" J'écris toujours le même livre, seuls les mots changent "(Eric Chevillard) Il se pourrait bien que la parole humaine même naisse lorsqu'un animal quelconque se retient de donner suite à son désir : au lieu de consommer la chose ou l'être qui lui fait face, de dévorer ou consumer, il la laisse être et la recrée dans l'univers symbolique du langage au sein duquel la bouche, au lieu de mastiquer ou d'embrasser, prononce. De là peut-être le malaise, sinon même l'angoi...
>Voir plus