin dans son raisonnement car c'est une critique du livre Sayonara Baby de
Fabrice Colin.
Selon lui, lire de la fantasy répondrait à un "désir foetal de fermer les yeux sur le réel, l'avenir". Oui et alors??? J'en lis pour m'évader, je lis des romances pour me détendre et me vider la tête, je lis aussi des livres de cuisine pour apprendre de nouvelles recettes, etc.
Qui lit quoi et pourquoi? L'important est d'y trouver son compte ;-)