Dallas Barr, tome 7 : La dernière valse

Bon... dernier tome et spoiler de classe mondiale sur la couverture... Dallas Barr, mort depuis 10 ans est donc bien vivant... C'est un spoiler pour mieux faire monter la sauce.

Fin de série et plein de fils qui se dénouent. Julius Stileman n'est pas mort non plus. Au terme du tome 6 il se faisait tirer dessus et apparaissait ailleurs quelques secondes plus tard... Il y avait donc 2 Julius Stileman? Je ne spoilerai rien.

Le hic de ce tome fort bien mené est qu'on y condense trop d'info et d'éléments pour un seul tome. Et ce n'est pas spécialement dense, c'est juste confus.

Dallas Barr est tombé amoureux... ça, c'est de l'info de première bourre. Et la jeunesse qui ne l'aime pas... (c'est ballot) est une vraie jeune femme, pas une vieille peau qui a fait plusieurs traitements des Entreprises Stileman pour rester jeune. Et en prime, c'est la fille du principal dirigeant du Consortium, un groupe multinational qui prend possession des rajeunis et de la lune, afin de faire cesser le monopole de Stileman sur la jeunesse éternelle.

D'ailleurs, la vague de décès des immortels a plus ou moins cessé. Il en reste assez peu. Stileman finit par reconnaître que son modèle (faire croire que le traitement ne dure que 10 ans afin de limiter la fortune des plus riches, sauf la sienne...) n'est pas aussi idéal qu'il le pensait. Ne serait-ce que parce qu'il ne lui permet pas d'être quitte des cauchemars qui le ramènent en pleine guerre de Corée... (cela dit, je n'ai pas toujours bien vu le lien avec le présent)

Au final, on retrouve les deux plus vieux hommes du monde assez minables, has been, et redécouvrant les joies d'être humains. Un dernier tome en demi-teinte pour une très bonne série.