Mélangeant Dumas et Sue, l’individualisme et le socialisme, Lermina créé un comte encore plus mélancolique que l’original, dont la tristesse dérive en grande partie de la conviction à laquelle il est parvenu de s’être égaré en poursuivant une vengeance strictement personnelle contre de simples individus, alors que c’est la société en tant que telle qui a besoin d’une œuvre puissante de rénovation. Le Fils de Monte-Cristo n’est donc pas simplement une suite, ni encor...
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