J'ai trouvé ce deuxième tome, très angoissant. même flippant. Les onze détenus se réveillent un matin avec la porte de leur cellule ouverte. La base semble déserte, cependant ils n'arrivent pas à en sortir. Cet album m'a rappelé le film Cube, que je trouve dans le même style. Comme dans le premier opus, une révélation tombe dans les dernières pages.
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Pour moi, ce sera la confirmation que cette série reste surtout intéressante graphiquement. le scénario se développe lentement, trop lentement peut être, et certains personnages me semblent toujours sous exploiter. Alors peut être qu'on cherche à faire durer le suspense... Mais ça ne marche pas très bien, à trop vouloir laisser le lecteur dans le flou, on risque de le perdre!
Je lirai peut être la suite, par curiosité, si la bd me passe entre les mains, mais je n'irai certainement pas la chercher de moi-même.
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Je ne suis vraiment pas fan.
c'est sombre... en même temps toute l'action se déroule dans le noir.
Il n'y a quasiment aucun repère temporel, j'ai presque l'impression d'être moi même un sujet de l'étude.
Et le problème c'est que rien ne me surprend dans ce que je lis, même pas la dernière scène.
Je vais donc poursuivre cette lecture de la série juste parce que j'ai emprunté les 2 tomes suivants.
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une expérience toujours aussi étrange où la psychologie des individus est scruté par une entité informatique (?).
Un récit pas forcément haletant et rythmé mais suffisamment intriguant. En tout cas, cela reste prenant mais en espérant que cela se décante un peu... Peut-être du côté de l'entourage des disparus même si le récapitulatif des amis ou familles en début d'album semble craindre qu'aucune recherche ne soit lancée !
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Ponzio laisse éclater tout son talent dans ces pages. Il donne un ton hyper-réaliste à ce récit. Les couleurs choisies amplifient l'atmosphère très particulier de cette aventure.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Mais les idées elles-mêmes comment savoir ce qu'elles deviendront ?
Quand on n'a pas de prise, on a toujours l'impression que la vérité est ailleurs...
Ils auraient eu le temps de verrouiller l’accès et d’éteindre tous leurs ordinateurs...
...mais pas celui de terminer leur café ?
Les 3 fantômes de Tesla 3