L'élément le plus intrigant reste toutefois, bien sûr, la figure de Sybilla, cette jeune femme qui vient rapidement tourner autour de notre personnage principal, et dont la petite aura de mystère fait assez bien le job, jusqu'à ce que l'on découvre qui elle est réellement dès la fin de ce premier volume, en semblant alors marquer réellement le début des choses sérieuses.
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Sybilla, la mystérieuse nouvelle compagne de Russell le Saint, n'était en réalité autre que la Déesse du Crépuscule, une divinité souvent considérée comme maléfique par rapport à la Déesse du Soleil que tout le monde vénère, mais qui semble en réalité très loin d'être mauvaise.
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Si le récit n’a, certes, pas la prétention d’être original, il dispose de qualités narratives qui lui permettent de se démarquer de nombre de mangas. Pour ne rien gâcher, cette BD est dotée de jolis dessins. Les personnages, notamment, sont très soignés, en particulier les filles, vous vous en doutez.
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