A rebours du présupposé affirmant que la foi est un acquis figé précédant la pratique religieuse, Tanya Luhrmann soutient que celle-ci doit être sans cesse avivée grâce à des techniques permettant une « présentification » du divin, dont la portée change la vie psychique et sociale des croyants.
Lire la critique sur le site : LeMonde