Nul besoin d'imaginer un bourrage de crâne permanent ou la peur du peloton pour penser le "consentement" des soldats : l'intériorisation par l'école, le service militaire, les cérémonies politiques, le discours de la revanche, la grande presse à sensation, la psychologie des nations ; cette intériorisation passait aussi par une éducation des corps, une incorporation des logiques de l'obéissance et de la force.
A ce titre, ce n'est pas la guerre qui fait naîtr...
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