AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,48

sur 4214 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Quelques formules chocs, dans cette ode à l'amitié.

« On peut être libre à plusieurs, j'ai dit. Moi, j'ai connu des solitudes qui ressemblaient vachement à des prisons ».

« Parce qu'en vrai Oscar avait raison, on nageait dans la merde depuis le jour de notre naissance, et il n'y avait pas un seul enfoiré pour nous jeter une bouée de sauvetage, et c'était fatigant, à force, de faire semblant de croire encore à quelque chose ».

« Et qu'on vienne pas me faire des beaux poèmes sur la solitude. Parce que la solitude, la vraie, ma parole, c'est une belle salope, et il arrive un moment où vous êtes arrivés au bout du bout de vos pensées solitaires et puis derrière il y a plus rien du tout, et même la mort je crois que c'est un peu moins chiant. »

* * *

Mais n'est pas Queneau qui veut, et ce style parlé, surtout dans la bouche d'un garçon de 17 -18 ans, lasse… Dans Zazie dans le métro, le perroquet lançait : «Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire. ». Dans ce road movie à moto, ils roulent, ils roulent c'est (presque) tout ce qu'ils savent faire… Vols, violences, drogues, amour libre, des thèmes vus et revus, égrenés et répétés pendant près de 500 pages.

C'est dommage, l'émotion pointe, souvent, la fin est marquante, mais dans l'ensemble, on tourne un peu en rond.


Commenter  J’apprécie          2010
Les romans phénomènes ce n'est pas trop mon truc en général .
Trop de déceptions avec des soit disants chefs d'oeuvres ....
Ce roman on me l'as prêter , merci d'ailleurs à ma meilleure amie , celle qui depuis 35 ans me supporte , et ce n'est pas toujours facile . 😊
Je ne tiens jamais compte des critiques dithyrambiques , ou l'on perd de vue le point de vue critique d'une œuvre .
Quand l'on sort qu'un livre à fait "jaillir les larmes " en général je fuis .
Ici j'ai fait une exception , parce que ma copine et ma belle sont férues de cet auteur , et elles on souvent raison , comme toutes les femmes .
J'ai pris ce livre avec l'œil d'un novice , je n'ai jamais lu d'œuvres de cet auteur auparavant .
Ce qui m'as surpris de prime abord , c'est que l'on voit bien des les premières pages que ce style littéraire n'est pas habituel pour cet auteur .
Il y a quelques facilités dans les premières pages qui révèlent cela , ce qui n'est pas un mal attention .
En cherchant un peu j'ai trouvé que cet auteur est davantage connu pour ces thrillers ésotériques , dont un sur le même sujet que le Da Vinci code , il a du d'ailleurs apporter la preuve que son livre avait était rédige avant celui de Dan Brown ...
On est donc clairement devant un premier essai sur un style différent .
Ma foi pourquoi pas ?
Il faut avoir l'esprit ouvert , et peut être que l'auteur a voulu étendre son lectorat et donc a pris le parti d'un livre différent , ce qui n'est pas plus mal .
Parfois il faut sortir de sa formule et faire preuve d'un peu de maturité , l'auteur par la meme prouve qu'il n'est pas un adulescent .
La lecture à donc évoluée avec une certaine clémence , ce qui n'est pas plus mal parfois .
Sur le fond cette histoire ne révolutionne rien .
Kerouac , Thompson , et d'autres on déjà abordés ce genre du Road Movie a moto , avec tout ce que cela implique .
Ne nous leurrons pas les figures du genre sont la : alcool , sexe , ect ....
Sur ce point la l'auteur perd des points , il aurait pu éviter ces clichés un peu trop faciles .
On constate également une certaine facilité dans l'écriture , et un manque de souffle certain à plusieurs moments , rien de rédhibitoire,
L'histoire vaut ce qu'elle vaut , pas mal , mais l'on est pas ici dans la grande litterature , des auteurs " chiants" , comme certains idiots l'expriment .
C'est une histoire somme toute assez basique , qui ronronne gentiment , avec quelques rares sorties audacieuses .
L'auteur n'as pas voulu trop surprendre son lectorat , et se contente un peu d'empiler les figures de style , sans génie , mais avec une efficacité certaine .
Si il ne révolutionne rien au genre , il propose un manuscrit solide , sans génie certes mais agréable à lire .
Somme toute c'est malgré les défauts assez criants , un ouvrage tout à fait fréquentable , que l'on prend plaisir à découvrir .
Ce n'est pas de la grande Litterature , mais l'efficacité et le savoir faire de l'auteur font que le lecteur ne s'ennuie pas et c'est déjà très bien .
Il est dommage que ce livre sympathique et cet auteur , soient défendus par un type qui ose sortir une phrase du genre :
Putain , qu'on lui donne le Goncourt et qu'on arrête de nous bassiner avec des auteurs chiants ...
Je pense que sur ce site il y a une majorité de lecteurs pour qui la Litterature est importante , pour qui des ouvrages comme Les bienveillantes , Le soleil des Scorta , Le feu , A l'ombre des jeunes filles en fleurs , La condition humaine , Capitaine Conan , Léon Morin , prêtre , Les mandarins , Les racines du ciel , Le dernier des justes , Le roi des aulnes , La vie devant soi , Rue des boutiques obscures , L'amant , Les noces barbares , La nuit sacrée , Le Rocher de Tanios , Le testament français , Rouge Bresil , Les ombres errantes , Trois jours chez ma mère , Alabama song , ect , il y a sur ce site je pense une majorité de lecteurs pour qui ces œuvres sont importantes , des lecteurs qui on lu avec le plus grand intérêt ces œuvres , des lecteurs qui portent ces œuvres dans leur cœur ...
Ces mêmes lecteurs , en voyant cette phrase issue de la réflexion défaillante et populaire d'un idiot pour qui Proust , Duras , De Beauvoir , Makine , Tournier , Gary , Rufin , ect , sont des auteurs "chiants " , ces lecteurs eux mêmes se voient traités de "chiants" , parce qu'ils lisent ces auteurs ....
Il est un fait que chacun a le droit d'avoir une opinion sur le Goncourt , bonne ou mauvaise , c'est cela lla démocratie .
Pour autant , avoir l'indécence , le toupet , de traiter ces auteurs de " chiants " , c'est une insulte à la face de ces auteurs , de leurs lecteurs , de la communauté littéraire , de la culture .
Je ne prétends pas avoir le monopole du bon goût , loin de la , qui suis je pour dire cela , oui je dis que certains auteurs sont des auteurs de supermarchés , mais il n'y a rien du tout de péjoratif dans mon propos .
Cela veut simplement dire , que des auteurs trouvent leur public dans les supermarchés , ce qui n'a rien d'infamant , loin de la .
Il m'arrive souvent d'acheter des livres au supermarché , 3 ou 4 sur 10 , et j'en suis fier , il n'y a rien de péjoratif dans mon propos .
Des idiots vont dire que j'emploie le terme de purge , oui c'est un fait .
Ce terme je l'emploie quand un film ou un livre colporte une idéologie ou une vision du monde ou de la société contraire à mes valeurs .
J'assume ce terme . Pour autant je n'attaque pas l'auteur , je le respecte , même si il s'agit de Zemmour ou de Pernaut .
Çela fait trop plaisir à certains , qui se victimisent du fait des attaques portées contre eux .
Cette parenthèse est très longue , je m'en excuse , je voulais juste exprimer ma colère et mon rejet de ce type de propos envers les auteurs et par extension envers les lecteurs .
Ce n'est pas parce que certains idiots adulescents ne comprennent rien à certains livres qu'il faut pour autant traiter les auteurs de " chiants" .
A une époque pas si lointaine on s'en prenait aux auteurs et les livres étaient jetés au feu , on en est pas la ici , certes , mais il convient de faire très attention aux dérives de certains idiots adulescents .....
Merci pour votre attention .
Merci à mon amie Manu qui m'a prêtée ce livre .
Commenter  J’apprécie          1626
Je vais être tout à fait honnête, j'ai ouvert ce livre avec un certain espoir, un genre d'affection prématuré malgré tout ce remous autour de Loevenbruck. Une masse frénétique autour de ce roman qui crie au nouveau maitre d'un genre bad boy au grand coeur n'a pas suffit à calmer mes ardeurs, ce qui est peu fréquent.
Arrive cette lecture commune qui m'a permis de prendre en main ce livre et de le découvrir enfin !
Et...
Loupé.
Je range donc mon exaltation feinte.
Loevenbruck et moi, ça ne commence pas par un feeling évident.

Je vais donc enfiler mon armure de suite afin d'éviter de recevoir la caillasse des convertis puisque je risque fort de ne pas être tendre en entrant dans le club des 1% des détracteurs. ( sourire appuyé sarcastique).

"Nous rêvions juste de liberté", le page turner vecteur de grandes émotions pour beaucoup, à l'écriture faussement désinvolte à l'image de jeunes fauchés issus d'un milieu social défavorisé ne m'a pas mise en appétit.
La cocotte siffle et je comprends vite qu'au menu nous sera servi sur une assiette émaillée tous les ingrédients nécessaires pour toute bonne recette qui mijote, et qui, par l'odeur de la nostalgie, a pour mission de nous ramener aux souvenirs de nos premieres amitiés et aux charmes de nos premières contestations, avides d'audace et d'évasion.
Et Loevenbruck est un cuisinier qui ne lésine pas sur la quantité pour mettre en oeuvre sa conception d'un plat représentant la quintessence de son concept existenciel de la liberté.
Pour se faire il nous embarque dans son rad et nous expose dans un premier temps sa tambouille d'un mauvais remake des misérables , la vie des pauvres gens en provinces, version moderne exacerbée, l'à propos et le talent en moins, soit, une bonne louchée de violence interne qui s'extériorise envers et contre tous (sauf sur les pauvres), le récit d'une amitié indéfectible contrariée , de fadaises sur tous ces cons de riches trouillards et sournois qui veulent se bouffer du pauvre ; des parents défavorisés stéréotypés à l'extrême, des "petits cons de pauvres" au coeur tendre qui n'ont pas d'autre choix que de tomber dans la petite délinquance, forcément pardonnables, dégueulassement condamnables, des flics forcément à l'image de Javert face aux Babys John Wayne lycéens , le sadisme des garces de gardiennes et des pervers de gardiens dans les centres de détentions pour mineurs enfermant des nazis mineurs etc etc etc...

Je saturais déjà , un trop de poncifs mène au grotesque.

Alors forcément, on devine déjà la gueule des rêves de liberté qui vont suivre à la mode "chien sauvage" dixit l'auteur , c'était écrit par avance... Rouler, choquer, s'amuser,picoler, se défoncer, baiser...
Hum.
Du lu et relu !
Rien de nouveau sur la planète babybiker.

Bon, finalement c'est risible tout ça sorti de la séquence émotion sirupeuse les cheveux au vent, mais il en ressort quoi au juste ?
-Un bon vieux lieu commun figé dans l'antichambre de la lutte des classes, un postulat à peine voilé mais qui manque atrocement de maîtrise pour me ramener à cette cause.
-Un road trip tout en longueur, j'ai vécu cette grande traversée du désert sans l'ombre d'un sursaut d'intérêt tant cette ritournelle m'a ennuyée.
Pourtant J'aurais pu tomber dans la marmite, tous les ingrédients sont là pour sensibiliser et faire saliver la tablée mais cette recette est bien trop indigeste pour moi.
Loevenbruck a eu la main trop lourde sur les clichés idéologiques qu'il a distillé à chaque étape de la confection. A contrario, Il manque cruellement de profondeur d'analyse dans son fond de casserole libertaire , la pondération aurait été la bienvenue, ça aurait probablement évité la résultante qu'est la caricature affectant ses sujets premiers, que ce soit ses personnages, les inégalités et la liberté, dorénavant bien cramés et calcinés par cette sauce aux formules déconcertantes .
Quant à la finalité... Sans commentaire, on reste dans la même veine liquoreuse pour bien faire pleurer dans les chaumières et si possible, au passage, faire oublier ce trop plein de naïveté dégoulinante vendue sous l'étendard d'un code d'honneur.

La liberté, les classes sociales, les inégalités, l'amitié,... Tout ça est abordé par tant de grands chefs... Tellement plus pointilleux et justes dans leur assaisonnement.
C' est sans aucun doute ce qui ramène Loevenbruck, à mes yeux, au rang d'apprenti sur ce registre puisque finalement, il ne me reste en bouche que la fadeur d'une bien pâle parodie que je vais bien vite oublier.

Je pense donc passer mon tour pour une potentielle tournée de "café gourmand" made in Loevenbruck, du moins pendant un certain temps, j'ai assez soupé.

"On veut la liberté aussi longtemps qu'on n'a pas la puissance ; mais si on a la puissance, on veut la suprématie." Nietzsche.














Commenter  J’apprécie          1510
J'attendais la sortie "poche" avec impatience, ce livre a été tellement mis en avant et les critiques étaient vraiment excellentes, promettant même des émotions si fortes que les larmes pour beaucoup ont coulé.
Bon... ce livre a le mérite de soulever des questions sur ce qu'est le bonheur, la vie, la liberté... dans notre société si figée et exigeante qui laisse peu de place à la folie et surtout à une vie sans cadre/travail. C'est aussi l'histoire de familles un peu bancales, tristes, de départs dans la vie qui ne se font pas sous les meilleurs auspices. A défaut de compter sur sa famille on compte sur les amis, voilà l'idée principale du livre, une bande de potes "à la vie à la mort".
Après, le côté "motards" "bécanes" "bière"... pas du tout mon truc. du coup j'ai trouvé des passages longs et ennuyeux, notamment à cause du langage. J'ai eu l'impression d'entendre les gars du café du coin en fin de journée.
Donc une lecture assez sympa mais pas le livre de l'année comme on nous le vend (surtout ici). La dernière ligne, juste la dernière, était émouvante... de là à pleurer... non je ne comprends pas.
Commenter  J’apprécie          132
Déçue
Il s'agit du journal intime d'un ado de 16 ans
Il le commence quand il fait la connaissance d'une bande d'amis au lycée avec qui il décide de partir vers une destination bien précise pour un but bien précis en moto
Le long du chemin c'est la déconne comme c'est écrit soit drogue vols et également rencontres surtout avec des bikers
Il arrive un évènement grave qui fait que le personnage principal se retrouve seul à voyager en moto
Puis vient l'épilogue qui est bouleversant
Commenter  J’apprécie          110
Un livre dont j'ai failli abandonner la lecture (ce que je ne fais jamais, m'évertuant souvent à terminer mes lectures même quand elles ne me plaisent pas)... heureusement que j'ai persévéré car je trouve que l'histoire en vaut vraiment la peine. On n'en sort pas indemne, un coup de poing ! Je l'ai finalement lu très rapidement, complètement happée par l'histoire et les personnages. Ce qui m'a déplu (et qui justifie selon moi la note de 3* que je lui ai attribuée), c'est l'écriture. Elle doit certainement plaire à certains, se rapproche fortement du "langage parlé" et fait fi de toutes les règles de syntaxe. C'est sûrement voulu et c'est un style particulier mais je n'y adhère pas. Dommage. Je suis néanmoins contente d'avoir lu ce roman très prenant.
Commenter  J’apprécie          112
Dans la torpeur d'un bar tamisé, un motard fait peser dans ses coudes posés sur le zinc tout le poids de son voyage, depuis les recoins d'une amitié pure et irationnelle d'enfant, à la frontière des irréparables. Cet homme, c'est Bohem, promu président d'un club de motards sans autre but que de trouver les bords du Monde. A moins que cette soif de vent ne soit un baume sur des blessures qui ne sont que les vôtres, et que personne ne peut vous aider à appliquer pour vous soulager. Alors Bohem roule et se construit autour d'une nouvelle famille soudée, une corporation dont les cousinades emportent fraternité et excès en tous genres.
Le jeune Hugo Felida, blessé par la disparition tragique de sa petite soeur et l'indifférence de ses parents, m'a attendrie. le groupe de copains mal construits, adeptes de la castagne et des mauvais coups a touché ma corde sensible. Et cette écriture arrachée au bitume et aux gorges nouées m'a de nouveau totalement envoûtée.
Mais les sirènes ne m'ont pas emportée jusqu'à bout du chemin, et les personnages ont pu me paraître trop versés dans la caricature à certains moments. Mais je ne suis pas le bon public, rarement adepte des road trips.
La plume de Henri Loevenbruck est exceptionnelle, et je suis un petit gravillon sur une route d'exception, que l'ensemble des lecteurs à adoré.
Commenter  J’apprécie          112
Un roman qui m'a laissée un peu perplexe...
Le recit d'un road trip en moto ? Plutôt une fuite en avant tragique. Des jeunes garçons rêvant de liberté ? Non, pour moi, ils essaient d'échapper à leur misère affective surtout, en refusant une société qui ne veut pas d'eux car ils sont asociaux.
Du coup, ces 4 garçons auxquels d'autres vont s'agréger, vont vivre de moto, de rapines, de bagarres, de violence, de drogues et de sexe. Une bande, une fraternité de motards, bof... la solidarité ? Non juste des paumés qui se serrent les coudes. On dit que les règles que les prisonniers se donnent entre eux sont plus dures que celles du dehors. J'y ai vu cela, une espèce de code d'"honneur" viril, machiste et voyou.
Les 2 filles sont là en consolantes, comme le sont les prostituées en temps de guerre...
C'est sûr la fin est magistrale.
Récit écrit à la 1ére personne par notre "héros" plus à plaindre qu'à condamner, plein de circonstances atténuantes, votre honneur, même s'il ne vaut pas grand chose. Écrit à la "va comme je te parle", volontairement.
Alors, voilà... je m'interroge.
Un grand roman ? Non, trop d'ambiguïtés sur le propos pour moi, surtout à cause du titre et du sentiment que j'ai eu qu'il fallait que je m'attache à ces mecs. Non, impossible, je suis du côté de ceux/celles qu'ils effraient, rançonnent, bousculent.
Je plains ces pauvres garcons, des pauvres types et je pense que l'auteur aussi ne les estime pas vraiment.
Le seul qui s'insère dans la société est celui qui a une famille aimante, chaleureuse...celui qui joue le plus au dur, lance le héros et ses amis paumés dans l'aventure mais reprend pied dans la réalité "boulot,dodo, moto" avant l'illusion de la liberté. Car il s'agit bien d'une illusion, pauvres gamins...
J'adore faire de la moto, l'été c'est grisant de sentir le vent, les odeurs, le regard des gens sur soi et la grande communauté des motards. Donc, je comprends que cela peut griser mais c'est pas la liberté, ça !
Commenter  J’apprécie          114
Malheureusement, j'ai été déçue par ce roman si encensé par la critique. J'ai débuté la lecture avec empressement, j'étais conquise d'avance, quelle joie de se plonger dans une belle histoire, et je l'ai terminé avec un BOF, qu'est-ce que je retire de ce récit. Alcool, drogues, violence, vols, trafic ... le chemin de la liberté ???... Et que dire de la fin, coup de poing organisé, incompréhensible, incohérent. Vite lu, vite oublié.
Commenter  J’apprécie          113
Easy Rider version française.
Loyauté, honneur, respect sont les valeurs cardinales des Spitfire de Providence, club improvisé de motards paumés et mal servis par la vie.
La chevauchée en gros cube pour oublier la misère sociale.
J'ai eu du mal à adhérer à cette soif de liberté tant la violence, l'alcool et la drogue accompagnent en permanence les "aventures" de Bohem et de sa bande, tant on devine que cette quête de liberté n'est qu'une fuite en avant vers nulle part.
Le style brut de décoffrage n'aide pas non plus à vraiment rentrer dans l'intimité de la "fratrie" des 6 Spitfire.
Que reste-t-il alors si ce n'est l'amitié indéfectible entre les Bohem, Alex et les autres?
Et bien même cela nous est retiré, donnant définitivement au roman une noirceur des plus profondes.
C'est dur, c'est lourd.
Commenter  J’apprécie          100




Lecteurs (8801) Voir plus



Quiz Voir plus

NOUS REVIONS JUSTE DE LIBERTE

Comment s'appelle le héro principal?

Léo
Hugo
Théo
Paulo

15 questions
161 lecteurs ont répondu
Thème : Nous rêvions juste de liberté de Henri LoevenbruckCréer un quiz sur ce livre

{* *}