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4,16

sur 3647 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Résumé:" Dans le monde où vit Jonas, la guerre, la pauvreté, le chômage, le divorce n'existent pas. Les inégalités n'existent pas. La désobéîssance et la révolte n'existent pas. L'harmonnie règne dans les cellules familiales constituées avec soin par le Comité des Sages. Les personnes trop âgées, ainsi que les nouveaux nés inaptes sont "élargis", personne ne sait exactement ce que cela veut dire. Dans la communauté, une seule personne détient le savoir: c'est le dépositaire de la mémoire. Lui sait comment était le monde , des générations plus tôt, quand il y avait encore des animaux, quand l'oeil humain pouvait encore voir les couleurs, quand les gens tombaient amoureux. Dans quelques jours, Jonas aura douze ans. Au cours d'une grande cérémonie, il se verra attribuer comme tous les enfants de son âge, sa future fonction dans la communauté. Jonas ne sait pas encore qu'il est unique. Un destin extraordianire l'attend. Un destin qui peut le détruire..."

Mon opinion: très bien! Ce roman est véritablement une apologie du libre arbitre et de la liberté. Jonas en devenant le dépositaire de la Mémoire acquiert la connaissancce du passé et surtout de la liberté: la liberté de choisir, de désirer, d'aimer, de penser... Au fil des souvenirs que lui transmet le Passeur, le héros se rend compte de la réalité d'une société aseptisée, aliénante et dépourvue de vie, de spontanéité. Refusant de s'y conformer plus longtemps, Jonas décide d'exercer sa liberté dont il a été privé trop longtemps. Grâce à une narration maitrisée, l'auteure nous offre le portrait d'une société qui fait froid dans le dos mais qui nous pousse à réfléchir.

A travers ces deux romans, Lois Lowry traite d'une problématique profonde, qui fait question mais d'une façon totalement différente d'un roman à l'autre. A la société violente et persécutante de l'Elue s'oppose une société entièrement contrôlée et aseptisée dans le Passeur, dans laquelle les choix, les plaisirs, les sentiments n'ont pas lieu d'être. Les approches sont différentes mais la question reste la même. Je trouve que ces deux romans, par une fiction intéressante, abordent de façon pertinente une problématique complexe et s'adressent autant à des adultes qu'à des adolescents. A lire, vraiment!
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A mettre entre toutes les mains.
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Longtemps terré dans ma bibliothèque, je n'avais pas forcément eu envie d'ouvrir ce petit livre (la couverture ne m'attirait pas tant que ça) mais un piocheur/challenger me l'a suggéré !

Il est vendu dans le rayon jeunesse. Je pense qu'il peut être lu à partir de 12 ans (plus jeune aussi mais n'ayant pas forcément tous les niveaux de compréhension, ce qui serait dommage).
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Encore une dystopie qui fait froid dans le dos, qui fait aussi réfléchir quant à notre futur, notre libre-arbitre surtout.

Ici, l'auteure (spécialisée en lecture jeunesse aux thèmes récurrents tels que la liberté, l'handicap, la mémoire) a imaginé une société totalitariste où les individus sont dénués d'émotions, pris en charge de leur naissance à leur mort , sans aucune prise de choix.
Le héros de 12 ans, intelligent et curieux, découvre petit à petit ce microcosme. Lors d'une cérémonie, il apprend la fonction de son futur métier: il deviendra le dépositaire de la mémoire. Un ancien sage, nommé le Passeur lui restituera petit à petit tout le savoir de la communauté. On apprendra donc que ces habitants ne voient pas la couleur, n'entendent pas la musique, ne connaissent pas le soleil, ni la douleur.
Un fardeau qu'il devra porter seul pour ne pas accabler les citoyens de ce trop-plein d'informations. Mais alors que fera vraiment notre héros?
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Je me suis laissée emporter dans ce rôle d'observatrice, ne connaissant rien du sujet. J'étais avide de suivre le narrateur dans sa découverte de cet univers si bizarre. De me rendre compte en même temps que lui des dérapages, les questionnements sur la vieillesse, sur "l'élargissement" des êtres humains non tolérés (mais où vont-ils?), sur la docilité.
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De format assez court, le récit se dévore d'une traite, avec un étonnement croissant et même fascinée par cette société "qui marche comme sur des roulettes, aux pieds de mouton".

L'écriture est simple et fluide. La fin arrive assez vite et ouvre l'histoire par une suite (d'ailleurs 2 tomes sont déjà édités). J'ai fait le parallèle avec l'histoire de la place des personnes âgées dans la dystopie suédoise dont je vous ai déjà parlé : l'unité de Ninni Holmqvist.
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Je me répète mais ce roman pourrait être lu par les adolescents qui parfois se plaignent de leur manque de liberté. Une réflexion qui amènera donc des questions salutaires.
Un bon support scolaire. Proposez-le à vos élèves, chers Professeurs de français.
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Ce livre est une vraie surprise! Je ne savais pas à quoi m'attendre avant de le lire et l'étonnement a été total! Mais soyez rassurés dans le bon sens du terme.

Nous découvrons la vie de Jonas, jeune garçon qui vit dans une communauté bien étrange. Au début, rien ne semble particulier, si ce n'est les règles constantes qui régissent la vie des habitants et qui permettent une vie calme, ordonnée dans la joie et la bonne humeur. du moins c'est le point de vue de notre héros, qui ne s'est jamais posé de questions et qui prend la vie telle qu'elle est.

Mais voilà qu'arrive la cérémonie des douzes-ans. Durant ce moment chaque enfant se voit assigner sa nouvelle orientation et le métier qu'il fera. Car personne n'a de libre arbitre dans cette société, tout est décidé pour eux à l'avance, en observant les capacités et intérêts de chacun. Jonas se voit assigner un rôle bien étrange: celui de dépositaire de la mémoire. Un rôle tenu par une seule et unique personne qui consiste à conserver la mémoire du passé et de tous les habitants de la communauté. Il va ainsi découvrir que les gens vivaient dans un monde bien différent, où les sentiments n'étaient pas aseptisés, où l'amour, la colère, la tristesse, existaient vraiment, et surtout il va découvrir les couleurs! (Un monde sans couleur, c'est incroyable O_o) Ces découvertes vont l'emmener dans une aventure hors du commun…

J'ai été subjuguée par ce livre! Au début tout semble tellement net (trop net) et tellement faux, que cela en est incroyable! Je n'arrivais pas du tout à m'imaginer vivre dans un tel monde où personne n'a de pensée propre, où tout est régulé, codifié; où les enfants sont assignés et naissent uniquement de mères porteuses; un monde où seul « l'Identique » prime et où les être non adaptés à cette vie sont « élargis ». Une horreur absolue! J'ai tournée les pages traumatisées par la lobotomisation des gens vivant dans cette communauté. J'ai adoré suivre Jonas et le voir ouvrir les yeux sur le monde qui l'entoure. Sa découverte des couleurs et de l'amour m'ont particulièrement touchée, et l'émotion qu'il ressent montre à quel point il serait difficile de vivre sans tout cela.

L'écriture est sublime et nous transporte dans ce monde créé de toute pièce. le roman est très bien ficelé et les pages se tournent à un rythme effréné. Seul bémol: la fin qui arrive beaucoup trop vite et qui manque franchement de clarté. J'ai été franchement déstabilisée et j'ai de la peine à comprendre où a voulu nous emmener l'auteur. Mis à part cela, c'est un vrai bijou!
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Depuis que j'ai découvert ce livre sur Babelio, il m'intriguait beaucoup. En effet, je n'en avais jamais entendu parler alors qu'il semble être un classique pour beaucoup d'entre vous, et qu'il s'agit apparemment de l'un des précurseurs des dystopies pour ado. de plus, son adaptation est sortie au cinéma le mois dernier, et je ne l'ai absolument pas vu passer. Bref, je crois que mon cerveau a décidé d'occulter complètement ce roman. Heureusement, on m'a prêté les quatre tomes de la série en anglais, donc je vais enfin pouvoir me faire mon avis sur ces livre !

Jonas, bientôt douze ans, vit dans une communauté où les émotions violentes et l'individualité sont gommées au maximum. À l'âge de douze ans, chaque enfant se voit attribué un métier en fonction de ses compétences. À sa grande surprise, Jonas est sélectionné pour devenir Dépositaire de la Mémoire, rôle mystérieux qui va le forcer à découvrir se qui se cache derrière cette société en apparence parfaite.

La première chose que je peux dire aux personnes qui souhaitent découvrir ce livre, c'est de ne surtout pas regarder la bande-annonce du film. Déjà, parce que l'histoire semble avoir été pas mal modifiée pour donner un scénario plus riche en action, mais surtout parce qu'elle révèle un élément important du livre. En effet, l'auteur parvient à nous cacher l'une des particularités de ce monde pendant plus de la moitié du livre, et même si j'ai fini par le deviner avant sa révélation, parvenir à camoufler ce "détail" démontre une écriture assez talentueuse, et ce serait vraiment dommage de se gâcher la surprise.

De plus, on voit que l'auteur a quand même pas mal réfléchi à son univers. En effet, les histoire de castes ou autres clans que les dystopies pour ado adorent sont bien sympathiques à première vue, mais si on s'y penche de plus près, on finit par se demander qui peut bien ramasser les poubelles ou faire le ménage. Ici au moins, les citoyens obtiennent un vrai métier, et même si on ne les explore évidemment pas tous en détails, le fonctionnement pratique de la société semble un peu plus crédible.

Concernant l'histoire, même si ce nombreux détails laissent à penser qu'il s'agit d'une version futuriste de notre monde, je pense que certains éléments tendent trop vers le fantastique pour pouvoir espérer une explication scientifique à tout ceci dans d'ici la fin de la série (mais je me trompe peut-être). Cet aspect risque donc de déplaire à celles et ceux qui aiment leur dystopie plus SF.

Autre chose qui risque de déplaire, c'est la fin qui n'en est pas vraiment une. Certes, il y a d'autres tomes derrière, mais si on ne le sait pas, notamment si un enfant choisit ce livre au hasard dans une bibliothèque, rien n'indique que ce roman n'est que le premier d'une série. Et je sais que j'avais horreur de ce genre de fins lorsque j'étais enfant, donc d'autres enfants risquent d'être frustrés par ce roman.

Quoi qu'il en soit, ce livre provoque pas mal de réflexions, notamment lors des conversations entre Jonas et son tuteur. Ce n'est pas forcément facile d'aborder des sujets tels que le libre arbitre dans des livres pour enfants, et l'auteur y parvient avec talent, le tout dans une écriture très agréable et accessible. Que vous soyez petits ou grands, je vous conseille donc chaudement cette lecture, qui m'a fait penser à une version jeunesse du Meilleur des Mondes.

Challenge Petits Plaisirs 2014-2015
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Le Passeur de Lois Lowry est la dernière lecture scolaire de ma fille. Ce roman a remporté la Médaille John Newbery en 1994. Il s'agit du prix littéraire le plus prestigieux en littérature jeunesse aux États-Unis.

Après plus de 340 critiques, tout a probablement déjà été dit sur ce roman qui mêle science-fiction (c'est une dystopie) et fantastique (la transmission des souvenirs).

Dans l'ensemble c'est une histoire intéressante car elle aborde des thèmes qui peuvent être débattus en classe comme l'euthanasie, la liberté de pouvoir faire des choix ou de se singulariser, …

L'aspect « mémoire collective » m'a moins convaincue ainsi que le passage avec les souvenirs qui s'échappent pour « réintégrer » la communauté. La fin est un peu trop ouverte à mon goût. Quoi qu'il en soit, une petite lecture sympathique.



Challenge ATOUT PRIX 2020
Challenge mauvais genres 2020
Challenge multi-auteures SFFF 2020
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Jonas va bientôt devenir un "douze-ans" dans une communauté mystérieusement organisée où le temps est particulièrement jalonné. Les individus suivent des rituels quotidiens dans un univers terne, très régulé, où chaque fonction est cloisonnée, y compris au sein des cellules familiales.Dans ce roman jeunesse, Lois Lowry nous emporte vers un univers étrangement proche et lointain de notre mode de vie ; entre l'utopie et la dystopie du contrôle absolu de l'humanité et de ses relations. Il ne s'agit pas de science-fiction au sens scientifique, il n'est pas question non plus de vaisseaux spatiaux ni d'êtres surnaturels, mais bien d'humains, constitués peu ou prou comme le lecteur ou la lectrice. Je me suis rapidement attachée au personnage de Jonas et sa situation a vite attisé ma curiosité. J'ai beaucoup aimé la capacité de l'autrice à expliquer l'impensable, l'absence de mémoire, à décrire un état d'esprit éloigné du nôtre malgré les similitudes. L'ouvrage est très bien écrit, dans un style accessible, pour une lecture adaptée à un large public (à partir de 10-12 ans selon le degré de maturité et l'appétence pour les dystopies plutôt "réalistes"). Dans la communauté comme pour l'auteur, il semble essentiel d'utiliser les mots justes, reflétant le mieux la caractéristique à exprimer (par exemple : les nuances entre impatience, exaspération, colère et rage). Les descriptions de la communauté, des souvenirs, des émotions sont suffisamment longues pour être explicites et expressives sans devenir ennuyeuse.
Par certains aspects, le roman se place dans la lignée des romans à vocation psycho-sociologique et philosophique. de part la mise en avant des sentiments et de leur réalité, des sensations déclenchées et de l'intelligence émotionnelle générée ; mais aussi à travers les réflexions qui s'en dégagent autour de l'individualité au sein d'un groupe. Enfin, le fonctionnement de la communauté en question n'est pas sans rappeler certaines allégories philosophiques antiques...J'ai trouvé la fin un peu abrupte mais à doubles sens et... Il y a une suite !: trois autres tomes ("L'élue", "Le Messager" et enfin, "Le Fils") dans la lignée du Passeur !
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J'ai bien aimé cette dystopie jeunesse, qui vole plus haut que pas mal de dystopies adultes.

La découverte progressive de l'environnement de Jonas est très intéressante.
J'ai vu le qualificatif d'Utopie pour ce bouquin. Comme je disais à Mladoria, "Comme quoi le paradis des uns c'est l'enfer des autres (tiens, c'est joli ça, je le mettrai dans mon avis, lol !). Et qui prouve bien que le point de vue du lecteur est primordial (ou quand l'oeuvre échappe à son créateur...)."

J'avoue que pour moi, l'uniformisation à tout crin tient plus de l'enfer que du paradis, mais si certains y voient une utopie, on comprend mieux du coup pourquoi toutes les lois liberticides mais soit-disant sécuritaires qu'on nous assène depuis une dizaine d'années ne provoquent pas le tollé qu'elles devraient (en France, en tous les cas, lol !)...

Après la fin était un poil décevante de mon point de vue mais mais mais comme il semble que la suite soit comme une "intrication" des 4 livres de cette série, ma foi, ça pique ma curiosité ! (Et, Mladoria, je suis absolument sûre que j'ai déjà lu ce livre... Peut-être quand j'étais bénévole à la bibli, pendant une permanence calme, parce qu'il n'est pas très gros, c'est sans doute pour cela que j'en ai pas trace dans ma bibliothèque personnelle). :)



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J'ai un petit faible pour les dystopies, et leurs futurs pas très encourageants, et parmi elles, je ne dédaigne pas les romans pour la jeunesse. En effet, je trouve que dans ce domaine particulièrement, la clarté à présenter les situations me convient mieux que des enchaînements de circonstances alambiqués où je me perds, faute de repères propres à la société telle qu'on la connaît. Comme cela fut le cas récemment avec Espace lointain de Jaroslav Melnik, passionnant de prime abord, mais où je me suis égarée dans des rebondissements trop complexes.

Loïs Lowry présente de manière simple la vie du jeune Jonas, presque douze-ans, au cours d'une journée quasi comme les autres, et cette manière d'installer les choses me va tout à fait. La société où vit Jonas a tout prévu pour le bien-être de ses citoyens, de la naissance au mariage, des études à la vieillesse. Rien n'est laissé au hasard, rien n'est vraiment choisi, si ce n'est pas un comité des Sages qui décide du métier de chacun, de la formation des couples, du moment d'être « élargi », une forme d'éloignement de la société laissée volontairement dans le flou. Personne ne s'insurge contre cet état de fait, ne connaissant pas d'autre modèle de société. À l'âge de douze ans intervient un moment important, où les enfants se voient signifier leur futur métier par le comité des sages. Jonas appréhende un peu ce passage, qui va décider de la suite de sa vie.

Je ne vous en dirai pas trop sur les rouages de cette société et sur le rôle de « passeur » dévolu à Jonas. La vie imaginée par Loïs Lowry pourrait être une utopie, mais au fur et à mesure que Jonas découvre tout ce qui a été effacé de la mémoire collective pour parvenir à cette société idéale, et commence à avoir quelques doutes, ténus mais insistants, le lecteur se représente parfaitement à quel point cette communauté a tout d'un modèle totalitaire, sous des dehors aimables.
La construction du roman rend sa lecture parfaitement addictive, et les questions posées sont pertinentes et trouvent des échos dans la société actuelle, même si nous n'en sommes pas à ce point de prise en charge, et fort heureusement ! Vouloir le bonheur des gens contre leur gré, ou sans leur accord, peut mener à des dérives bien sombres… Un roman passionnant que l'on peut recommander dès le collège, à mon avis, et qui peut donner lieu à des discussions fertiles.
Lien : https://lettresexpres.wordpr..
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L'une de mes amies m'avait dit que ce livre était épouvantable, mais je dois avouer que moi je l'ai vraiment apprécié. Peut-être le fait qu'elle comprenait moins bien l'histoire puisqu'elle l'a lu en anglais dans le cadre d'un cours d'école a joué contre son appréciation...
Je trouve que l'intrigue est très bien élaborée et que les différents mots utilisés pour décrire des objets connus de tous ou des concepts connus de tous sont expliqués à merveille. Ce que j'adore, c'est que l'histoire se déroule dans un paysage en noir et blanc, c'est vraiment intéressant. Les couleurs viennent à Jonas par l'entremise du passeur. Tous les souvenirs les plus banals que nous connaissons sont des nouveautés pour Jonas, et je crois que ça nous fait apprécié encore plus les petits moments de la vie que Jonas n'a pas eu la chance de vivre ou tout simplement les émotions que personne n'a pu éprouver dans ce monde futuriste. On se rend compte que la famille et l'amour sont des sentiments importants et que Noël, par exemple, n'est pas juste une fête où l'on reçoit des cadeaux, mais une célébration familiale qui regroupe tous et chacun à un même endroit.
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Voici un livre que je n'aurais pas entamé il y a quelques temps mais prêté par un membre de ma famille j'ai sauté le pas...
Et vraiment j'ai bien fait!
Sans raconter l'histoire, je vais pour une fois juste parler de la plume de ce livre qui est juste magnifique et totalement addictive.
A lire vraiment
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